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Le coin des sciences avec Robert64

Message » 10 Jan 2019 22:08

L'observatoire P. Auger s'est spécialisé dans l'observation de ce genre de phénomènes:
https://www.auger.org/index.php/news/latest-news
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Robert64
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Message » 11 Jan 2019 2:07

Les adhésifs sécrétés par les mollusques. Le biomimétisme au service du développement de colles naturelles aux performances inégalées en milieu "hostile".
Thèse soutenue le 12.12.2018 par l'un de mes neveu doctorant à
Image
Pinaise le cadre de l'université :o :ohmg:

Le mec à 2:22 :bravo:

Allez la thèse

Et l'article du International Journal of Molecular Sciences : International Journal of Molecular Sciences

Sont biens ces jeunes. :bravo: :love:
alain_38
 
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Message » 11 Jan 2019 11:17

Félicitation a ton neveu !
jujulolo
 
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Message » 11 Jan 2019 18:38

jujulolo a écrit:Félicitation a ton neveu !

Merci. :thks:
alain_38
 
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Message » 13 Jan 2019 10:43

Robert64 a écrit:L'observatoire P. Auger s'est spécialisé dans l'observation de ce genre de phénomènes:
https://www.auger.org/index.php/news/latest-news
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Sur le même sujet:

" Il n'aura fallu que trois semaines aux gigantesques antennes du réseau Chime, installé en Colombie-Britannique, pour détecter cet été 13 «sursauts radio rapides» ou FRB (pour fast radio bursts). Ces bouffées d'ondes radio, aussi brèves que violentes, sont aujourd'hui parmi les signaux les plus énergétiques et les plus énigmatiques de l'Univers. Leur observation était devenue l'un des principaux objectifs du nouveau radiotélescope canadien. Ces nouvelles données portent ainsi à 65 le nombre de FRB identifiés. Cette première moisson canadienne, qui fait l'objet d'une double publication dans la revue Nature, contient surtout une très bonne surprise: la découverte d'un deuxième FRB qui se répète.

Baptisé FRB 180814 (car observé le 14/08/2018 pour la première fois), cette source a émis six bouffées d'ondes radio réparties aléatoirement sur les trois semaines de fonctionnement estivales de l'instrument. «Jusqu'à maintenant, il n'existait qu'un seul FRB qui se répétait (FRB 121102, découvert en 2012 donc)», rappelle Ingrid Stairs, astronome à l'université de Colombie-Britannique et membre de l'équipe Chime. «Savoir qu'il en existe au moins un autre suggère qu'ils pourraient être bien plus nombreux.»

À ce titre, FRB 180914 est plus que le bienvenu. «Avec deux éléments, nous avons déjà une famille», s'amuse Fabrice Mottez, astrophysicien au Laboratoire univers et théories (Luth) de l'Observatoire de Paris. «Cela laisse penser qu'il doit exister un mécanisme standard pour expliquer ces signaux étranges.» Tous les grands radiotélescopes du monde vont d'ailleurs tenter d'observer ce nouveau FRB «répéteur» dans les mois et les années qui viennent pour tenter d'identifier les similitudes qu'il partage avec son grand frère FRB 121102, mais aussi les différences qu'il présente.

Pour ce qui est d'expliquer la nature profonde des FRB, toutes les hypothèses restent encore ouvertes. Les théoriciens ne manquent jamais vraiment d'idées. Avec son collègue Philippe Zarka, Fabrice Mottez envisage par exemple qu'il puisse s'agir d'une émission extrêmement focalisée, moins dispersée qu'un laser, qui pointe directement vers nous. Des phénomènes d'accélération de particules chargées dans des champs magnétiques très intenses peuvent créer de tels pinceaux d'ondes radio. Cela permettrait d'expliquer l'intensité du flash et sa brièveté. Il est plus difficile d'expliquer avec ce scénario leur nature ponctuelle ou leur répétition aléatoire. Invoquer des phénomènes cataclysmiques comme des explosions d'objets exotiques ou des fusions d'astres serait tentant. Mais comment expliquer alors l'absence totale de rayonnement visible, UV, X ou gamma que ces événements ne manqueraient pas de produire?

