The Host a été encore plus plébiscité sur marché local.
Si on commence à juger sur les chiffres des ventes de billets, le meilleur film français de tous les temps est Bienvenue chez les Chtis...
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Modérateurs: Modération Forum Oeuvres & Multimédia, Le CA de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: irwinwayfair2, Scudabear et 68 invités
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hyperspace - Administrateur Suppléant de l'Association & Délégué

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hyperspace a écrit:The Host a été encore plus plébiscité sur marché local.
Ce qui ne change rien au retour local très positif de Parasite.
(cela étant, Parasite a récolté plus d'argent que The Host, merci l'inflation)
hyperspace a écrit:Si on commence à juger sur les chiffres des ventes de billets, le meilleur film français de tous les temps est Bienvenue chez les Chtis...
Qui a parlé de juger la qualité du film à partir de son box office ?
Tu écris que le film ne peut pas être marquant si connait un minimum la culture sud-coréenne. Soit, mais alors les premiers concernés auraient du donner au film un résultat local au mieux médiocre, tant dans les chiffres que dans le bouche à oreille (le lieu où se situe la maison du film est même devenu un lieu touristique). Ce n'est pas le cas.
Tout ça, de toute manière, pour un film au sujet de toute manière tout à fait universel, et qui n'a donc pas besoin de ça.
(et Bienvenue chez les Ch'tis n'a qu'un médiocre 3.1 spectateurs sur Allociné)
Bref, autant je te rejoins sur le fait qu'on peut trouver la cote du film sur-évaluée, autant tes raisons...
- tenia54
- Messages: 6789
- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40
J’ai juste donné mon opinion sur ce film, je ne cherche pas un plebiscite sur mes goûts ou mes raisons, il faut arrêter de faire tout un plat...
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hyperspace - Administrateur Suppléant de l'Association & Délégué

- Messages: 15225
- Inscription Forum: 05 Mai 2018 22:40
Ta phrase sur le "niveau catastrophique des films occidentaux contemporains" dépasse ostensiblement une opinion sur ce seul film et élargit à l'ensemble des productions, hein, mais effectivement : bref
(d'autant que visiblement, et malgré mes multiples relances, nous n'aurons donc pas de recommandations de films asiatiques justifiant une telle vision des choses).
- tenia54
- Messages: 6789
- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40
Je pense avoir suffisamment expliqué mes propos, le reste c'est une fixation que tu fais sur une petite phrase.
Pardon si j'ai offusqué les fans du cinéma Hollywoodien contemporain !
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hyperspace - Administrateur Suppléant de l'Association & Délégué

- Messages: 15225
- Inscription Forum: 05 Mai 2018 22:40
Le cinema occidental ne se résume pas à Hollywood.
Et ce n'est pas une fixation, juste un propos très globalisant dont je me suis demandé l'origine (je n'aurai visiblement pas plus de réponse à ça que de recommandations de films asiatiques de ta part afin d'illustrer par l'exemple sa provenance).
Sinon, pour revenir au sujet tout en rebondissant sur Parasite (et La bête aveugle) : autant je n'ai vraiment pas aimé La bête aveugle, autant je recommande La bête... élégante, de Yuzo Kawashima, auquel la trame de Parasite est très similaire.
Et ce n'est pas une fixation, juste un propos très globalisant dont je me suis demandé l'origine (je n'aurai visiblement pas plus de réponse à ça que de recommandations de films asiatiques de ta part afin d'illustrer par l'exemple sa provenance).
Sinon, pour revenir au sujet tout en rebondissant sur Parasite (et La bête aveugle) : autant je n'ai vraiment pas aimé La bête aveugle, autant je recommande La bête... élégante, de Yuzo Kawashima, auquel la trame de Parasite est très similaire.
- tenia54
- Messages: 6789
- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40
Tu es un troll obsédé par tout ce que je écris... ça faisait longtemps que tu ne t’avais acharné sur moi - parce que j’avais arrêté de poster sur les sujets de cinéma suite à ton trollage passé. Mais tu restes à l’affût, prêt à rebondir, bien évidemment !
Le message était un constat général, du type : "les forums sont infestés par les trolls". Pas besoin d’explication.
Le message était un constat général, du type : "les forums sont infestés par les trolls". Pas besoin d’explication.
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hyperspace - Administrateur Suppléant de l'Association & Délégué

