dgohyeres a écrit:Et il est tout de même souhaitable d'avoir au moins 2v.
Ok, et tu le reçois quand ?
Cdt
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Modérateurs: Modération Forum Haute-Fidélité, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: vega et 118 invités
dgohyeres a écrit:Et il est tout de même souhaitable d'avoir au moins 2v.
romtom a écrit:cohuelaz a écrit: ... Tu veux irriguer ton champ et tu va faire des canaux ...
Ah ben tu vois, ça me parle vachement ( ) plus les histoires de champ et de moutons. Faut dire que j'ai plus une formation d'agronome que d'électricien . T'as choisi le bon terrain (re ) pour tes explications !
fargo a écrit:cohuelaz a écrit: les Icos
Cela sonne comment ?
Cdt
Glacé !!!!!
fargo a écrit:Bon moi, je ne comprends ren et je suis sourd................ça aide !!!!!
cohuelaz a écrit:Paull a écrit:
cohuelaz, tu m'éclaires sur l'acquisition d'un pré pas trop cher qui magnifierait mon Icos Elsberg 270, et moi, je t'apprends à quoter.
Je veux bien apprendre à quoter mais pour ton ampli je connais pas, mais pas du tout les Icos
Cela sonne comment ?
Cdt
ICOS 270 + S25 : Ouah le pied!!
Comme certains d’entre vous l’on constaté, parfois avec étonnement, j’ai troqué mon excellent SIM AUDIO MOON I5 pour un véritable pur-sang qui se prénomme ICOS 270 tout cela pour conduire les superbes S25 qui trônent dans mon salon depuis un an déjà.
Alors pourquoi ce changement et quel est l’apport de l’ICOS.
Dans un premier temps je dois préciser que l’ICOS était depuis longtemps dans ma short liste suite à une écoute comparative mémorable entre ce dernier et un MOON I3 sur des D15. Il y a des chocs comme cela qui vous marquent définitivement.
L’ICOS surpassait l’I3 et a peu près tout ce que j’avais pu modestement écouter à l’époque (il est vrai plutôt dans la gamme I3) sur tout les critères et en particulier sur le plaisir d’écoute avec des timbres magnifiques ( je me souviens particulièrement du piano de Keith Jarrett sur Koln concert qu’un client avait mis, c’était assez fabuleux, bien que je ne soit pas un accroc de ce pianiste). Mais il restait au prix du neuf hors de mes moyens.
Et l’histoire a voulu qu’un I5 d’occase, dont j’avais pu également constaté la bien meilleur performance que l’I3, se présente sur ma route , d’où mon petit détours par l’I5, avant de trouver un 270 sur le marché de l’occasion, à un prix décent.
Je sais que l’ICOS 270 ne fait pas ici l’unanimité notamment des « tubistes », alors que justement l’ICOS a, à mes yeux (ou plutôt mes oreilles), tout ce qui manque au tube : rapidité, précision et grave somptueux.
Je constate aussi que ceux qui ont le bonheur d’avoir goûté à ses immenses qualités (plus ou moins mises en valeur selon l’association des autres éléments bien sur) ont du mal à s’en démettre (j’hésitais entre s’en remettre et s’en défaire). Nota : celui qui me l’a cédé en avait 2.
Je peux aussi affirmer que ce n’est pas le look qui m’a convaincu, car le genre « pierre tombale », et « dorure Marie Antoinette » n’est vraiment pas mon style.
(Alors que le MOON de ce côté là est à mon goût très design.)
Je dois donc le supporter visuellement (bon là j’en fait peut être un peu trop !) , pourtant dès qu’il chante, on oublie instantanément le plumage de la bête.
Bon allez, qu’est ce qu’il apporte ce 270 …...''
Je dirais en préambule que mes commentaires ne sont bien sur valables que dans le contexte des S25 + Ikemi, et ne sauraient représenter un avis « absolu », et en particulier les capacités et qualités du MOON sont certainement mis en difficulté (relative) avec les S25, mais peuvent s’exprimer beaucoup mieux avec des enceintes plus faciles (je le trouvais fabuleux avec mes anciennes Elipson).