Pour ne rien arranger, il faut en plus un mécanisme très commun. Pour rappel, le premier FRB de l'histoire fut découvert en 2007 seulement par Duncan Lorimer, de la West Virginia University, en fouillant dans les données du grand radiotélescope de Parkes, en Australie. Mais depuis qu'on les cherche, les découvertes se multiplient. On dénombrait 10 FRB en 2011, puis 25 en 2015 et enfin 65 aujourd'hui. Cela n'a l'air de rien, mais compte tenu du faible temps passé à les rechercher, cela veut dire que ces signaux sont très fréquents: il s'en produit peut-être plusieurs centaines à quelques milliers chaque jour. Les données accumulées l'automne dernier par Chime (quatre antennes de 200 m de long, 19 m de large, inaugurées fin 2017) vont d'ailleurs permettre d'affiner ce chiffre.

Comme ils proviennent de toutes les directions du ciel, et pas spécialement de notre Voie lactée, les chercheurs penchent depuis un certain temps pour une origine extragalactique. Le premier FRB «répéteur» est le seul dont l'origine exacte a pu être identifiée: le bord d'une petite galaxie très lointaine et tout à fait banale située à 6 milliards d'années-lumière de nous (en d'autres termes, il a fallu près de la moitié de l'âge de l'Univers à sa lumière pour nous parvenir). Les autres flashs sont trop brefs et ponctuels pour que l'on puisse déterminer leur origine précise. Rappelons que, dans un minuscule coin de ciel 100 fois plus petit que la pleine lune, le télescope spatial Hubble parvient à discerner une dizaine de milliers de galaxies! Cela donne une idée de la précision qu'il faut atteindre lorsqu'on veut déterminer précisément la source d'un signal observé depuis la Terre. Quand celui-ci ne dure pas plus longtemps que le flash d'un appareil photo et qu'il provient d'aussi loin, la mission devient quasi impossible. Ce qui ne facilite pas le travail d'interprétation des astrophysiciens.
"

Source : http://premium.lefigaro.fr/sciences/201 ... espace.php
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Robert64
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Message » 13 Jan 2019 20:21

L'ISS comme si vous y étiez. Génial. (je veux bien le matos photo 8) )

alain_38
 
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Message » 13 Jan 2019 20:34

alain_38 a écrit:L'ISS comme si vous y étiez. Génial. (je veux bien le matos photo 8) )
[dailymotion169 ]x4zibl5[/dailymotion169]

Egalement disponible avec une exploration à la StreetView permettant de se déplacer à la demande.
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Message » 14 Jan 2019 10:37

tfpsly a écrit:
alain_38 a écrit:L'ISS comme si vous y étiez. Génial. (je veux bien le matos photo 8) )
[dailymotion169 ]x4zibl5[/dailymotion169]

Egalement disponible avec une exploration à la StreetView permettant de se déplacer à la demande.

:bravo: :thks:
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Message » 31 Jan 2019 20:18

Corrélation et causalité.
Beaucoup de militants, de toutes causes, ne saisissent pas toujours la différence, de bonne foi ou pas.
Voici un bel exemple:
Correlation.jpg
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Message » 31 Jan 2019 21:59

Il manque les choux... Pour les naissances :lol:

La configuration dans mon profil


Très très près de la ville d'Hélène.
Perrichon et Annie Dingophobe.
Et tout le reste est la faute à Rousseau (Sardine de son prénom)
beb
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Message » 05 Fév 2019 10:58

Supraconductivité UN RECORD À -13 °C

Un nouveau matériau hybride de lanthane et d'hydrogène devient un conducteur électrique parfait à une température de 260 kelvins (près de -13 °C). Ce record de supraconductivité à haute température a cependant un coût: la pression doit être gigantesque, près de deux millions de fois la pression atmosphérique.

ref: M. Somayazulu et al., Phys. Rev. lett, 122, 021001, 2019.

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Message » 06 Fév 2019 10:33

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Message » 06 Fév 2019 10:34

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Message » 04 Mar 2019 21:56

Il y a 2,1 milliards d’années, la vie bougeait déjà
11.02.2019, par Jean-Baptiste Veyrieras (journal du CNRS)

CNRS10.jpg

L’apparition des premiers mouvements chez des êtres multicellulaires sur Terre serait bien plus ancienne que ce que l’on pensait. C’est du moins ce que suggèrent de petits tunnels fossilisés trouvés au Gabon dans des roches vieilles de 2,1 milliards d'années.
« Les galeries sont très spectaculaires, c’est formidable ! » Le géologue Abderrazak El Albani1 reconnaît modestement que « tout le mérite revient à la nature qui a conservé de manière exceptionnelle le mouvement d’organismes primitifs et au travail de l'équipe internationale que je coordonne ». Et pourtant, ce géologue à l’Université de Poitiers vient de frapper à nouveau un grand coup sur l’horloge de l’évolution. Après avoir découvert les plus vieux fossiles d’organismes pluricellulaires jamais observés, il aurait mis au jour les plus vieilles traces de mobilité chez des être multicellulaires. « Il est vraisemblable que ces organismes se déplaçaient pour rechercher des éléments nutritifs », suggère-t-il.


