Samedi soir sur Arte, il y avait la Traviata avec une mise en scène de Sofia Coppola.
http://www.arte.tv/guide/fr/068537-000- ... country=FR
|
Modérateurs: Modération Forum Oeuvres & Multimédia, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 45 invités
Qu'est ce que vous écoutez en ce moment ?
- Nick Cave
- Messages: 814
- Inscription Forum: 06 Jan 2005 2:11
Nick Cave a écrit:Samedi soir sur Arte, il y avait la Traviata avec une mise en scène de Sofia Coppola.
http://www.arte.tv/guide/fr/068537-000- ... country=FR
Superbe !
- alain_38
- Messages: 327
- Inscription Forum: 06 Avr 2011 16:55
- Localisation: Rhône-Alpes
La révélation Quelle émotion, j'en ai les larmes aux jeux et le palpitant en prend un coup.
- alain_38
- Messages: 327
- Inscription Forum: 06 Avr 2011 16:55
- Localisation: Rhône-Alpes
JS Bach revisité par Nemanja Radulovic.
Toccata & Fugue BWV 565 au violon et orchestre.
https://www.deezer.com/album/14167776
Toccata & Fugue BWV 565 au violon et orchestre.
https://www.deezer.com/album/14167776
- alain_38
- Messages: 327
- Inscription Forum: 06 Avr 2011 16:55
- Localisation: Rhône-Alpes
Concert de 1999
Dominique A avait encore quelques cheveux
et chantait divinement bien dans cette black session de Yann Tiersen
J'aime énormément cette version des Bras de Mer qui me ramène à chaque écoute dans le Finistère
Dominique A avait encore quelques cheveux
et chantait divinement bien dans cette black session de Yann Tiersen
J'aime énormément cette version des Bras de Mer qui me ramène à chaque écoute dans le Finistère
- menthalo
- Messages: 1857
- Inscription Forum: 25 Aoû 2002 18:18
Ce matin je me suis refais l'album OutRun de Kavinsky
Protovision
Suburbia
Endless
Protovision
Suburbia
Endless
- Darkhan
- Membre d'Honneur
- Messages: 32327
- Inscription Forum: 25 Mai 2008 9:32
J'aime beaucoup cette version par Groove Armada d'un titre de Brian Ferry
Shameless
Shameless
- menthalo
- Messages: 1857
- Inscription Forum: 25 Aoû 2002 18:18
C'est le bruit d'un climatiseur.
Je le met en route pour ne pas entendre la musique zouk, raegge et dancehall de la voisine du dessus.
- asheewan
- Messages: 1085
- Inscription Forum: 19 Sep 2012 1:56
Orphée de Johann Johannsson. Ah ces islandais
- alain_38
- Messages: 327
- Inscription Forum: 06 Avr 2011 16:55
- Localisation: Rhône-Alpes
Lianne de La Havas, album Blood, titre Green&blood
Superbe album amha.
Superbe album amha.
- Unjeff
- Messages: 1975
- Inscription Forum: 28 Nov 2006 12:45
- Localisation: Ailleurs
Pour Alain...
Jusqu’au 8 janvier 2017, une drôle d’installation permet de découvrir le compositeur Johannes Ockeghem, qui a marqué l’histoire de la région de Tours à la Renaissance. Conçu grâce aux travaux de scientifiques, le Cubiculum musicae fait partie de l’exposition « Martin de Tours, le rayonnement de la cité ».
Dressé dans la cour du musée des Beaux-Arts de Tours, un dispositif inédit propose au public de découvrir l’un des plus grands compositeurs de la Renaissance : Johannes Ockeghem. Ce musicien, né vers 1420 dans le Hainaut et mort en 1497 à Tours, fut premier chapelain du roi et trésorier de la basilique Saint-Martin de Tours. Nom de code de cette boîte à musique géante : le Cubiculum musicae.
Alliant réalité virtuelle et sciences humaines, l’installation s’inspire des « lieux de collection » (studiolo) de la musique qui se sont développés à la Renaissance. Amateurs et érudits y déposaient des partitions, des instruments ou objets de musique et des peintures aux thèmes musicaux.
C’est sur ce modèle que Philippe Vendrix, aujourd’hui président de l’université de Tours, a imaginé le Cubiculum (lire ici notre article publié sur le sujet en 2013). « Philippe Vendrix a eu l’idée d’actualiser ce concept et de créer une salle mobile, parfaitement insonorisée, équipée d’une excellente spatialisation du son, où pouvoir diffuser des projets sur la musique selon le lieu patrimonial dans lequel est posé le dispositif », nous révèle Camilla Cavicchi, chercheuse associée au Centre d’études supérieures de la Renaissance1 (CESR), qui a participé à la conception du projet. L’objectif de ce dernier : susciter la curiosité pour des productions musicales parfois complexes.
Le Cubiculum musicae Ockeghem – Saint-Martin se veut une invitation à comprendre, voir et entendre une œuvre musicale, le musicien qui l’a composée et le contexte qui les ont vus évoluer. Le choix du compositeur Johannes Ockeghem s’est imposé de lui même. « Ce compositeur de la Renaissance a en effet œuvré à la collégiale Saint-Martin », précise Camilla Cavicchi.