Ce qui frappe d’entrée de jeu (et dès la mise sous tension) c’est la formidable transparence , et la clarté de l’ICOS (ce qui ne veux pas dire clairet, car de la matière il y en a et de toute beauté) associé à une matière sonore qui donne aux instruments une densité particulière . Il y a énormément d’air entre les instruments. L’expression « un voile disparaît » est tout à fait appropriée. Et pourtant la transparence du I5 est également significative.
La précision, et la rapidité du 270 sont aussi au summum. Bien meilleures que le MOON, et j’ai eu l’occasion de constater chez mon vendeur qu’il dépassait également l’Audiomat Opéra sur ce critère (qui n’est pas non plus des plus mauvais côté plaisir d’écoute).
Une réponse en fréquence plus étendue que le MOON, avec un grave plus lisible, d’une profondeur , d’une tension et d’une fermeté pour moi jamais entendue ailleurs avec les S25, y compris avec des blocs mono Vincent + 2 fois plus puissants.
Le morceau n° 7 du disque de Patricia Barber « Night club » est très démonstratif à ce sujet. Le claquement des cordes de la contrebasse est gigantesque de vérité et de fermeté.
Une subtilité des timbre associé à la précision qui me laisse baba.''
Et là les S25 y sont certainement aussi pour quelque chose.
Avec l’ICOS, on peut percevoir toute la subtilité du toucher de l’archet sur les cordes d’un violon, on appréhende parfaitement le geste du musicien. Ecouter Jordi Savall prend une nouvelle dimension . Au de là de la note transmise par l’instrument, on perçoit toute la modulation de la vibration de la corde et ses nuances qui enrichissent la perception globale d’une infinité de micro information et qui apporte une impression assez fabuleuse de présence. L’instrument est là devant moi !
En photo, on appelle cela le piqué, ces micro informations apportées par chaque « pixel » qui donnent à l’image globale toute sa richesse et sa subtilité.
Les attaques de notes sont extrêmement rapide, et la modulation de chaque note est extrêmement riche. Sur le disque de luth Dowland A Dream la précision de l’attaque des cordes est restituée dans toute sa richesse et sa diversité: du plus petit frottement au picking énergique. Il semble qu’il ne manque rien depuis l’attaque jusqu’à l’extinction de la note !
C’est ce qui est surprenant, car le son de la note joué n’est pas sec, il a de la rondeur, de l’amplitude, du volume, une durée, bref une existence propre dans l’air.
Le disque d’Hellène Grimaud (chopin + rachmaninov) est une vrai splendeur de réalisme ! Le piano a une enveloppe sonore telle que l’on croirait le piano dans la pièce. Et toutes les nuances du jeu sont restituée avec un vérité époustouflante : les attaques sont tantôt foudroyantes tantôt d’un velours des plus doux. Il y a de la matière, de la nuance, et une lisibilité extrême. Toutes les notes trouvent leur espace et leur longueur selon la frappe sur le clavier. C’est incroyable de précision. On est envoûté par ce que l’on entend.
Bien sur toutes les micro informations des timbres de la voix sont retransmis avec précisions, le morceau de Mark Curry qui sert de référence à la NRDS en témoigne, quel détail ! quelle précision ! mais aussi vérité, ce qui signifie que ce n’est pas toujours du meilleur effet lorsque cela n’est pas maîtrisé par le chanteur (respiration, claquement de langue et autres sons disgracieux que l’on entend parfois avec certains) .
Et oui, avec l’ICOS et les S25 on entend tout.
J’ai été surpris par certain commentaire ici et là sur le forum de personnes qui se plaignent de la « trop grande » rapidité d’un ampli. Qu’est ce que cela veut dire ? Est ce que trop rapide signifie « sec », « aigre » ? Ce n’est pas du tout le cas de l’ICOS.
