170 CD pour moins de 100 euros...

[Abraham.ctl]

c'est vrai qu'à 100€, chacun a du faire un effort au niveau de sa marge. si dans tous les pays des acteurs n'ont pas voulu jouer le jeu du prix psychologique, c'est vraiement domage. Mais lorsque l'on voit qu'Amazon le proposait à un peu plus de 80€, on sent qu'il y avait encore de quoi gratter un peu.

Par contre, vu la complexité du produit, même disque d'or, je ne suis pas certain que beaucoup d'acteur de la chaîne (de l'artiste au distributeur) ait gagné de l'argent avec ce coffret, à part le consommateur bien sûr !!! (et peut-être La Poste)

[Betekaa]

sont très fort les pharmaciens aux pays bas

[angus2]

sont très fort les pharmaciens aux pays bas

C'est normal, la musique c'est bon pour la santé, c'est de la médecine préventive.

[Maxwell Sheffield]

sont très fort les pharmaciens aux pays bas

Mais oui Il est bien connu que la musique a des vertus... Ils préfèrent vendre des disques de bonne musique que de vendre des cachets


     Max, adorable membre des    

[Maxwell Sheffield]

C'est normal, la musique c'est bon pour la santé, c'est de la médecine préventive.

Arf, tu m'as devancé de peu...

     Max, adorable membre des    

[Betekaa]

ben si la sécu peut me rembourser mes CD

[haskil]

Par contre, vu la complexité du produit, même disque d'or, je ne suis pas certain que beaucoup d'acteur de la chaîne (de l'artiste au distributeur) ait gagné de l'argent avec ce coffret, à part le consommateur bien sûr !!! (et peut-être La Poste)

Deux sortes de disque dans ce coffret :

- des nouveautés enregistrées spécialement pour : les artistes sont payés au cachet ou au pourcentage. Généralement au pourcentage des ventes.

Vendre 2000 disques à 30 euros rapporte sans doute moins à un artiste que vendre 17 millions de disques à un demi centimes d'euros...

- des rééditions dont les licences sont achetés à d'autres éditeurs qui ont fini d'exploiter un enregistrement sous leur label ou l'exploitent encore : cette licence vient en plus pour la maison de disque qui détient les droits et elle reverse des royalties sur cette vente aux artistes qui ont enregistrés pour elle. L'artiste touche donc de l'argent en plus de ce qu'il a touché pour l'exploitation de son enregistrement.

Raisons pour laquelle, EMI, Denon, Universal par exemple cèdent des licences à Brilliant (et à d'autres dont Testament) avec l'accord des artistes...

Riccardo Muti par exemple dont les enregistrements symphoniques n'ont jamais fait de grands scores de vente chez EMI au prix fort va toucher des royalties supplémentaires tout comme EMI a trouvé là une façon de rentabiliser un peu mieux des bandes qu'il n'a pas pu rentabiliser en leur temps.

Alain

[Accord]

-au Benelux Brilliant a du rester fidèle, pour des raisons contractuelles, à sa distribution uniquement dans la chaine de magasins dont je ne me rappelle plus le nom!

C'était Kruidvat en Belgique qui pratiquait des prix délirants : 6 € les messes de Haendel, 4 ou 5 € les Rhapsodies hongroises, 10 € le gros coffret des Verdi (6 opéras), 15 € les symphonies de Shosta ...
Depuis qu'on en entend parler en France, on ne les trouve plus chez nos épiciers
Hormis le Mozart, les disques Brilliant se trouvent actuellement dans les FNAC mais sous un autre label, celui de Classic Mania.

[neme$y$]

C'était Kruidvat en Belgique qui pratiquait des prix délirants : 6 € les messes de Haendel, 4 ou 5 € les Rhapsodies hongroises, 10 € le gros coffret des Verdi (6 opéras), 15 € les symphonies de Shosta ...

pas mal les prix !!!
faudrait qu'ils fassent la meme en France

Depuis qu'on en entend parler en France, on ne les trouve plus chez nos épiciers
Hormis le Mozart, les disques Brilliant se trouvent actuellement dans les FNAC mais sous un autre label, celui de Classic Mania.

et malheureusement pour vous, je suppose que le prix a aussi changé, non ???

[Accord]

On les trouve trouve toujours ... sur Abeille.com (2x plus cher en gros)
Ceci dit, c'était à prendre ou à laisser avec chaque semaine sa livraison, puis chaque mois puis plus rien du tout ou toujours les mêmes références

NB , pour les Messes il fallait lire Haydn et pas Haendel.

[adriaticoboy]

Elle est vendue combien l'intégrale Mozart chez Kruidvat ?

[Accord]

Ils l'ont vendue en coffrets séparés et peut-être pas complètement, c'était à peu près 10 € la boîte. Au total la formule actuelle doit être encore plus économqiue.

[Abraham.ctl]

Par contre, vu la complexité du produit, même disque d'or, je ne suis pas certain que beaucoup d'acteur de la chaîne (de l'artiste au distributeur) ait gagné de l'argent avec ce coffret, à part le consommateur bien sûr !!! (et peut-être La Poste)

Deux sortes de disque dans ce coffret :

- des nouveautés enregistrées spécialement pour : les artistes sont payés au cachet ou au pourcentage. Généralement au pourcentage des ventes.

Vendre 2000 disques à 30 euros rapporte sans doute moins à un artiste que vendre 17 millions de disques à un demi centimes d'euros...

- des rééditions dont les licences sont achetés à d'autres éditeurs qui ont fini d'exploiter un enregistrement sous leur label ou l'exploitent encore : cette licence vient en plus pour la maison de disque qui détient les droits et elle reverse des royalties sur cette vente aux artistes qui ont enregistrés pour elle. L'artiste touche donc de l'argent en plus de ce qu'il a touché pour l'exploitation de son enregistrement.

Raisons pour laquelle, EMI, Denon, Universal par exemple cèdent des licences à Brilliant (et à d'autres dont Testament) avec l'accord des artistes...

Riccardo Muti par exemple dont les enregistrements symphoniques n'ont jamais fait de grands scores de vente chez EMI au prix fort va toucher des royalties supplémentaires tout comme EMI a trouvé là une façon de rentabiliser un peu mieux des bandes qu'il n'a pas pu rentabiliser en leur temps.

Alain

Je ne dis pas que les artistes ne sont pas payés, je dis que les coûts de fabrication doivent représenter entre 30% et 50% du prix de vente au public. Si l'on ajoute les 20% de TVA, il ne reste plus beaucoup de place pour les artistes, la mison de disque, l'importateur, le magasin...

En dehors des artistes, la marge récupérés par les acteurs de l'édition/distribution doit donc être "ridicule" par rapport à celle d'un CD normal. Ils doivent probablement récupérer le même montant unitaire qu'avec 1 album au prix fort. Je comprends que les concurrents aient peur

Pour les artistes, ce n'est probablement pas une mauvaise affaire car comme tu le dis, le coffret s'est très bien vendu

[Mabuse]

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-738374,0.html

Fred

[ganymede44]

http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-738374,0.html

Fred

La part de marché du classique dans les FNOUC a triplé !! et atteint 15% !
Ouaouh !