L’expérience sensorielle et temporelle se déroule en deux temps : à l’extérieur du cube, des panneaux retracent la vie et le parcours de Johannes Ockeghem dans les lieux de la ville de Tours ; à l’intérieur, un dispositif sonore inséré dans les parois, un écran haute définition, et le noir absolu isolent le visiteur de l’extérieur. Un documentaire, réalisé avec la technologie en 3D « matte painting » – parmi l’un des premiers trucages ayant été inventés pour le cinéma, un décor fictif élaboré à partir d’images existantes –, permet de découvrir le travail, la conception et la création de l’œuvre musicale d’Ockeghem. « Ce documentaire est une invitation, pour le public, à vivre cette expérience musicale inédite, accompagnée par des enluminures, des incunables qui datent des premiers temps de l’imprimerie, des tableaux d’artistes tourangeaux de l’époque d’Ockeghem. C’est un voyage dans la musique d’Ockeghem qui se réalise grâce à la technologie et à un espace narratif sonore spécialement élaboré », explique Camille Cavicchi.
Au cœur de l’installation, une composition liturgique, le Kyrie de la messe De plus en plus d’Ockeghem. Deux découvertes scientifiques inédites, autour de cette composition, sont présentées. La première concerne la datation de cette œuvre musicale. Menée par Agostino Magro, maître de conférence à l’université de Rennes et chercheur associé au CESR, une étude a permis de découvrir, dans la structure générale de cette messe polyphonique, la citation de l’antienne Dixerunt discipuli, un chant expressément créé pour le culte de saint Martin. Cela a permis d’affiner la datation de l’œuvre, certainement composée vers 1460-1461, mais aussi d’en estimer les implications historiques et l’influence musicale. « Comme en histoire de l’art, la datation des œuvres musicales de la Renaissance fait défaut, et il est souvent difficile de construire une histoire des processus créatifs sur des fondements chronologiques solides », relève Camilla Cavicchi.
La seconde découverte est primordiale pour la connaissance de l’œuvre d’Ockeghem : il s’agit d’une lettre de 1523, en provenance de Milan, qui atteste de l’authenticité et d’une large diffusion d’une œuvre de Ockeghem : « La lettre de l’ambassadeur ferrarais à Milan cite le motet à 36 voix d’Ockeghem. Elle nous dit que 26 ans après la mort du compositeur, à 1 200 kilomètres de Tours, les aristocrates italiens évoquaient encore la beauté et l’originalité de cette composition musicale d’Ockeghem. Les musicologues ont longtemps hésité sur la fiabilité des informations concernant cette œuvre ; aujourd’hui nous pouvons confirmer qu’elle est authentique », précise Camilla Cavicchi.
Le programme Ricercar, à l’initiative du Cubiculum musicae, ne compte pas s’arrêter là : « Nous travaillons actuellement à une médiation des contenus du Cubiculum pour Oculus (des masques de réalité virtuelle, NDLR), ce qui nous permettrait d’offrir une expérience musicale et visuelle plus immersive et plus facile à exporter », dévoile Camilla Cavicchi. En attendant, une exposition virtuelle (link is external) est disponible en ligne pour poursuivre l’expérience autour d’Ockeghem. Entre les technologies innovantes et la restitution des réalités musicales du passé, l’histoire vient tout juste
(Le journal du CNRS)
A+
Dressé dans la cour du musée des Beaux-Arts de Tours, un dispositif inédit propose au public de découvrir l’un des plus grands compositeurs de la Renaissance : Johannes Ockeghem. Ce musicien, né vers 1420 dans le Hainaut et mort en 1497 à Tours, fut premier chapelain du roi et trésorier de la basilique Saint-Martin de Tours. Nom de code de cette boîte à musique géante : le Cubiculum musicae.
Alliant réalité virtuelle et sciences humaines, l’installation s’inspire des « lieux de collection » (studiolo) de la musique qui se sont développés à la Renaissance. Amateurs et érudits y déposaient des partitions, des instruments ou objets de musique et des peintures aux thèmes musicaux.
C’est sur ce modèle que Philippe Vendrix, aujourd’hui président de l’université de Tours, a imaginé le Cubiculum (lire ici notre article publié sur le sujet en 2013). « Philippe Vendrix a eu l’idée d’actualiser ce concept et de créer une salle mobile, parfaitement insonorisée, équipée d’une excellente spatialisation du son, où pouvoir diffuser des projets sur la musique selon le lieu patrimonial dans lequel est posé le dispositif », nous révèle Camilla Cavicchi, chercheuse associée au Centre d’études supérieures de la Renaissance1 (CESR), qui a participé à la conception du projet. L’objectif de ce dernier : susciter la curiosité pour des productions musicales parfois complexes.
Le Cubiculum musicae Ockeghem – Saint-Martin se veut une invitation à comprendre, voir et entendre une œuvre musicale, le musicien qui l’a composée et le contexte qui les ont vus évoluer. Le choix du compositeur Johannes Ockeghem s’est imposé de lui même. « Ce compositeur de la Renaissance a en effet œuvré à la collégiale Saint-Martin », précise Camilla Cavicchi.