Sur les sons de percussion, avec le MOON j’avais l’impression d’avoir atteint des sommets (rapidité et dynamique). Avec l’ICOS c’est encore plus riche : chaque étape entre la frappe et la fin de la résonance de peau est encore plus nette, plus détourée. C’est plus tendu également, alors que le MOON paraît par contre plus timbré (plus rond ?). Les grands toms indiens sur Trilok Gurtu ont une profondeur et une lisibilité de timbre incroyables. Ils ne couvrent aucunement ce qui se trouve devant comme on peut le constater sur d’autres amplis.
Les voix de soprano monte très haut avec une beauté cristalline, sans jamais franchir le cap d’une quelconque dureté, même à haut niveau sonore. Que ce soit Montserat Figueras, Loreena Mc Kennitt ou bien Rebecca Pidgeon, c’est la même pureté. Dans ce cas c’est ma pièce qui vient limiter cette capacité. Elle est actuellement trop claire et demande à être plus amortie. Sur ce point, c’était déjà vrai avec le MOON.
Là également la douceur du MOON donne l’impression (subjective) qu’il monte moins haut.
Je comprend d’ailleurs que certains n’aime pas ce côté analytique et préfèrent se laisser porter par un flot musical plus approximatif, et plus doux, moins rapide qui gomme ces détails, arrondit les angles.
Mais pour moi les détails contribuent totalement à la perception de ce que l’artiste a mis comme sensibilité dans son jeu (quelque soit l’instrument d’ailleurs), et cela participe à me faire me fait vibrer (de plaisir). ''
Certains vont se dire, le MOON ce doit être une sacré daube. Je les rassure, il n’en est rien, mais l’ICOS va tellement plus loin (avec les S25 s’entend). Et puis c’est aussi ce que je recherche.
C’est un peu comme avec le vin : certains sont techniquement bien faits, mais d’autres ont en plus cette touche, ce petit quelque chose de plus qui décuple le plaisir. 270+ S25 c’est du très grand Vintage.
Les deux seuls points ou le MOON (AMHA) dépasserait l’ICOS sont la dynamique, et la précision de la scène sonore.
Et encore, je dois préciser et relativiser.
Pour ce qui est de la dynamique, je me demande si la solidité et la facilité de l’ICOS lors des éclats de masse orchestrale ne me trompent pas sur ce critère. Le passage de la douceur à quelque chose de plus vif avec le Moon , sur les forte, donne une impression subjective de plus de dynamique (peut être due au passage de la classe A à la classe AB sur le Moon ?).
Du fait de son extrême transparence, l’écoute avec l’ICOs est déjà excellente à bas niveau. Le MOON demande dès le départ d'être un peu boosté pour donner toute sa mesure avec les S25, ce qui fait que je devais écouté sans doute à niveau plus élevé.
Quant à l’image de la scène sonore, elle est très très précise sur le Moon. L’image de chaque instrument est très focalisée en un point précis, toujours assez en retrait par rapport aux enceintes (on est jamais à moins de 5m de la scène). Sur l’ICOS l’image de chaque instrument est plus large (surtout sur les voix), occupe plus d’espace latéral et peut se situer plus en avant notamment sur les voix, sans jamais dépasser la ligne des enceintes (on est à 2,5 m de la scène). La dimension de l’image est beaucoup plus sensible au placement des enceintes et de la position d’écoute avec l’ICOS.
J’imagine d’ailleurs assez bien que sur certaines enceintes le médium puisse être en avant avec l’ICOS, ce qui n’est jamais le cas avec les S25.
Et pourtant il y a plus d’air autour des instruments, ils sont plus détourés. C’est assez contradictoire n’est ce pas.