- Messages: 15225
- Inscription Forum: 05 Mai 2018 22:40
@irwinwayfair2 : désolé d’avoir ramené mon stalker sur ton topic pour le pourrir.
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hyperspace - Administrateur Suppléant de l'Association & Délégué

- Messages: 15225
- Inscription Forum: 05 Mai 2018 22:40
Tu as écrit une phrase très générale, en réponse au classement d'1 film dans 1 top, composition du top qui infirme ce que soutient ta phrase.
Ca arrive, mais ensuite, et comme d'hab, ce que tu prends pour de l'obsession n'est que de la répétition du fait de tes refus d'accepter que là, ce sur quoi tu rebondis ne permet pas de déduire ce que tu suggères, et surtout de répondre directement aux questions posées (alors que tes réponses t'auraient justement permis d'alimenter le sujet et de soutenir ton propos). Il faut être 2 pour danser le tango.
Moi, j'ai discuté du top, cité Kurosawa, recommandé plusieurs films et cinéastes asiatiques et même quelques films mongols, rappelé les précédents "arbres cachant la forêt sud-coréenne", et relancé avec un double-lien Parasite / La bête aveugle. Pas mal pour un supposé troll.
Sur ce même laps, et alors que je t'ai donné pas moins de 4 fois l'occasion d'alimenter directement ce topic avec des exemples et de clore ainsi cette boucle, tu n'as recommandé aucun film asiatique (allez : The Host, brièvement), et conclu en réduisant le cinéma occidental contemporain à Hollywood.
Tu m'excuseras de jauger que le souci de constructivité pour ce topic n'est pas chez moi.
D'ailleurs, je relance donc d'une excellente découverte pour ma part, pas dans le top 100, mais projet que j'ai trouvé très intéressant et un peu hors des sentiers battus : Where Are You Going, documentaire de Zhengfan Yang qui nous place à l'arrière d'un taxi faisant 13 courses à travers le Hong Kong de 2016. C'est un peu languissant au vu du dispositif filmique, logiquement ultra statique, et les échanges entre les clients et le chauffeur ne sont pas si fréquents que ça, mais j'ai trouvé que c'était une approche urbaine intriguante, permettant de traverser les différents quartiers de la ville, et avec cela les différents microcosmes sociétaux locaux.
A l'inverse, toujours dans les productions contemporaines, je n'ai pas du tout accroché à Creation of the Gods, visuellement top (les CGI des grosses productions chinoises ne sont pas toujours les plus réussis, quoique ce que j'en vois est souvent plus attractifs que ceux des grosses prods HK façon The Rescue ou Raging Fire, en plus de leurs photos ultra aggressives très désagréables), mais finalement assez mou du genou. Le film m'a fat l'impression d'une baudruche.
Je lui ai préféré Full River Red, de Zhang Yimou... mais là aussi c'est quand même un peu long pour ce que ça raconte (quoique mieux rythmé), et puis, il faut se farcir, tel un cheveu sur la soupe, le final frontalement nationaliste. Ce n'est pas super surprenant de la part du réalisateur, le film s'inscrivant dans plusieurs réalisations récentes au contenu très "ligne officielle du parti", mais cela surprend car le film bascule frontalement là-dessus vers sa fin, alors que c'était autrement plus discret sur les 2h15 qui précédaient.
Ca arrive, mais ensuite, et comme d'hab, ce que tu prends pour de l'obsession n'est que de la répétition du fait de tes refus d'accepter que là, ce sur quoi tu rebondis ne permet pas de déduire ce que tu suggères, et surtout de répondre directement aux questions posées (alors que tes réponses t'auraient justement permis d'alimenter le sujet et de soutenir ton propos). Il faut être 2 pour danser le tango.
