[UBD & BD3D] Films asiatiques

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[opbilbo]

Topic dédié mis à jour.

Récapitulatif des tests UBD UHD 4K :
Classement par ordre alphabétique des films :
0.....,A,B,C,D,E,F,G,H,I,J,K,L,M,N,O,P,Q,R,S,T,U,V,W,X,Y,Z,Les films d'animation

Le cinéma du loup

[le loup celeste]

Time and Tide

• Provenance : France
• Éditeur : Carlotta Films
• Format vidéo : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage AVC - Format 2.35
• Bande-son : Mandarin DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
• Sous-titres : Français imposés sur la VO

Qualité vidéo :
Tirées d'un master HD visiblement daté à l'aspect plutôt vieillot, les images de ce Blu-ray (la première édition au monde) déçoivent un peu même si ce monument du cinéma d'action n'a jamais été aussi "beau". Car il faut bien avouer que la présence grossière d'edge enhancement, qui tente de masquer la définition limitée du master utilisé, ainsi que l'existence de plans bruités limitent l'impact de l'œuvre. Mais d'un autre côté la texture granuleuse est conservée (pas de DNR ici), le nettoyage opéré visible (malgré de petites poussières), la lisibilité des scènes optimale, le piqué très correct (c'est volontairement un peu doux), les contrastes soignés (pour une photographie de ces années-là) et les couleurs franchement bien reproduites (et elles ont tendance à être très variées).
Qualité audio :
Il est évident que le spectacle multicanal est bien présent, car des ambiances urbaines aux effets pyrotechniques (cf. les fusillades), le mixage ne cesse d'utiliser l'ensemble des enceintes qu'il a à sa disposition en demandant beaucoup à la scène arrière. Cependant, ces deux pistes sonores manquent de coffre (la dynamique est sur la réserve) et souffrent de quelques saturations. Fort heureusement, l'ensemble reste d'une grande clarté avec des dialogues parfaitement retranscrits.

[le loup celeste]

Sky Hunter

Provenance : France // Support : Blu-ray // Éditeur : AB Vidéo // Date de sortie : 24 avril 2019

Résolution : 1920x1080 // Cadence : 24p // Format : 2.40 // Encodage : AVC
Gamut : BT.709 // Chrominance : YCbCr 4:2:0 // Profondeur de couleurs : 8 bit

Bande-son : Cantonais DTS-HD MA 5.1, Cantonais DTS-HD MA 2.0, Français DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 2.0
Sous-titres : Français imposés sur la VO





(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode de l'image Expert)

Un petit peu amoché par un colour banding marqué lors de la dernière séquence (dans les ciels semi-obscurs) et plusieurs changements abrupts de cadence (une malencontreuse habitude dans les productions chinoises), ce transfert HD bénéficie malgré tout d'une luminosité ambiante agréable, d'une définition solide, de détails francs, de couleurs bien saturées, de contrastes maîtrisés et de noirs précis.





(Condition de test : Ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)

Rythmé par un score militaro-héroïque (produit par Hans Zimmer) très largement diffusé sur toutes les enceintes, ce mixage aux effets surround riches (les va-et-vient des avions de chasse) et aux dialogues clairs avait toutes les cartes en mains pour remporter la partie. C'était malheureusement sans compter sur une dynamique qui n'attaque pas assez et des basses insuffisamment engagées.

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Matériel de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA
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[le loup celeste]

Detective Dee: La légende des rois célestes

Provenance : France // Support : Blu-ray // Éditeur : The Jokers Films // Date de sortie : 12 décembre 2018

Résolution : 1920x1080 // Cadence : 24p // Format : 1.85 // Encodage : AVC
Gamut : BT.709 // Chrominance : YCbCr 4:2:0 // Profondeur de couleurs : 8 bit

Bande-son : Mandarin DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français imposés sur la VO, Français pour malentendants





(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode de l'image Expert)

Une copie HD absolument splendide à la compression solide, à la luminosité éclatante, à la définition fantastique, à la profondeur de champ épatante, au piqué pointu, aux couleurs chatoyantes, aux contrastes tranchants, aux noirs majestueux et à la fluidité renversante. Bien évidemment, ces images ahurissantes auraient mérité une parution 4K Ultra HD, surtout qu'elles ont été captées en 6.5K (sur Red Epic Dragon) à une vitesse de 48fps, mais en l'état nous sommes déjà devant un rendu top démo digne d'éloges.





