Mambosun écrit : - s'interroger sur le caractère aléatoire de la qualité du son à laquelle il faut s'attendre à chaque nouvelle acquisition, malgré les progrès techniques indéniables de ces dernières décennies.
On disait la même chose du temps du microsillon. On ne comprenait pas pourquoi les disques étaient si mal pressés et les prises de son si dégueulasses en moyenne... Car si les progrés techniques sont indéniables, les progrés des hommes le sont moins...
Qui jugent d'une technologie d'une façon insensée (on en a quelques exemples sur ce thread)
Qui l'utilisent avec un goût de chiote : la qualité finale d'un disque, LP ou CD, dépend en quasi totalité, sauf accident, de la façon bonne ou mauvais dont on utilise la technologie et en musique acoustique de l'endroit où l'on place les micros dans le bon studio ou la bonne salle...
Un bon producteur (directeur artistique) fait de bons disques, en 1955 comme en 2005, un mauvais producteur fait de mauvais disques en tout temps...
il est très possible, même facile de trouver des microsillons bien plus mauvais que le CD qui a été pressé ultérieurement...
- également comment les audiophiles "vivent" avec cette réalité parfois incontournable: j'adore tel artiste mais ses CDs sont quasi inécoutable sur un bon système particulièrement transparent et neutre (donc Hifi selon moi)?
Mais du temps du microsillon, il en allait de même. Comment faire quand on adorait Karajan et Samson Françoisn quand on adorait Solti, Lupu et Ashkénazy, entre autres, pour écouter leurs microsillons EMI et Decca ?
Alain