Pour moi c'est très simple.
J'ai fait le test de la feuille alu avec plusieurs personnes.
Je ne considère pas les impressions, mais les changement flagrants.
Et le changement entre avant la feuille alu et après la feuille alu a été flagrant et écouter au même moment par les convives.
A tel point, qu'on avait l'impression d'avoir changé de platine CD.
Evidemment j'étais sur le cul, et très loin d'un effet placebo, psychologique etc etc...
Les améliorations:
PLus de profondeur dans la scène.
Plus de précision, plus d’harmonique, une meilleur continuité du signal, un son moins rocailleux.
A tel point que ma femme, qui s'en fou éperdument malheureusement, m'a dit: "a l'impression que c'est plus lent"
En fait non ce n'est pas plus lent, c'est plus continue car la résonance est plus naturelle...
bref...
Mon contexte:
chauffage électrique, air sec, tellement sec que quand mes enfants s'assoient sur la canapé les cheveux se dressent. Donc j'ai de l'électricité statique dans l'apparte.
Mon ampli cairn 4808 et source FOG 1 le tout récemment modifié par Gilles Belot pour monter en qualité.
Un CD que j'ai écouté plusieurs fois, qui sort de la platine contient de l'électricité statique puisqu'il se colle a la feuille d'alu. Lorsque j'essaye de le décoller je vois bien qu'il y a attraction.
La feuille d'alu permet l'évacuation de l'électricité statique a condition de toucher la feuille et de faire masse.
Ce qu'on écoute n'est pas un CD, mais des data lue par un laser sur un CD, ces data passent dans un correcteur d'erreur. Ce correcteur peut dégrader plus ou moins fortement le signal écrit sur le CD s'il y a plus ou moins d'erreur de lecture.
Un CD c'est quoi?:
du polycarbonate transparent qui est un isolant, un diélectrique.
un plaque d'alu qui contient le signal
une surface imprimée.
Pourquoi l'électricité statique perturberait le laser?
Voici une piste d'electrocharcutier car mes cours de physique sont un peu loin....
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L'électricité statique, implique un champs E.
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le champs E implique un champs P = epsi0 . X . E il s'agit d'un champs de polarité.
epsi0 = permittivité
X = susceptibilité électrique du diélectrique.
D'ailleurs on a n= racine(1 + Re(X)) n étant l'indice de réfraction du diélectrique.
Tout onde qui rentre dans le diélectrique subit une réfraction, qui va dévier le signal.
Ce champs de polarité, a la surface du polycarbonate transparent, peut filtrer le laser. A la manière du pare-brise de voiture, polarisé, qui filtre la lumière polarisée, ce qui permet d'éviter un éblouissement du conducteur trop important.
Evidemment, dans le cas du CD, on est loin d'un filtrage maîtriser, prévu a cet effet, il s'agirait donc de perturbation locale mais qui va induire des erreurs de lecture.
A démontrer...
Je n'ai pas de mesure. Mais j'ai contacté quelqu'un qui peut les faire, a condition évidemment que son environnement soit bourré d'électricité statique.
Quoi que même s'il est dans un environnement sain, ce sera toujours une mesure utile.
Une autre personne constate la même chose:
http://www.thf.fr/uEditos/Editos6.htm"Un dernier exemple ? Où comment très sensiblement améliorer la lecture de vos CD pour … zéro francs ! Nous devons cette "découverte" à Monsieur Yves Bernard ANDRE qui n'a que trente années d'expérience en électronique audio et qui a bien voulu nous initier. Prenez un petit chiffon très légèrement abrasif, frottez la face codée du disque ( sans étiquette ou inscriptions ) par un petit mouvement circulaire dans le sens de la rotation du disque ( sinistrogyre ou vers la gauche pour ne pas faire ésotérique ! ). Faites la même opération sur la face qui porte les inscriptions mais vers la droite, le disque tourne dans le sens des aiguilles d'une montre vu par la face qui porte les inscriptions. Ne pas oublier de frotter aussi la tranche extérieure du disque ainsi que la tranche intérieure du trou central. Ouf ! Beaucoup plus facile à faire qu'à décrire ! Le résultat ? Ecoutez vous nous direz ! Nous avons été surpris par le gain en dynamique et l'ouverture de la scène sonore.
Monsieur Yves Bernard ANDRE est-il magicien ? Pas du tout il fait ses recherches dans un laboratoire voisin de son entreprise, celui de l'Ecole Polytechnique. Le "truc" est tout simple le disque en rotation se comporte comme une machine de WIMSHURST et se charge d'électricité statique ce qui perturbe sa lecture par le rayon laser… Le petit chiffon a dans le même temps éliminé micro aspérités et poussières de la surface enregistrée."
Affaire à suivre.