(Condition de test : Ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)

Malgré l'absence du mixage 3D exploité dans les salles (VO DTS:X sur le disque US), ces pistes sonores qui ne manquent pas de coffre proposent quoi qu'il arrive un maelström acoustique juste renversant. La dynamique est excellente, l'immersion permanente (une spatialisation de folie combinée à une directionnalité ultra-précise) avec des ambiances enveloppantes et des effets virevoltants, la musique retentissante, les basses généreuses (cf. le final) et les dialogues bien restitués. Voilà donc une bande-son où toutes les enceintes s'en donnent à cœur joie deux heures durant.

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Matériel de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA
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[evangelion77]

Je recommande ce film en 3D, pour ma part, ainsi que tous les autres de Tsui Hark dans ce format également (Journey to the West: The Demons Strike Back, Dragon Gate la légende des Sabres volants, La Bataille de la Montagne du Tigre...).

[le loup celeste]

Je recommande ce film en 3D, pour ma part, ainsi que tous les autres de Tsui Hark dans ce format également (Journey to the West: The Demons Strike Back, Dragon Gate la légende des Sabres volants, La Bataille de la Montagne du Tigre...).

C'est même une évidence concernant les réalisations 3D de ce réalisateur (il n'y a qu'à lire mes précédents tests 3D pour se convaincre qu'il s'agit du meilleur dans le domaine), mais mon diffuseur actuel n'est malheureusement pas compatible avec cette techno laissée de côté par les fabricants TV.

[le loup celeste]

(The) Shanghai Job

Provenance : France // Support : Blu-ray // Éditeur : Studiocanal // Date de sortie : 04 septembre 2018

Résolution : 1920x1080 // Cadence : 24p // Format : 2.40 // Encodage : AVC
Gamut : BT.709 // Chrominance : YCbCr 4:2:0 // Profondeur de couleurs : 8 bit

Bande-son : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Français imposés sur la VO





(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode de l'image Expert)

Un master HD de compétition qui bénéficie d'une précision stupéfiante, de détails très précis, de couleurs généreuses, de contrastes somptueux, de noirs intenses et d'une compression hors-pair qui parvient à suivre la cadence sans broncher.





(Condition de test : Ampli HC 11.2 avec post-traitement DTS Neural:X pour la VO et la VF)

Courses-poursuites et cascades rythment la bande-son avec de nombreux effets multidirectionnels et des basses toujours à l'affût. Et si elle manque un tantinet d'ampleur, elle n'en reste pas moins enveloppante et pourvue d'une musique particulièrement entraînante.

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Matériel de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA
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[le loup celeste]

Mary et la fleur de la sorcière

Provenance : Japon // Support : 4K Ultra HD // Éditeur : Disney // Date de sortie : 20 mars 2018

Résolution : 3840x2160 // Cadence : 24p // Format : 1.85 // Encodage : HEVC
Gamut : BT.2020 // Chrominance : YCbCr 4:2:0 // Profondeur de couleurs : 10 bit
Master intermédiaire : 2K // HDR : HDR10+ // Luminance : De 5 à 1000 nits

Bande-son : Japonais DTS:X (core DTS-HD MA 7.1), Japonais DTS-HD MA 5.1, Japonais DTS 2.0, Japonais DTS Headphone:X
Sous-titres : Japonais, Anglais





(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode de l'image Expert HDR)

Un enchantement de tous les instants qui touche des sommets inaccessibles au pourtant très beau Blu-ray. Doté d'une définition aussi irréprochable et de détails à peine plus précis, ce transfert UHD HDR10+ s'avère être beaucoup plus magique grâce à l'apport très visible des technologies WCG et HDR. Les couleurs flamboyantes sont encore plus riches, les contrastes soignés sont encore plus solides et les sources lumineuses gagnent en éclat (la lumière du jour, les rayons du soleil à travers les bois, la lueur de la « vol-de-nuit » et les flammes n'en sont que quelques exemples). Foncièrement impeccables même si l'apport en résolution ne saute pas aux yeux, les images de ce 4K Ultra HD rendent pleinement justice au travail accompli sur l'animation.