Moi, j'ai discuté du top, cité Kurosawa, recommandé plusieurs films et cinéastes asiatiques et même quelques films mongols, rappelé les précédents "arbres cachant la forêt sud-coréenne", et relancé avec un double-lien Parasite / La bête aveugle. Pas mal pour un supposé troll.
Sur ce même laps, et alors que je t'ai donné pas moins de 4 fois l'occasion d'alimenter directement ce topic avec des exemples et de clore ainsi cette boucle, tu n'as recommandé aucun film asiatique (allez : The Host, brièvement), et conclu en réduisant le cinéma occidental contemporain à Hollywood.
Tu m'excuseras de jauger que le souci de constructivité pour ce topic n'est pas chez moi.
D'ailleurs, je relance donc d'une excellente découverte pour ma part, pas dans le top 100, mais projet que j'ai trouvé très intéressant et un peu hors des sentiers battus : Where Are You Going, documentaire de Zhengfan Yang qui nous place à l'arrière d'un taxi faisant 13 courses à travers le Hong Kong de 2016. C'est un peu languissant au vu du dispositif filmique, logiquement ultra statique, et les échanges entre les clients et le chauffeur ne sont pas si fréquents que ça, mais j'ai trouvé que c'était une approche urbaine intriguante, permettant de traverser les différents quartiers de la ville, et avec cela les différents microcosmes sociétaux locaux.
A l'inverse, toujours dans les productions contemporaines, je n'ai pas du tout accroché à Creation of the Gods, visuellement top (les CGI des grosses productions chinoises ne sont pas toujours les plus réussis, quoique ce que j'en vois est souvent plus attractifs que ceux des grosses prods HK façon The Rescue ou Raging Fire, en plus de leurs photos ultra aggressives très désagréables), mais finalement assez mou du genou. Le film m'a fat l'impression d'une baudruche.
Je lui ai préféré Full River Red, de Zhang Yimou... mais là aussi c'est quand même un peu long pour ce que ça raconte (quoique mieux rythmé), et puis, il faut se farcir, tel un cheveu sur la soupe, le final frontalement nationaliste. Ce n'est pas super surprenant de la part du réalisateur, le film s'inscrivant dans plusieurs réalisations récentes au contenu très "ligne officielle du parti", mais cela surprend car le film bascule frontalement là-dessus vers sa fin, alors que c'était autrement plus discret sur les 2h15 qui précédaient.
- tenia54
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- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40
Tu assumes que j'ai un quelconque désir de faire quoi que ce soit avec toi... comme répondre à tes injonctions.
C'est mon erreur de t'avoir répondu, sachant pertinemment à qui j'ai affaire, au lieu de t'ignorer, comme je m'était promis de le faire.
Pardon à nouveau aux autres participants à ce topic, je savais que je peux malheureusement pas m'exprimer sur les sujets de cinéma sur HCFR sans que cet individu me tombe dessus. J'ai fait l'erreur de souhaiter participer à cette discussion, mais je vais en rester là car je ne trouve pas juste que les autres participants à la discussion en pâtissent à cause de cela.
C'est mon erreur de t'avoir répondu, sachant pertinemment à qui j'ai affaire, au lieu de t'ignorer, comme je m'était promis de le faire.
Pardon à nouveau aux autres participants à ce topic, je savais que je peux malheureusement pas m'exprimer sur les sujets de cinéma sur HCFR sans que cet individu me tombe dessus. J'ai fait l'erreur de souhaiter participer à cette discussion, mais je vais en rester là car je ne trouve pas juste que les autres participants à la discussion en pâtissent à cause de cela.
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hyperspace - Administrateur Suppléant de l'Association & Délégué

