Test HCFR du Panasonic TX-58DX900, la TV LCD de tous les superlatifs !
La nouvelle série de téléviseurs Panasonic DX900 est à peine disponible qu’elle fait déjà beaucoup parler d’elle, notamment grâce à sa certification Ultra-HD Premium. Un petit test s’imposait donc !
Par Le Loup Céleste
(Cinéma-du-Loup.com)
Présentation et déballage
Il s’agit tout d’abord du seul TV certifié Ultra HD Premium, THX 4K et ISF en plus d’être l’un des meilleurs écrans jamais créé. Ce fleuron de la marque Panasonic dispose d’une dalle VA 10 Bits (compatibles 3D active 2 x 60 Hz) de 147 cm à rétro-éclairage Full LED renforcé par un pilotage du rétro-éclairage sur 512 zones et une structure en niz d’abeille permettant une meilleure directivité à la diffusion de lumière ainsi qu’une réduction du Blooming.
Compatible HDR10 (pas Dolby Vision), cette dalle 120Hz native couvre 96% du DCI (présence de diodes au phosphore rouge) et 74% du Rec.2020, et est capable d’atteindre une luminance de 1430 nits et des noirs à 0.002 cd/m² !!!
Il intègre un nouveau processeur vidéo 4K Studio Master HCX+ (les modes THX et Professionnels ont été calibrés par un coloriste professionnel d’Hollywood en vue d’obtenir une qualité d’image parfaitement fidèle à la volonté du réalisateur) basé sur le savoir-faire issu des téléviseurs Plasma de la marque et des équipements de diffusion professionnels en matière de couleurs, de niveau des noirs et de luminosité.
Il est doté de la technologie Accurate Colour Drive avec une table de conversion 3D LUT dotée de 8000 points de corrections et la possibilité de calibrer les 6 couleurs primaires et secondaires au sein d’un CMS sur 3 axes. Le Black Gradation Drive permet d’avoir plus de gradations dans les scènes sombres.
Et pour finir la fluidité est confiée au procédé BMR IFC 3000 Hz et le contrôle de l’électronique à un processeur Quad Core Pro.
Il n’y a aucune mauvaise surprise au déballage, la qualité de fabrication Panasonic est clairement là. Le coffre est en PVC épais, le châssis est aussi massif que très solide, le cadre en aluminium est rigide, et le tout est assemblé à la perfection. Le pied non rotatif est imposant et plutôt lourd (5 kg quand même) pour un téléviseur qui pèse au final 32,5 kg (ou 27,5 kg sans le pied). Attention, ce pied prend presque toute la largeur de la TV (il fait pour être plus précis 117 cm de large et 33,5 cm de profondeur) et demande donc un meuble bien large pour l’accueillir. Autre petit détail qui peut avoir son importance, la dalle est inclinée à 6° lorsque l’écran est posé sur son pied.
Même si traitée efficacement contre les reflets, la dalle reste quelque peu brillante (mais pas trop) avec de petites reflets visibles dans une pièce éclairée, j’ai néanmoins constaté moins de reflets qu’avec la Samsung HU8500 ou même la Sony X9005A.
L’équipement proposé est un peu pauvre pour un téléviseur aussi haut de gamme car il n’y a aucun accessoire autres que deux télécommandes. Ni caméra, ni câbles Ethernet et/ou HDMI, ni même de lunettes 3D. La grande télécommande en aluminium brossé est classe et dotée de touches rétroéclairées. La petite possède un pavé tactile en imitation cuire et plusieurs raccourcis pour accéder rapidement à certaines fonctions. Les deux sont très ergonomiques.
La connectique est très complète, comme souvent chez Panasonic. Certes le connecteur DisplayPort a disparu mais le reste est bien là. Il y a quatre entrées HDMI 2.0a compatibles Rec.2020, HDR, 2160p/60, 3D 1080p/24, CEC, Deep Color, HDCP 2.2, MHL 3.0 et YCbCR 4:4:4 10 bits (ouf !), dont l’une possède la fonction ARC. Le reste regroupe trois ports USB Host dont un USB 3.0, un lecteur de cartes mémoire SD, une sortie casque mini‑Jack 3,5 mm, une sortie optique, une entrée YUV, un port Ethernet et un double tuners DVB-T/T2/DVB-S2/DVB-C qui permet de profiter des fonctions PVR, PIP, PAP, PAT et Timeshift avec la possibilité d’enregistrer une autre chaîne que celle qu’on regarde.