Innovation biologique
C’est cette quête de nutriments qui nous a été transmise sous la forme de 80 galeries sinueuses – mesurant jusqu’à 170 millimètres de long et 6 millimètres de large – à travers les roches sédimentaires du site fossilifère africain de Franceville, dans la province du Haut-Ogooué, au Gabon. Au fil de strates d’argiles noires déposées il y a plus de 2 milliards d’années, cette ancienne carrière ouvre un chapitre inédit de l’évolution de la vie sur Terre. Depuis la découverte du site en 2008, ses feuillets de sédiments ont révélé des organismes macroscopiques surprenants, témoignant d’une biodiversité ancestrale insoupçonnée : certaines formes suggèrent des corps, lobés, allongés, arrondis… de tailles variables pouvant atteindre plusieurs centimètres entourés de jupes plissées.

Sur ce site fossilifère près de Franceville, au Gabon, des restes fossiles d'une impressionnante variété d'organismes coloniaux complexes ont été découverts dans des sédiments vieux de 2,1 milliards d’années.

CNRS11.jpg

Ces organismes d’êtres multicellulaires – les scientifiques parlent de Biota – porte désormais le nom de Gabonionta et ne cesse d’interroger les spécialistes de l’évolution depuis sa découverte. Jusqu’alors, les plus anciens fossiles de vie multicellulaire dataient de 1,8 milliard d’années (des algues fossilisées révélées en 1992 sur le site minier de Marquette, dans le Michigan) et ceux des premiers mouvements de vie complexe de 580 millions d’années. Les Gabonionta, eux, auraient vécu entre 2,1 et 2 milliards d’années !

En avançant, dans la revue scientifique PNAS 2, que certains de ces êtres étaient déjà doués de mobilité, les chercheurs marquent donc à nouveau les esprits : « Faire admettre à mes collègues qu’une vie complexe s’est développée il y a 2,1 milliards d’années était déjà une gageure, apporter la preuve qu’une innovation biologique aussi élaborée que la mobilité est apparue de concert va ouvrir un débat scientifique passionnant ! », reconnaît le géologue.

Mais pour lui les preuves sont bien là, sous la forme de veines sinueuses affleurant en surface ou à l’intérieur des roches. Les chercheurs suspectent des êtres multicellulaires complexes et organisés de les avoir engendrées en cheminant dans la vase vers leur nourriture – probablement des voiles bactériens – et vers des zones riches en oxygène. Ces fonds marins étaient alors calmes et peu profonds, riches de surcroît en oxygène depuis la première vague de la grande oxydation amorcée environ 300 millions d’années auparavant. « L’accroissement à cette période du taux d’oxygène dans les océans a pu apporter l’énergie nécessaire au métabolisme et au développement de ces êtres multicellulaires et également à leur mise en mouvement », souligne le géologue.

CNRS12.jpg

La flèche blanche indique la trajectoire sub-sinueuse qu’auraient pu suivre des organismes macroscopiques, signe de mobilité. Les flèches jaunes indiquent la présence de tapis bactériens. (Barre d’échelle = 1 cm).

Êtres organisés
À quoi ressemblaient alors ces êtres vivants ? Difficile de le savoir avec précision : « Ils étaient peut-être similaires aux amibes coloniales qui, lorsque les ressources deviennent rares, s’agrègent pour former une sorte de limace capable de se déplacer comme un unique organisme, à la recherche d’un environnement plus favorable », suggère Abderrazak El Albani.