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- Inscription Forum: 05 Mai 2018 22:40
hyperspace a écrit:Tu assumes que j'ai un quelconque désir de faire quoi que ce soit avec toi... comme répondre à tes injonctions.
Non, je supposais juste que tu profiterais très simplement de toutes ces perches tendues pour, hum, alimenter le topic sur son sujet et offrir des idées de films à ses lecteurs.
- tenia54
- Messages: 6789
- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40
Rivière de nuit, réalisé par Kôzaburô Yoshimura en 1956, vient d'être réédité par Carlotta. La photographie en couleurs -flamboyantes- est de Kazuo Miyagawa, considéré comme l'un des tous meilleurs chefs opérateurs de son époque. Rivière de nuit, restauré en 4K je crois, est tout simplement une excellente surprise, qui ravira les amateurs du cinéma japonais des années 1950. Un style personnel pour Yoshimura, très, très, intéressant. Une scénariste femme (Sumie Tanaka). Ce film gagne à être vu à plusieurs reprises, son édition est justifiée, l'achat du bluray se justifie également.

https://carlottafilms.com/films/riviere-de-nuit/

https://carlottafilms.com/films/riviere-de-nuit/
- irwinwayfair2
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- Inscription Forum: 04 Sep 2024 21:56
- Localisation: Tendre avec la veuve, féroce avec le margoulin
Le premier film de Ang Lee, le réalisateur taïwanais connu notamment pour Tigre et Dragon (2000), est intéressant. C'est Pushing Hands réalisé en 1991. Il raconte quelques épisodes de la vie d'un professeur d'arts martiaux, exilé à New-York. Très bon aperçu de la culture chinoise et de la vie de la diaspora chinoise à l'étranger. Disponible en bluray, édité par Carlotta le 17 juin 2025. Cet éditeur sait dénicher de bonnes pépites au sein du cinéma asiatique.


https://laboutique.carlottafilms.com/products/pushing-hands-de-ang-lee?srsltid=AfmBOoqz63Rh_PtEIc9uxdD2OdchAzOTx97BWRrqf7Fy9VV7ynH6HXmL
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- irwinwayfair2
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- Localisation: Tendre avec la veuve, féroce avec le margoulin
Un peu déçu par Pushing Hands, du fait de protagonistes globalement mal ficelés et trop stéréotypés. Ca va un temps, puis au bout d'un moment, ils deviennent juste des têtes à claques.
J'ai bien plus apprécié Rivière de nuit, qui a certes un léger ventre mou autour de l'heure de film, et se suit fort bien.
J'ai bien plus apprécié Rivière de nuit, qui a certes un léger ventre mou autour de l'heure de film, et se suit fort bien.
- tenia54
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- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40

Je suis en train de regarder les films inclus dans les coffrets bluray Lady Yakusa (8 films réalisés entre 1968 et 1972) et Edward Yang (4 films, des années 1980 et 1990) qui sont sortis tous les deux en novembre 2025 édités par Carlotta.
Pour Lady Yakusa, le premier film La pivoine rouge (1968), que je connaissais déjà, est un excellent film, stylisé comme il se doit et intelligent par son propos. La bonne surprise vient des épisodes 3,6,7 (en fait des films distincts) réalisés par Tai Kato, cinéaste que je ne connaissais pas, mais qui s'avère être un metteur en scène brillant et créatif, de la trempe de Kenji Misumi. Et puis il y a Ken Takakura, acteur formidable à mon sens.
Edward Yang : cinéma d'auteur exigeant, bavard. Confusion chez Confucius (1994) est difficile d'accès, poussant le spectateur à réfléchir. Mais la forme est remarquable.
Ces deux coffrets intéresseront fortement l'amateur éclairé ou en voie de l'être du cinéma asiatique.

- irwinwayfair2
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