Scytales a écrit:Bonjour,
Je pense que c'est une erreur : il vaudrait bien mieux s'équiper d'une paire d'enceintes adaptées au nouveau local d'écoute et seulement ensuite, si par improbable un amplificateur aussi puissant qu'un NAD C370 ne convenait pas ou s'il ne dispose pas de toutes les fonctionnalités que l'on souhaite, s'inquiéter de le changer.
Bonjour Scytales,
D'accord. Je suis novice et je ne sais pas du tout à quel point l'ampli va peser dans la qualité de restitution du son. Et même si l'ampli fonctionne encore sans souci (je n'ai eu que le fusible à remplacer une fois au cours de sa petite vie), je me dis que si je choisis des enceintes en fonction de cet ampli et qu'il me lâche au bout de quelques années je vais me sentir bête. C'est pour ça que je pensais repartir sur un nouvel ampli. Et une envie de me faire plaisir aussi, je fais attention à mes dépenses en général et là je voulais me faire un "petit" cadeau. ^^
gailuron a écrit:Le NAD C370 était un très bon ampli et le reste probablement si son potentiomètre et ses condensateurs ne sont pas en bout de course à cause de leur âge. Comme le dit Scytales, il faut toujours commencer par les enceintes. Les enceintes doivent être adaptées à la pièce d'écoute et l'ampli doit convenir aux enceintes. C'est vrai en HiFi comme en Home-Cinéma.
D'accord. Je n'ai aucune idée de l'état des condensateurs, et pour le potentiomètre, c'est quoi ? Le bouton du volume ? Celui-ci fonctionne parfaitement en tout cas.
Donc je peux me faire plaisir avec les enceintes et ensuite voir si l'ampli peut les "driver" ? Quand tu dis qu'il faut qu'elles soient adaptées à la pièce d'écoute, est-ce que c'est en volume d'air , surface, disposition ? Quels paramètres dois-je prendre en compte et comment les transposer en un choix d'enceintes ?
gailuron a écrit:--Ludo-- a écrit:Côté musique connectée, je n'ai pas trop envie de prendre quelque chose d'intégré.....
C'est tout à fait exact.
Et en même temps, je finis par me torturer le cerveau tout seul avec ce paradoxe, puisque d'un autre côté, plus la mise en œuvre est simple, et plus ma famille l'utilisera, ce qui est aussi très important. Et j'ai l'impression que l'intégration des différents éléments en un seul a malgré tout un fort impact sur la simplification.
gailuron a écrit:Quoique ses fans en disent, le tube est une technologie dépassée dont la puissance est limitée, qui consomme beaucoup d'énergie et qui a une forte distorsion harmonique. Bien exploitée par les fabricants, cette distorsion offre un son dit "chaleureux" qui plaît à l'oreille comme les écrans légèrement trop saturés en couleurs plaisent à l'oeil. Certains fabricants d'amplis à transistors vont même jusqu'à reproduire le son des amplis à tube grâce à des artifices électroniques. Pour être encore plus crédibles, d'autres fabricants d'amplis à transistors poussent même le vice jusqu'à ajouter des tubes bien visibles dont le rôle réel est en fait mineur.
Les deux défauts majeurs du tube peuvent devenir des avantages dans certaines conditions d'écoute. Le manque de transparence permet d'atténuer les défauts de certains enregistrements, notamment les vieux enregistrements numériques. Le son "chaleureux" permet d'écouter de la musique de longues heures sans fatigue auditive.
A l'opposé, les FDA, comme le Classé Audio Sigma 2200i ou les petits amplis chinois, sont très transparents et ne pardonnent rien aux mauvais enregistrements (il y en a beaucoup).
D'accord, merci pour ces arguments également, c'est intéressant d'avoir plusieurs points de vue.