angus2 a écrit:Je n'aime pas les casques fermés, mes oreilles aiment la liberté et en plus ça empêche les gros ions de sortir.
(c'est quoi le casque ?
).
1/ je n'ai pas de casque fermé (l'est pas encore arrivé!
)
2/ or, quand bien même: ça ne m'empêcherait pas de te
lire (vu que je lis avec les zyeux et que je ne pose aucun casque dessus)
3/ donc: je racontais ENCORE des çonneries!
N.B. Au casque y'a plus d'ion qui viennent brouiller l'écoute car:
1/ la distance enceinte/oreille est plus grande que la distance casque/oreille (surtout vue la distance entre les oreilles)
2/ or, seuls les zions lourd (de Langevin) peuvent décaler les sons
3/ donc, vu qu'ils sont lourds, il y en a plus qui tombe par terre en venant des enceintes** avant de nous arriver dans les cornets que dans le cas du casques
CQFD.
Corollaire: quand on écoute aux enceintes, après un disque, il y a plein d'ions lourds par terre sur la moquette (mais on les voit pas: c'est comme les acariens et les bonnes choses dans les granules) — si l'on passe l'aspirateur, on en enlève plein. C'est la raison pour laquelle le son est meilleur après.
Là bien fait de t'enguirlander le Piel, on mélange pas les blanches colombes avec la cruche à l'eau.
La bave gluante de l'immonde limace ne saurait souiller le noble cerf au front purpurin qui traverse la forêt de l'élan insouciant de sa course!
et en plus dans mon cas, c'est "cruchon" qu'il faut dire et pas "cruche", alors…
et en plus ÇéÇuikildikihiyé!
N'empêche que lee truc de Johannet est quand même un beeau cas d'irraationnel pur:
- soit un fait non avéré (de l'existence duquel on peut discuter des heures durant vu que les faits ne se prouvent pas par théorie mais se découvre par procédés expérimentaux construits):
mettons, si l'on veut, que le rayonnement lunaire a une influence (négative évidemment) sur la restitution sonore (d'où l'influence du calendrier et des salles en sous sol sur les chaînes hifi)
- on peut toujours bâtir une théorie susceptible de l'expliquer — en patouillant un coup de gravitation, un coup de particules subtiles et en prenant des modèles analogiques du côté des marées, des femmes qui accouchent et du taux de suicide en Patagonie sub-saharienne
- et s'invectiver en dé-mon-trant (sci-en-ti--fi-que-meent! vous dis-je) qu'il ne s'agit en réalité que d'un effet de l'imaginaire collectif sur les subjectivités enflammées des "lunatiques"…
Ça passe le temps.