L’expérience sensorielle et temporelle se déroule en deux temps : à l’extérieur du cube, des panneaux retracent la vie et le parcours de Johannes Ockeghem dans les lieux de la ville de Tours ; à l’intérieur, un dispositif sonore inséré dans les parois, un écran haute définition, et le noir absolu isolent le visiteur de l’extérieur. Un documentaire, réalisé avec la technologie en 3D « matte painting » – parmi l’un des premiers trucages ayant été inventés pour le cinéma, un décor fictif élaboré à partir d’images existantes –, permet de découvrir le travail, la conception et la création de l’œuvre musicale d’Ockeghem. « Ce documentaire est une invitation, pour le public, à vivre cette expérience musicale inédite, accompagnée par des enluminures, des incunables qui datent des premiers temps de l’imprimerie, des tableaux d’artistes tourangeaux de l’époque d’Ockeghem. C’est un voyage dans la musique d’Ockeghem qui se réalise grâce à la technologie et à un espace narratif sonore spécialement élaboré », explique Camille Cavicchi.
Au cœur de l’installation, une composition liturgique, le Kyrie de la messe De plus en plus d’Ockeghem. Deux découvertes scientifiques inédites, autour de cette composition, sont présentées. La première concerne la datation de cette œuvre musicale. Menée par Agostino Magro, maître de conférence à l’université de Rennes et chercheur associé au CESR, une étude a permis de découvrir, dans la structure générale de cette messe polyphonique, la citation de l’antienne Dixerunt discipuli, un chant expressément créé pour le culte de saint Martin. Cela a permis d’affiner la datation de l’œuvre, certainement composée vers 1460-1461, mais aussi d’en estimer les implications historiques et l’influence musicale. « Comme en histoire de l’art, la datation des œuvres musicales de la Renaissance fait défaut, et il est souvent difficile de construire une histoire des processus créatifs sur des fondements chronologiques solides », relève Camilla Cavicchi.
La seconde découverte est primordiale pour la connaissance de l’œuvre d’Ockeghem : il s’agit d’une lettre de 1523, en provenance de Milan, qui atteste de l’authenticité et d’une large diffusion d’une œuvre de Ockeghem : « La lettre de l’ambassadeur ferrarais à Milan cite le motet à 36 voix d’Ockeghem. Elle nous dit que 26 ans après la mort du compositeur, à 1 200 kilomètres de Tours, les aristocrates italiens évoquaient encore la beauté et l’originalité de cette composition musicale d’Ockeghem. Les musicologues ont longtemps hésité sur la fiabilité des informations concernant cette œuvre ; aujourd’hui nous pouvons confirmer qu’elle est authentique », précise Camilla Cavicchi.
Le programme Ricercar, à l’initiative du Cubiculum musicae, ne compte pas s’arrêter là : « Nous travaillons actuellement à une médiation des contenus du Cubiculum pour Oculus (des masques de réalité virtuelle, NDLR), ce qui nous permettrait d’offrir une expérience musicale et visuelle plus immersive et plus facile à exporter », dévoile Camilla Cavicchi. En attendant, une exposition virtuelle (link is external) est disponible en ligne pour poursuivre l’expérience autour d’Ockeghem. Entre les technologies innovantes et la restitution des réalités musicales du passé, l’histoire vient tout juste
(Le journal du CNRS)
A+
- Robert64
- Contributeur HCFR
- Messages: 5320
- Inscription Forum: 12 Sep 2006 15:40
- Localisation: Sud Ouest
Let's Go (Feat. High Priest) tiré de l'album Tohu Bohu de Rone
- Darkhan
- Membre d'Honneur
- Messages: 32327
- Inscription Forum: 25 Mai 2008 9:32
Merci Robert. Ah ma Touraine chérie. Et Johannes Ockeghem
Je recommande une très belle publication du label agOgique.
Edit : En revisionnant la vidéo, mais pinaise, mais c'est bien sûr, c'est l'abbaye de Noirlac
Je recommande une très belle publication du label agOgique.
Edit : En revisionnant la vidéo, mais pinaise, mais c'est bien sûr, c'est l'abbaye de Noirlac
- alain_38
- Messages: 327
- Inscription Forum: 06 Avr 2011 16:55
- Localisation: Rhône-Alpes
Une belle mélancolie dans ce nouveau titre de Vincent Delerm qui ne veut pas mourir ce soir
Le video-clip est particulièrement réussi et viens soutenir la mélancolie aérienne de la chanson
Le video-clip est particulièrement réussi et viens soutenir la mélancolie aérienne de la chanson
- menthalo
- Messages: 1857
- Inscription Forum: 25 Aoû 2002 18:18
Au moment sur la platine : Samuel Barber - Agnus Dei. Transcription de Laurence Equilbey. Interprétation par son ensemble Accentus. C'est superbe.
- alain_38
- Messages: 327
- Inscription Forum: 06 Avr 2011 16:55
- Localisation: Rhône-Alpes
|
Retourner vers Musique enregistrée : BD, CD & DVD
|