(Condition de test : Ampli HC 11.2 en mode d'écoute DTS:X)

Équilibré, énergique et foisonnant d'éléments acoustiques en tous genres, ce mixage DTS:X impressionne durablement. D'une clarté assez incroyable, il est également pourvu d'une spatialisation soignée, d'une scène aérienne aventureuse (la faune et la flore, le mouvement de l'air, l'usage de la magie, des explosions, etc.), d'un score parfaitement restitué et de basses étonnantes (ça cogne parfois fort). Comparativement à tous les films d'animation que j'ai pu tester, cette bande-son est tout simplement la meilleure que j'ai écouté !

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Matériel de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA
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[jhudson]

Je recommande ce film en 3D, pour ma part, ainsi que tous les autres de Tsui Hark dans ce format également (Journey to the West: The Demons Strike Back, Dragon Gate la légende des Sabres volants, La Bataille de la Montagne du Tigre...).

La raison est simple ils sont vraiment filmés avec des caméras 3D, alors qu'ailleurs ce sont des conversions.

Hollywood ne tourne plus en 3D depuis longtemps, mais bien sur ils préfèrent éviter de le dire ouvertement a leur public, on le noie de termes les plus abscons possible qui ne sont que des technologies de projection.

[le loup celeste]

Je recommande ce film en 3D, pour ma part, ainsi que tous les autres de Tsui Hark dans ce format également (Journey to the West: The Demons Strike Back, Dragon Gate la légende des Sabres volants, La Bataille de la Montagne du Tigre...).

La raison est simple ils sont vraiment filmés avec des caméras 3D, alors qu'ailleurs ce sont des conversions.

Hollywood ne tourne plus en 3D depuis longtemps, mais bien sur ils préfèrent éviter de le dire ouvertement a leur public, on le noie de termes les plus abscons possible qui ne sont que des technologies de projection.

Mais ce n'est pas la seule raison, car j'ai constaté plus d'une fois aussi que certaines conversions étaient supérieures à des captations natives. Dans le cas présent, c'est aussi et surtout que Tsui Hark pense 3D dès les storyboards et donc forcément lors du tournage.

[jhudson]

La raison est simple ils sont vraiment filmés avec des caméras 3D, alors qu'ailleurs ce sont des conversions.

Hollywood ne tourne plus en 3D depuis longtemps, mais bien sur ils préfèrent éviter de le dire ouvertement a leur public, on le noie de termes les plus abscons possible qui ne sont que des technologies de projection.

Mais ce n'est pas la seule raison, car j'ai constaté plus d'une fois aussi que certaines conversions étaient supérieures à des captations natives. Dans le cas présent, c'est aussi et surtout que Tsui Hark pense 3D dès les storyboards et donc forcément lors du tournage.

Si le studio impose la 3D sur un film, ils ne peuvent pas imposer au réalisateur de penser sa réalisation en 3D, car parfois il n'en a rien a faire il préfère privilégier d'autres critères dans sa réalisation.

Quand c'est vraiment filmé en 3D le réalisateur peu voir le résultat en direct , si ça ne fonctionne pas il peux revoir la scéne.

Mad Max Fury Road n'a pas été filmé en 3D, mais la réalisation a été pensé depuis le début.
Miller voulait filmer en 3D mais ça aurait été trop lourd et compliqué de le faire, la conversion a été soigné .

Dans certaines conversions les objets semblent ne pas avoir de volume, ça fait artificiel , mais c'est qu'il aurait fallu modéliser en 3D l'objet , ça aurait couté plus cher.

[Darkhan]

Pour SW8, Rian johnson avait reconnu qu'il n'avait pas pensé le film pour la 3D lors de la realisation
Et franchement meme sans le dire en salle avec les lunettes sur le pif au bout de 15 min cela se voyait de manière evidente

2 mois aprés la sortie de Blade Runner 2049 comment pouvait il en etre autrement