L’accroissement à cette période du taux d’oxygène dans les océans a pu apporter l’énergie nécessaire au métabolisme et au développement de ces êtres multicellulaires et également à leur mise en mouvement.
L’hypothèse semble raisonnable, mais le mystère subsiste : comment ces mouvements fossilisés ont-ils pu demeurer intacts dans la roche tout ce temps-là ? Ne pourraient-ils pas être le fruit de quelques facéties géologiques dont la nature a le secret ? « Il fallait avant tout s’assurer que ces petites galeries avaient bien été creusées par des organismes vivants », rappelle en effet prudemment Abderrazak El Albani.

Plusieurs outils analytiques ont alors été utilisés pour attester de leur caractère biologique. Tout d’abord, l’analyse chimique du contenu des tunnels fossilisés à l’aide d’une sonde ionique a bien révélé des traces de « perminéralisation ».

Autrement dit, une matière organique a bien été fossilisée dans ce réseau de galerie : « Il peut s’agir soit d’un corps qui se serait décomposé sur place, soit d’un mucus laissé par l’organisme à la manière de la traîne d’une limace », explique le géologue. Des techniques non invasives de microtomographie par rayons X ont également permis aux chercheurs d’explorer en 3D l’intérieur et l’extérieur de ces galeries : « La forme interne de ces tunnels atteste également qu’ils ne peuvent résulter d’une modification naturelle de la roche, et que ce sont bien des organismes multicellulaires qui s’y sont frayé un chemin », souligne Abderrazak El Albani.

Un scénario à revoir
Certes, ces organismes ont bien exploré la vase, aussi bien dans le sens vertical qu’horizontal, naviguant ainsi entre des tapis de bactéries. Mais ne pourraient-ils pas être fait justement d’un agrégat de bactéries, présentes sur Terre depuis plus de 3,5 milliards d’années ? « La forme, le mode de déplacement “horizontal et vertical”, le recoupement de lamines sédimentaires, la dimension de ces traces, tout cela écarte cette hypothèse », gage le chercheur.

Autre preuve de mobilité d’organismes macroscopiques, selon les chercheurs : une trajectoire en tresse à travers la roche (flèche blanche). Les flèches jaunes indiquent la présence de tapis bactériens. (Barre d’échelle = 1cm).
CNRS13.jpg

Ces premiers « explorateurs » des fonds marins bousculent dès lors le scénario actuel de l’apparition de la vie complexe sur Terre. Jusqu’alors, les traces les plus anciennes de mobilité d’organismes multicellulaires précédaient de quelques millions d’années seulement le grand boom évolutif que fut l’explosion Cambrienne (il y a 541 millions d’années environ). Et plus de 1,5 milliard d’années séparent le Biota de Franceville du Biota édiacarien (découvert en 1868 dans les collines d’Ediacara, au sud de l’Australie), annonciateur de l’arrivée massive des animaux au Cambrien. Entre les deux, c’est un véritable « no man’s land évolutif », dénommé, non sans un brin d’ironie par les paléontologues, « le milliard ennuyeux».

Les êtres qui frayaient déjà il y a 2,1 milliards d’années dans la vase de Franceville ont-ils pu traverser ce « tunnel évolutif » et servir de précurseurs aux futurs animaux ? « C’est probable, avance Abderrazak El Albani. Le déclin progressif et global de l’oxygène dans les océans vers 2 milliards d’années, et ce jusqu’à la fin de la deuxième grande glaciation qui précède l’Ediacarien, a sûrement dû leur être fatal. » Cette découverte vient néanmoins de donner une postérité scientifique à cette aventure pionnière de la vie complexe. Sans cela, cette merveilleuse danse inaugurale serait demeurée dans l’ombre immobile des roches. ♦

Notes
1. Abderrazak El Albani travaille à l’Institut de chimie des matériaux (CNRS/Université de Poitiers), dans l'équipe Hydrogéologie, argiles, sols et altérations.
2. A. El Albani et al., "Organism motility in an oxygenated shallow-marine environment 2.1 billion years ago," PNAS, 2019. DOI : 10.1073/pnas.1815721116
Robert64
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Message » 04 Mar 2019 23:40

Minéralogie et paléontologie me passionnent donc...
à mes yeux, c'est aussi surprenant qu'a du l'être la relativité pour un physicien Newtonien en 1905 :o
Je croyais avec une quasi certitude que la seule vie existant il y a des milliards d'années étaient les colonies bactériennes présentes dans les stromatolites.
Mais des organismes multicellulaires complexes capables de mouvement autonomes à 4 fois l'âge du Cambrien :o :o :o
C'est sincèrement à peine croyable.
Boc21
 
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