> comme en rugby, une petite exclusion temporaire ou un carton sert à permettre aux acteurs de récupérer leurs esprits et de revenir à une attitude plus sage
Tout à fait. J'ai annoncé 2 jours d'exclusion. Nous avons tous constaté que la personne concerné à instantanément décidé de tricher en créant un nouveau compte ( et quel compte, "justicier" rien que ca ). Malgré tout, le compte a été réouvert lundi comme annoncé ( personellement, je dis ce que je fais et je fais ce que je dis )...
Force est de constaté que, dés que ca lui a été possible, il a régulièrement "remis une piéce dans le bastringue" :
http://www.homecinema-fr.com/forum/view ... #167344287
Comme je ne pouvais pas répondre ve week-end - puisque j'étais "interdit" de Forum jusqu'à ce matin pour ma très lourde et impardonnable faute
Et bien sur la "goutte d'eau" :
http://www.homecinema-fr.com/forum/view ... #167344874
et le CR de la suite de cette histoire pourtant authentique m'a valu - fort injustement d'ailleurs... - une exclusion de deux jours sur ce même Forum... Donc, je n'en dirais pas plus......
Il ne comprends pas pourquoi en quoi dire qu'on utilise du Rotel ou du Monacor est une insulte ? Une petite "démonstration" s'imposait donc...
Car depuis quand "...." est une insulte ( et j'ai bien tapé 4 points, si j'avais tapé un mot interdit, il aurait été remplacé par des étoiles ). Et oui, question de contexte. Mon message n'avait comme but que de prouver qu'une phrase peut être particulièrement mal interprétée ( évidement, si j'avais écrit, "il est plus "tétu" que je le pensais" ca aurai eu moins d'effet, c'était le "jeu" )...
Le résultat est au dela de mes "espérances" ( si j'ose dire )... Je vois que monsieur H. aime bien la provoc... Sauf quand on s'en sert contre lui...
Je prends note d'un volonté d'apaisement :
Bon, en ce qui me concerne, j'arrête là sur cette affaire, non parce que j'estime avoir tort, loin de là, mais parce que je sens bien que tout celà restera vain....
Restons en là.
PS: Petit message de sympatie et de compassion à Julien Max dont j'imagine la détresse. On est avec toi.