Sonlam a écrit: Salut Marc,
On aura tout vu toi faire l'apologie des Utopia pourtant si différentes de tes Spendors!
Peux-tu en dire plus sur les cables secteurs testés? J'ai remarqué que tu vendais un Anaconda VX que je juge avec le King Cobra comme le meilleur et pour tout dire un des rares cables secteurs recommandables.
Salut Sylvain,
j'ai toujours fait l'apologie des Utopias. L'écoute faite avec les gros audio research Reference, un TL-1x et un audiomat Maestro, câblage Transparent Ultra XL, mise au point parfaite, reste la meilleure écoute effectuée à ce jour. Timbres, définition, énergie, spatialisation réunis dans une même écoute. A mille lieues des écoutes de salon, y compris la dernière avec les Lamm, où ça ne décolle pas. J'ai beaucoup évolué dans mes écoutes et mes exigences, je me réfère à un choc d'il y a deux ans. Peut-être serais-je moins bluffé aujourd'hui. L'écoute des Wilson Grand Slam, alimentées par les mêmes électroniques (Ref 300 au lieu de 600, mais c'est très proche), n'arrivaient pas à la cheville. Mais c'était aussi dans un salon.
L'Anaconda Vx est, avec le Taïpan, les seuls câbles testés chez moi qui apportaient un réel plus. Tous les autres soit ne faisaient rien, soit modifiaient plus ou moins le son, mais jamais en mieux. L'Anaconda marche parfaitement sur le drive, le Taîpan sur les appareisl analogiques, le mieux étant sur le pré-ampli. Le premier "lave" le son et en fait ressortir la richesse harmonique ainsi que rétablit un équilibre plus juste. Le second apporte énergie et contrôle.
Les câbles que je compte acheter apportent une énergie époustouflante, un meilleur contrôle et beaucoup de définition induite, avec un effet de relief musical résultant de tout ça. Je n'y trouve aucun défaut, à part le prix, similaire à celui de l'Anaconda. Je n'imagine pas ne pas en mettre 3, un sur le drive (effet énorme sur le grave, en quantité et en contrôle, et sur la dynamique), un sur le convertisseur (effet important sur le contrôle), et un sur le pré-ampli (effet énorme sur le contrôle et la définition induite, énergie). L'effet est faible sur une voix isolée, mais sur une symphonie, du jazz avec une basse velue ou même un trio de jazz armé d'un contre-bassiste volontaire, l'impact est énorme.
Mais, à ce stade, mon propos n'est pas de faire la pub d'une marque de câbles secteur (tu viendras écouter), mais de dire qu'il ne faut pas toujours penser que la qualité de grave ne tient qu'à un ampli insuffisant ou des enceintes trop grosses pour la pièce.
Marc