Côté connexions sans fil sont présents le Wi-Fi et Wi-Fi Direct, le Bluetooth (pas de transmission aptX) et un mode Easy Mirroring qui permet de diffuser le contenu d’un mobile sur le DX900.
Rendez-vous sur le topic dédié à la série DX900 de Panasonic pour commenter cet article.
Spécificités techniques
Technologie : Dalle 10 bits VA Full LED
Diagonale de l’image : 147 cm
Standard : Ultra HD Premium / HDR10 / THX 4K / ISF / 3D Ready
Résolution native : 3840 x 2160 pixels
Processeur : Quad Core
Fréquence d’affichage : 120 Hz (3000 Hz BMR IFC)
Traitement Vidéo : Local Dimming Ultra 512 zones / Upscaling Ultra HD / Studio Master HCX+ / BMR IFC 3000 Hz / Accurate Colour Drive / Black Gradation Drive
Contraste : 600000 : 1 (max. 19800 : 1 en contraste ANSI)
Tuner : TNT HD (DVB-T / DVB-T2) x 2, Satellite (DVB-S + DVB-S2) x 2, Câble (DVB-C)
HDMI : 4 (HDMI 2.0a CEC et MHL 3.0 dont 1 ARC)
Composante YUV : 1 RCA
USB : 3 (1 port Host 3.0 et 2 ports Host 2.0)
Sortie audio analogique : 1 mini-jack 3,5 mm
Sortie audio numérique : 1 optique
Multimédia : 3G2, 3GP, 3GPP, ASF, AVCHD, AVCHD/MVC (3D), AVI, F4V, FLV, H.264 BP, H.264 HP, H.264 MP, H.265 (HEVC), M2TS, M4V, MKV, MOD, MP4, MPEG, MPEG-1, MPEG-2, MPEG4 ASP, MPEG4 SP, MPG, MTS, PS, TP, TRP, TS, TTS, VC-1, VOB, VRO, WMV (Windows Media Video), WMV9 (Windows Media Video 9); AAC, ADPCM, Dolby Digital (AC-3), Dolby® Digital Plus (E-AC-3), DTS Core, FLAC, HE-AAC, LPCM, M4A, MP3, MPEG Audio, WAV, WMA, WMA Pro
Son : 40 W (Médium 2 x 10 W + Sub 2 x 10 W)
Dimensions (L x H x P) avec pied : 1 297 x 804 x 334 mm
Dimensions (L x H x P) sans pied : 1 297 x 759 x 64 mm
Poids avec pied : 32,5 kg
Poids sans pied : 27,5 kg
Accessoires : Télécommande à pad tactile / Télécommande standard / Câble secteur
Ergonomie et multimédia
Le DX900 est très ergonomique et surtout rapide grâce au puissant processeur Quad Core Pro. Le menu qui se présente sous la forme d’une seule et même longue page est facile à appréhender et la Smart TV réagit au quart de tour sans bug.
Côté Smart TV on trouve le portail OS Firefox développé par la fondation Mozilla avec une nouvelle version nommée My Home Screen 2.0. Le moteur de recherche proposé est donc Mozilla et il est facile d’accéder à nombreuses applications (ce n’est quand même pas aussi riche que chez Samsung) comme Netflix 4K, Youtube 4K (la TV est compatible VP9), Viewster, Deezer, NRJ, Twitter et même Marc Dorcel HD.