En profondeur, les ambiances de salle sont encore mieux restituées sur l’ICOS, toujours ces détails (ce qui n’est pas peu dire car sur le MOON c’était pour moi une grande qualité) et cela apporte donc un mieux sur l’étagement des instruments. Sur la troisième de Mahler par Boulez, c’est holographique ! Le triangle et les toms sont bien placés en profondeur et en hauteur. Avec le Moon, ils étaient là aussi, mais plus tassés avec le reste de l’orchestre en profondeur
Pour conclure, une seule réflexion de mon WAF en dit long sur l’apport de l’ICOS sur mon système : « j’aurais jamais imaginé qu’en changeant d’ampli on puisse avoir une tel différence». Et dieu sait qu’elle n’a pas de parti pris sur le sujet.
Deux conclusions :
Un, je pense vraiment que la mariage ICOS 270 et S25 est fabuleux, et que la dynaudio n’a pas forcément besoin de « beaucoup » de watt, mais de « bon » watt.(ce qui ne veut pas dire que beaucoup de bon watt nuisent, mais qu’en la matière la qualité prime sur la quantité)
Deux , il va vraiment falloir que je m’intéresse sérieusement au traitement acoustique de ma pièce qui doit être maintenant et de loin le point faible de mon système. Les posts sur le TACT RCS m’intéressent au plus haut point.
A ce propos, j’ai écouté il y quelques semaines un concert à la Madeleine. Une réverbération terrible. A chaque finale, deux à trois secondes se passe avant l’extinction des notes, avec pratiquement pas d’atténuation dans la première seconde ce qui fait qu’on entendait un brouhahas de violon, et plus aucune dynamique. Une mini chaîne à 200 Zoros faisait mieux. Quel dommage !
De retour chez moi j’ai été obligé de m’en remettre par une petite écoute, et là que du bonheur !
Paull a écrit:
Le KTR se vend 990 E (une seule entrée, et pas inssaturable).
Je me demande s'il ne m'apporterait pas beaucoup de plaisir à l'écoute.
Voilà...
cohuelaz a écrit:dgohyeres a écrit:Et il est tout de même souhaitable d'avoir au moins 2v.
Ok, et tu le reçois quand ?
Cdt
dgohyeres a écrit:cohuelaz a écrit:dgohyeres a écrit:Et il est tout de même souhaitable d'avoir au moins 2v.
Ok, et tu le reçois quand ?
Cdt
Dans 15 jours.
Paull a écrit:J'ai cru lire qu'un bon pré ampli peut sensiblement élargir et parfois approfondir la scène sonore. J'aimerais beaucoup obtenir ce résultat pour pas cher.
Un pré à tube peut aussi être "musical" mais pas fidèle. Je me demande si ce rendu ne me plairait pas, après avoir écouté de la musique reproduite par des Dynaudio (avec une platine Rotel en amont)
Le KTR se vend 990 E (une seule entrée, et pas inssaturable).
Je me demande s'il ne m'apporterait pas beaucoup de plaisir à l'écoute.
Voilà...
cohuelaz a écrit:Salut, ben faut voir ce que tu veux en plus mais il me semble que ta source est aussi à mettre en cause...
Je vais en parler plus bas
Ben si cela ne dure pas plus d'une semaine je peux te proposer le prêt de mon derek dac, dans les 250 € arrivé en France, et tu pourras déjà apprécier une différence par rapport au Rotel, peut-être sera-t-elle suffisante...
Très sympa à toi. Une seule heure me ferait déjà plaisir. On en reparle.
Je soignerais juste la partie Dac dans un premier temps car un préamp sur un intégré cela entraîne souvernt loin
What do you mean?
Cdt
dgohyeres a écrit:Je plussoie sur Cohuelaz concernant la source.
Je t'avais d'ailleurs taquiné Paull à ce sujet dès l'achat de ton Icos.
>>>On est bien d'accord, évidemment. Ce lecteur a remplacé ma Playstation 2 qui tournait sur un ampli HC Denon. Puis des Dyn sont arrivées, puis un ampli Thule, puis un Icos, puis des ProAc D25. Depuis presque 3 ans, je sais où je souhaite aboutir (le contraire de yijing : ))) ). La dernière étape est la source. Cela est clair dans mon esprit. Mais y mettre 2000 E me fait mal; je préfère aller au soleil et apprendre le kite surf...
