autrichon gris a écrit:Arg, toujours pas lu... Mais promis je m'y colle.
160 pages... Encore près de 1000 !
A ce stade, j'évoquerai le style assez étonnant, oscillant entre le lyrique et l'éloge panégyrique, avec ces personnages qui sont tous riches, beaux, rares, intelligents et/ou riches, beaux, bêtes et conformistes, comme si on circulait dans un Olympe industriel, ou les demi dieux intriguent avec les dieux. M. Toutlemonde n'existe pas !
Le choix de faire circuler l'intrigue au milieu de l'industrie métallurgique fleure bon les années 50, ou tout était possible en utilisant les ressources minières (thème très américain, et qui l'est toujours) et celui de faire d'une femme (à ce stade de ma lecture) le personnage fort du début du roman sont notables et intéressants...
Bon, je m'y recolle, ça se lit plutôt bien.
PS. J'en suis pas au stade d'analyse évoqué par Boc21, mais de toute évidence je sens venir le grand écart culturel majeur, finalement à l'origine de la création des USA par des émigrants européens déçus...