gloinfred a écrit:Boc21 a écrit:En France, une seule fois dans ta vie, pour quelque raison que ce soit, tu consultes un psy et tu dis au revoir à tes armes à feu pour toujours.
Sérieux?
Si tu es un détenteur légal d'armes dites "de guerre" (par la presse), à savoir des armes de poing ou d'épaule tirant en semi-automatique dans un cadre sportif, oui je suis sérieux...
Une seule fois, une seule consultation auprès d'un médecin neuropsy pour quelque raison que ce soit, toutes tes armes partent à la destruction (ainsi que tes autorisations de détention bien entendu).
Sérieux il y a des milliers et des milliers d'individus parmi nous qui détiennent des armes capables de faire d'autres dégats qu'un fusil de chasse...
Vous entendez souvent parler d'un de ces gars là comme auteur d'un massacre, crime, pétage de plomb ?
En France certificat médical tous les ans nécessaire pour pratiquer le tir sportif et conserver sa détention, obligation d'entrainement effectif au tir, suivi constant par les équipes assurant la formation etc...
Et au moindre petit problème psy (genre déprime ta femme te largue, tu vas voir un psy...) c'est terminé.
Des règles aussi rigoureuses qu'efficaces.
La preuve : les tireurs sportifs utilisant des armes "de guerre" existent en France depuis des décennies et des décennies et on en entend -presque- jamais parler.
Quoique dernièrement, un papi flingueur qui a de toute évidence connu un épisode paranoïaque ayant échappé à son entourage
http://www.leparisien.fr/faits-divers/l ... 614793.phpSnatcher a écrit:Boc21 a écrit:Non pour éviter ces horreurs, juste un truc de base : évaluation psychiatrique indispensable chaque année pour tout détenteur d'arme. Tous les tueurs de masse sont (bien entendu) cinglés au dernier degrès.
P'tain. Fortune assurée pour les psys américains. Déjà qu'ils n'ont pas à se plaindre de la fréquentation de leurs cabinets par leurs concitoyens...
Oui mais visiblement la couverture de la population n'est pas totalement assurée (le tireur de Las Vegas était visiblement complètement dingue).
Tu as bien compris que je parlais de médecins psychiatres, pas de psychanalystes.