Nexus.6 a écrit:Au fait, il n'y a pas eu des platine vinyle à lecture laser? j'en avais entendu parler...
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Le meilleur des deux mondes non?
Ou le pire....
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Nexus.6 a écrit:Au fait, il n'y a pas eu des platine vinyle à lecture laser? j'en avais entendu parler...
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roland_de_lassus a écrit:Nexus.6 a écrit:Au fait, il n'y a pas eu des platine vinyle à lecture laser? j'en avais entendu parler...
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Ou le pire....
roland_de_lassus a écrit:haskil a écrit:FDRT a écrit:haskil a écrit:Un CD en revanche ne s'use pas quand on le lit
Mais sa durabilité dans le temps, même bien stocké, n'est sans doute pas la même que le microsillon.
La problèmatique de préservation d'un CD ne s'applique que dans le cas d'un CD gravé. Un CD pressé ne pose pas de problème de conservation supérieur au vinyl, amha.
Inexact : outre le fait que la problématique de préservation d'un CD se pose aussi pour le CD pressé (qui est un sandwich de matériaux pas tous normalisés), dans un climat chaud et humide la durée de vie du CD est nettement inférieure à celle du microsillon. Dans un climat continental : les CD dit "bronzés" sont là pour le rappeler aussi... ils sont illisibles dix ans après leur pressage...
Au Brésil, des LP vieux de 50 ans répondent présent à la lecture... quand des CD vieux de 10 ans... sont séparés en deux : d'un coté une galette en plastique transparent... de l'autre... un film souple qui n'est autre que la partie normalement lue... ou sont pleins de trous... dan la partie "alu" pressée ! où sont bouffés par les champignons (la partie imprimée : le vernis protecteur... d'autres deviennent troubles, laiteux...
Je confirme..
J'ai plusieurs disques (et pas les plus anciens) qui montrent des signes de fin de vie (et quasi tous de la marque Hyperion)
Pourtant stockés dans leur boitier, à l'abri de la lumière et traités avec soin...
Nexus.6 a écrit:roland_de_lassus a écrit:Nexus.6 a écrit:Au fait, il n'y a pas eu des platine vinyle à lecture laser? j'en avais entendu parler...
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Ou le pire....
Non. Le pire, c'est la lecture des CD avec une pointe.
Fyper a écrit:Parler de catastrophe parce qu'ils sont bronzés, c'est bien (malheureusement) dans l'air du temps.
Fyper a écrit:willowjunk a écrit:Inutile de dématérialiser vos CDs.
Ils finiront par se dématérialiser tout seuls...
Pas mal
si si
Nexus.6 a écrit:- on peut facilement écouter le 33T à l'envers ce qui permet d'entendre les messages sataniques de certains groupes hard rock
Nexus.6 a écrit:- Rina Ketty chantant "J'attendrais" est un souvenir chargé de nostalgie de mon enfance : http://www.youtube.com/watch?v=IQtHZeyIfrM (au même titre, j'aime le poste à lampe hérité d emon grand père qui tronait sur le frigo)
La configuration dans mon profil
Les disques analogiques ont une compression de dynamique soignée
La pleine dynamique d'un orchestre ne peut pas être assumée par la cellule phono. Ce support ne permet que 60 dB de dynamique pour presque 100 dB pour le CD et plus encore sur le SACD. Pour reproduire fidèlement le message, les ingénieurs du son doivent donc utiliser une compression de la dynamique pour permettre la gravure sur vinyle. Cette compression était particulièrement soignée pour remonter les détails dans les passages faibles, maîtriser les fortés... Les ingénieurs du son qui enregistrent de la musique classique travaillent avec la partition d'orchestre sous les yeux, notant avec le producteur chaque passage. Le réglage d'un compresseur-limiteur est très délicat, certains ingénieurs du son viennent en studio avec leur propre rack contenant les préamplis micros et les compresseurs.
L'enregistrement sur bande analogique, même en 76 cm/S, induit aussi une compression due à l'enregistrement magnétique. Cela se traduit par un son particulier. Certains artistes enregistrent encore chez eux avec d'anciens magnétos multipistes Ampex, Studer voire Otari... pour retrouver cette couleur très particulière.
Au final, le mastering à partir des bandes nécessite un travail de pré-accentuation (la fameuse courbe RIAA) et de compression. Ce mastering, quand il est fait par un expert, donne au disque toutes ses qualités de dynamique, de lisibilité des signaux subtils et d'équilibre artistique.
Tous ces aspects devraient être considérés comme des défauts par rapport aux performances bien supérieures du CD. Il n'en est rien car il n'est que rarement possible de disposer d'une dynamique de 100 dB chez soi. En général, les pièces les plus silencieuses permettent 80 dB la nuit. Un salon normal, avec les bruits de la vie courante, la rue à 30 m.... permet 40 à 60 dB de dynamique exploitable (c'est à dire sans devenir sourd). En limitant (avec talent) la dynamique, le vinyle nous donne un signal plus facile à écouter, dans lequel plus de détails sont amenés à des seuils audibles.
Cela se traduit aussi par un son plus "péchu" très apprécié des DJs en discothèque.
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