Malgré l’absence regrettable de la gestion du DTS, la partie multimédia est complète surtout que les vidéos peuvent être visionnées avec les modes ISF. Le Dolby Digital 5.1 peut être envoyé en bitstream via ARC ou Optique, les multipistes audio et sous-titres sont gérés comme la lecture des vidéos UHD/4K 10 bits, HDR, HEVC et H264. Sont également pris en charge le MKV, 3G2, 3GP, 3GPP, ASF, AVCHD, AVCHD/MVC (3D), AVI, F4V, FLV, H.264 BP, H.264 HP, H.264 MP, H.265 (HEVC), VP9, M2TS, M4V, MKV, MOD, MP4, MPEG, MPEG-1, MPEG-2, MPEG4 ASP, MPEG4 SP, MPG, MTS, PS, TP, TRP, TS, TTS, VC-1, VOB, VRO, WMV (Windows Media Video), WMV9 (Windows Media Video 9), JPEG 4K, JPG et MPO 3D. Pour l’audio les MP3, AAC, WMA Pro, FLAC 44.1 kHz et downmix des Flac en 192 kHz (en 48 kHz/ 24 bits), Apple Lossless (ALAC) et WAV/LPCM sont pris en charge. Le DTS-HD, le TrueHD, les ISO et les BDMV ne sont bien évidemment pas lus.
Il propose aussi une gestion réseau intéressante avec la gestion des protocoles DLNA, UPnP, SMB et même une fonction multiroom (client/serveur) pour partager les contenus connectés au DX900 sur le réseau personnel. Il est aussi possible de partager les tuners avec un second Smart TV Panasonic et grâce à une application d’accéder aux contenus Smart TV depuis son mobile, de contrôler le téléviseur et encore plus fort de calibrer l’image du téléviseur.
Homogénéité de la dalle
Renforcé par un Local Dimming sur 512 zones et une structure en nid d’abeille pour une directivité accrue de la diffusion de la lumière, le système de rétroéclairage Full LED est très performant. Je n’ai rencontré sur mon modèle aucun défaut de dalle. Il n’y a aucun problème de banding, clouding et autres fuite de lumière. Seul du blooming pourra être repéré lors de scènes ultra-contrastées en HDR mais ce n’est vraiment pas pénalisant. Quant à la répartition de la luminosité et des couleurs le résultat est d’une homogénéité à toute épreuve. La luminosité ne baisse pas dans certaines zones et les couleurs ne souffrent d’aucune dérive.
Angle de vision
Le DX900 est directif car équipé d’une dalle VA même si le rendu est loin d’être gênant. La Samsung HU8500 que j’avais depuis deux ans était plus directive par exemple. Sur le terrain les contrastes s’affaiblissent un peu et quelques dérives colorimétriques commencent à apparaître une fois un angle de 20° dépassé. Cela reste néanmoins plus qu’acceptable et ce n’est qu’à partir de 45° où les dérives deviennent vraiment visibles.
Fluidité et inputlag
La fluidité native quant à elle est juste remarquable que ce soit en 50, 60 ou 24 im/s (parfaitement géré ici) car elle ne souffre d’aucune saccade et les scintillements/vibrations dus à la dalle 120hz sont vraiment modérées. Le temps de rémanence mesuré est de 13,8 ms.
La compensation de mouvement appelée IFC (Intelligent Frame Creation) chez Panasonic ne sert donc pas à grand chose mais reste intéressante sur Bas en améliorant la fluidité tout en évitant l’effet « soap opera » dont souffre les graduations Moyen ou Haut qui ont pour elles un rendu quand même bien plus fluide même si des artefacts et troubles autour des objets en mouvement peuvent apparaître.
Il existe également un réglage Personnalisé qui permet de régler l’IFC à sa convenance. Trois options pour y arriver avec le Réduction du flou (sur 10 points), le Lissage du film (sur 10 points) et l’activation ou non du choix Fluidifier le mouvement. Si les deux premières donnent de bons résultats (un réglage dans l’ordre sur +1 et +2 est performant sur la TNT ou un Blu-ray), le dernier paramètre qui simule l’affichage BFI (Black Frame Insertion) avec l’insertion d’une image rouge entre chaque image engendre un léger effet d’arc en ciel (un peu comme sur un vidéoprojecteur DLP) mais améliore franchement la précision de l’image en mouvement. Chacun choisira d’activer ou non les options désirées.
La preuve que la fluidité native de cet écran est épatante est visible sur les jeux vidéo (inputlag de 35,9 ms en Mode jeu) où un travelling circulaire autour du personnage (dans un TPS par exemple) n’entraine aucun artefact de mouvement. C’est assez rare pour être signalé et en général seuls les bons moniteurs y parviennent.