Restent donc 3 pistes :
* Une platine d'occas. Mais je me demande ce que l'on fait d'une platine achetée 1 500 E, à 800 Km de chez soi, plus sous garantie, des fois sans facture, quand elle commence à déco.nner.
* Un dac aux fesses de ma Rotel.
J'ai fait l'écoute avec un Kora et une Dactablette, tous deux à 2000E : c'est du gaspillage. Rque : la Dactablette est excellente sur un Fado, par ailleurs.
Les DACs à la mode @ 1000E m'interressent cependant : Stello, Aqvox, Benchmark et Lavry.
* Un préampli à tube (la platine serait remplacée dans un second temps) m'apporterait peut-être ce que je recherche, largeur de l'image sonore, transparence et aération .
L'occas récente ou vérifiée est toujours un bon plan, rien qu'ici il y a un Fado, un Ikemi et sans doute en cherchant bien partout une foultitude de lecteurs qui ne te couteraient pas un bras et amélioreraient largement ta config actuelle.
>>> Le Fado me plait, en effet. Je suis aussi intéressé par l'AudioAéro Prima, pour son legato et par le Saturn peut-être. Mais put.ain, mettre une brique et demi dans un lecteur CD, cela est étrange, quand on prend du recul! .))
Une autre voie serait peut être dans l'immédiat (et sous réserve que le Rotel soit un drive acceptable) de t'acheter un converto de bonne qualité et peu cher (benchmark, Aqvox etc... ou occasion) et attendre des jours encore meilleurs pour acquérir un drive ou un intégré (avec revente du dac) qui te convienne.
>>> négatif, manifestement : (
Les essais, les essais, il n'y a rien de tel...
>>> je ne demande que cela. Mais les magasins qui commercialisent des DACs Stello, Aqvox, Benchmark et Lavry et des pré Mélody, Modwright, KTR sont... introuvables!
peter.pan a écrit:Salut Paull, je vois que tu suis une démarche un peu comme la mienne, et sans doute les même gouts. Alors oui, un KTR en entrée du 270, ça améliore pas mal de chose. J'y suis passé avec mes S25.Et puis si tu cherches bien tu peux trouver un KTR pour moins cher que cela)
>>>Je pense l'acheter neuf : je n'ai pas de fer à souder sur Paris . ) Reste la question des entrées inssaturables : Nécessaires pour un Fado, Dactablette, Saturn, AA Prima??? En dehors de cet aspect, apportent-t'elles un gain qualitatif?
Si tu veux te faire une petite écoute, pas de problème (je n'ai plus le 270, mais tu verras que le S25 on peut encore aller plus loin )
>>> Que de forumers sympas, sur ce topic! Cela suscite mon intérêt.
A+
Jacques
Paull a écrit:dgohyeres a écrit:
>>> Le Fado me plait, en effet. Je suis aussi intéressé par l'AudioAéro Prima, pour son legato et par le Saturn peut-être. Mais put.ain, mettre une brique et demi dans un lecteur CD, cela est étrange, quand on prend du recul! .))
Une autre voie serait peut être dans l'immédiat (et sous réserve que le Rotel soit un drive acceptable) de t'acheter un converto de bonne qualité et peu cher (benchmark, Aqvox etc... ou occasion) et attendre des jours encore meilleurs pour acquérir un drive ou un intégré (avec revente du dac) qui te convienne.
>>> négatif, manifestement : (
Les essais, les essais, il n'y a rien de tel...
>>> je ne demande que cela. Mais les magasins qui commercialisent des DACs Stello, Aqvox, Benchmark et Lavry et des pré Mélody, Modwright, KTR sont... introuvables!
Paull a écrit:cohuelaz a écrit:
Je soignerais juste la partie Dac dans un premier temps car un préamp sur un intégré cela entraîne souvernt loin
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