Bonjour Michel,
Merci pour ta réponse
mmmmh, en lisant ta réponse et en réfléchissant un peu aux techniques de mesures en général,
puis - je affirmer qu' en fait, la sonde HCFR est un outil qui du fait de sa construction
" artisanale " doit être calibré afin de coller à la réalité alors que des sondes de type Sypder II
et autres ont déjà été calibrées en usine ( sur banc de test ) ???
Maintenant, supposons que la sonde HCFR soit calibrée avec une source lumineuse de reférence
permettant d' obtenir un blanc D65 tels que spécifié par la CIE, penses - tu que la sonde
serait alors apte à mesurer différents projecteur sans recalibration en fonction du modèle ???
Et pour finir, si j' ai bien compris le principe, le blanc D65 d' un projecteur ( qui va donc nous servir de point 0 pour la sonde ) n' est en fait valable que pour ce modèle de projecteur
vu que son additivité dépend de son image spectrale d' où la nécessité du recalibrage pour un autre modèle ???
Suis - je dans le vrai ou ???
Bien cordialement,
Jean - Pierre
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MLill a écrit:Bonjour Jean-Pierre

Une sonde idéale a une sensibilité spectrale identique aux normes définies par le CIE en 1931.
Ce n'est pas du tout le cas de notre sonde d'où la nécessité de recourir à des fichiers étalons pour interpréter les mesures en fonction des caractéristiques spectrales de chaque projecteur.
Les réponses spectrales des sondes Spyder II et DTP-94 ne sont pas parfaites mais suffisantes pour qu'en pratique on puisse se passer d'étalons.
Elles peuvent néanmoins bénéficier de l'apprentissage d'une sonde plus précise, dont le principe est le même que l'étalonnage.
Michel