Pour ma part je classerai donc la fluidité de ce modèle juste derrière Sony mais devant Samsung, LG et Philips.
Qualité de l’image
Avant de rentrer plus dans les détails sachez que les calibrages d’usine en mode Vrai cinéma, THX et Professionnel sont excellents. Ils affichent de parfaits résultats au niveau des couleurs (delta E moyen à 1) et du gamma. Sur Chaud 2 la température moyenne des couleurs est mesurée à 6740 K et reste proche de la norme à 6500 K. Pour faire simple, à part avoir des yeux bioniques et/ou des sondes professionnelles (pas celles bon marché donc) il faut éviter de toucher à la colorimétrie au risque d’avoir de moins bons résultats. Il n’y a donc rien à dire si ce n’est de féliciter Panasonic pour nous offrir un aussi bon rendu en sortie de carton.
Sur le terrain ce DX900 a un contraste de folie, des noirs quasi-sortis d’une OLED, des couleurs d’une rare justesse, un piqué splendide et une texture très ciné. C’est comme un plasma avec en plus les qualités d’une LED. Les technologies embarquées sont de ce fait d’une redoutable efficacité.
En toute sincérité je n’avais encore jamais vu un téléviseur LED avec un tel contraste et c’est seulement dans 1% ou 2% des scènes ou la différence avec l’OLED est perceptible (les étoiles de nuit y sont plus lumineuses) car les noirs restent toujours abyssaux sans pour autant masquer la lisibilité des passages sombres. « Gravity » et « Interstellar » permettent d’ailleurs de s’en persuader lors de toutes les scènes se déroulant dans l’espace. La tenue des cosmonautes dans le premier sont éclatantes lorsqu’elles sont éclairées alors que le noir tout autour reste d’une profondeur hallucinante sans pour autant occulter la luminosité des étoiles qui ne laissent poindre aucune trace de Blooming. C’est juste incroyable !
La richesse des couleurs ne cesse également de m’impressionner. Déjà la dalle 10 bits permet d’avoir un excellent niveau de gradation qui limite la postérisation (absente bien entendu avec du contenu en 10 bits) mais c’est surtout l’usage de diodes au phosphore rouge, qui permet de proposer un spectre bien plus lumineux et riche (surtout au niveau des rouges qui sont fabuleux) que la concurrence où le bleu est la couleur dominante, qui rend les couleurs aussi belles. Pour info le DX900 couvre 96% du DCI et 74% du Rec.2020 ce qui est plus que suffisant pour la certification Ultra HD Premium qui requiert un DCI d’au moins 90%.
Panasonic a grandement progressé ces dernières années dans le domaine de l’upscaling UHD et ce DX900 en profite un max. Naturel et d’une grande précision, le rendu à la texture très ciné qui conserve une multitude de détails d’une grande finesse est assez proche de Sony et s’écarte sensiblement de celui de Samsung un peu trop piqué et plus artificiel (on aime ou pas). Croyez-moi sur parole les Blu-ray sont magnifiés car le travail de l’upscaling reste invisible car il n’engendre ni double contour, ni ringing ni accentuation du grain pellicule. De plus, le processeur HCX+ uspsample en 10 bits les contenus encodés en 8 bits. Que du bonheur en somme !
Le DX900 propose bien entendu tout un tas de réglages digne des moniteurs professionnels (les choix du gamut en Rec.601, Rec.709, EBU, DCI/P3 ou Rec.2020; les choix du gamma – dont le BT.1886 – tous corrigeable sur 10 points; la table de conversion 3D LUT dotée de 8000 points de corrections; la possibilité de calibrer les 6 couleurs primaires et secondaires au sein d’un CMS sur 3 axes) même s’il fait l’impasse sur les filtres d’amélioration des détails et des contours. Une véritable usine à gaz en fait !
Parmi eux les algorithmes Remaster. résolution, Remastér. plage dynamique et surtout Remastériser la couleur sont ultra-performants. Le premier améliore sensiblement le piqué et la texture sur les contenus SD et HD ce qui améliore la précision de l’image. Le deuxième évite de brûler les blancs dans le cas d’un rétroéclairage trop élevé (Rétro-éclairage au-dessus de 30) et s’apparente à une conversion discrète SDR/HDR. Le troisième exploite tout l’espace couleur Wide Gamut disponible de la dalle sans étirer les coordonnées ce qui évite de dénaturer les couleurs ou de saturer les teintes de peau.
