
le loup celeste a écrit:Alice in Wonderland (Import US) de Tim Burton:
Alice, désormais âgée de 19 ans, retourne dans le monde fantastique qu'elle a découvert quand elle était enfant et s'embarque alors dans une aventure extraordinaire où elle accomplira son destin : mettre fin au règne de terreur de la Reine Rouge...
Adaptation et suite de l'oeuvre de Lewis Carroll, le "Alice aux Pays des Merveilles" de Tim Burton est un rêve cauchemardesque d'une inventivité visuelle débordante et d'une beauté envoutante (décors somptueux, créatures fantastiques, photographie très colorée) qui met en scène des personnages aussi déjantés qu'étonnants et se permet une réflexion bien vue sur la nécessité de grandir. Le film est néanmoins trop lisse (trop Disney ?) et manque d'émotion, mais reste tout de même enchanteur. N'hésitez pas à voyager dans le monde merveilleux d'Alice.
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Disponible en DVD Zone 2 et Blu-ray Disc Zone A (non zoné), B.
Pistes sonores: ENGLISH DTS-HD MA 5.1; SPANISH & FRENCH (VFF) Dolby Digital 5.1.
Critique support:
Un Blu-ray Disc qui enchante les sens.
-Une image HD de référence avec un festival de couleurs, un piqué renversant (des détails incroyables), une fluidité étonnante et une compression invisible.
-Des pistes sonores dynamiques et immersives où les effets sont virevoltants et les basses dévastatrices.
Cylon a écrit:Caractéristiques
Edition Française - Disney
Encodage: MPEG-4 AVC
VF - DTS ES Matrix 6.1 (Plein débit)
VO - DTS HD Master Audio 5.1
Sous-titres: Français, Anglais
Vidéo :
Sans grand étonnement, c'est un blu-ray parfait que livre Disney. L'encodage impeccable ne faillit jamais à restituer à plein le potentiel du métrage, que ce soit dans le traitement des contrastes ou de la colorimétrie, avec une précision idéale et un aspect tridimensionnel enchanteur.
Audio :
Contrairement à l'édition belge qui semble pourvue de DTS HD sur la VF (que n'indique pas la jaquette), l'édition française testée ici se contente d'une piste plein débit, fidèlement aux habitudes de l'éditeur. Mais on ne va pas s'en plaindre, les 2 encodages (VO et VF) sont spectaculaires à souhait, bénéficient plein pot de la richesse du mixage, de la puissance du très joli score d'Elfman, et collent de manière optimale à la qualité de top démo de la partie vidéo.
Film :
Les effets visuels vont du superbe (renversant !) au très moche : textures parfois baveuses, rendu digne de l'Unreal Engine 3, quelques intégrations des doublures CGI des acteurs ratées... Bref, c'est pas toujours la joie, et si on s'étale autant sur les effets visuels, c'est qu'ils sont à l'image du film : inégaux et parfois sans âme, voguant entre palpitation et niaiserie. Semi-déception, le nouveau Burton se regarde toutefois avec plaisir et ses nombreuses bonnes idées comblent (un peu) la frustration qu'il engendre.