Sont aussi disponibles Réduction du bruit (correction des artefacts de compression et des fourmillements qui lisse un peu l’image), Remasterisation MPEG (réduction des blocs de pixels et autres artefacts de compression MPEG qui réduit le piqué) et la Commande adapt. rétroécl. qui correspond au Local Dimming (c’est sur Moyen où le pic lumineux est le plus puissant et où les noirs sont toujours parfaitement lisibles).
Cerise sur le gâteau, le rendu en HDR est fantastique !!! C’est une nouvelle expérience visuelle hors-du-commun qui s’ouvre à nous et le rendu délivré par ce DX900 est juste exceptionnel. Imaginez un peu, dans la même image cette TV est capable d’offrir un pic lumineux à 1000 cd/m² (max. 1430 nits) et un noir à 0,002 cd/m². La gamme dynamique est donc gigantesque avec des scènes sombres encore plus lisibles qu’en SDR et des sources de lumière (soleil, lune, ciel étoilé, reflets, bougies, flammes, explosions…) d’une intensité et d’un réalisme à couper le souffle. Les couleurs y sont plus que magnifiques, les scènes sont ultra-dynamiques et certains effets (les flammes dans « Mad Max : Fury Road ») quasi surnaturels. L’avenir du cinéma se trouve très certainement dans l’usage du HDR car les images sont proches de ce que nos yeux perçoivent de la réalité.
Qualité du son
Les haut-parleurs embarqués (système 2.1) délivrent un son neutre et agréable. Ils ne dénaturent par la source et ne saturent pas. Les médiums sont bons, les dialogues sont clairs et les graves sont capables de descendre bien bas grâce à 4 radiateurs passifs. Le rendu est de ce fait assez rond et ample (ne pas hésiter à enclencher l’option Surround virtuel) même si le système audio ne peut remplacer une barre de son ou un ensemble HC.
Plusieurs réglages sont disponibles pour optimiser le rendu sonore comme l’Auto-contrôle de gain qui permet d’égaliser les changements de volume d’une chaîne à l’autre, le Bass Boost pour renforcer les graves, ou encore un EQ 7 bandes.
Qualité du relief
Alors que des fabricants abandonnent la 3D ce n’est heureusement pas le cas de Panasonic, mais comme les lunettes 3D ne sont pas comprises dans le packaging j’attends de recevoir les modèles TY-ER3D5ME pour pouvoir juger du rendu de la 3D. Je vous donne donc rendez-vous dans quelques semaines pour mon compte-rendu dans le domaine.
Sachez cependant qu’il existe des réglages de profondeur, des ajustements de l’effet 3D, une gestion de la 3D Side-by-Side et Top-Bottom, une conversion 2D/3D à la volée et l’inversion de l’image Gauche/Droite.
Réglages conseillés
Cette section sera remplie dans quelques semaines lorsque le DX900 aura de nombreuses autres heures d’utilisation au compteur.
Les plus
- Dalle 10 bits
- Compatible 3D
- Interface fluide
- Précision de l’image
- Son de bonne qualité
- Rétroéclairage Full LED
- Homogénéité de la dalle
- Bon traitement anti-reflet
- Richesse des réglages (ISF)
- Gestion multimédia poussée
- Local Dimming ultra-efficace
- Pic lumineux très (très) élevé
- Contraste perçu juste colossal
- Bonne fluidité (même sans IFC)
- Rendu HDR vraiment exceptionnel
- Grande télécommande rétroéclairée
- Télécommande tactile (la petite) intuitive
- Gestion réseau (client/serveur) complète
- Certifications Ultra HD Premium, THX 4K et ISF
- Processeur Studio Master HCX+
- Très performant
- Couleurs superbes (et justes en sortie de carton)
- Algorithmes de remasterisation très intéressants
Les moins
- Dalle directive
- Pas de gestion du DTS
- Non compatible Dolby Vision
- Inclinaison de la dalle à 6° vers l’arrière
- Rendu « soap opera » prononcé avec l’IFC sur Moyen ou Haut
Le Loup Céleste