Coucou me revoilàlà
Dans la vie d'un homme, il n'est parfois pas étonnant de le voir passer par plusieurs expériences tout en restant dans la même famille (les femmes, les différents métiers, avoir des enfants, les voitures... tout y passe !).
J'ai eu cette expérience avec les projecteurs (pour rester dans le contexte
), notamment 9 (???!!!). Les enceintes, 5, et les amplificateurs HC, 7. Le Pioneer est le 8e.
2 m'ont laisser de bons souvenirs (un Yamaha rxv1400 et Denon 3808), le 1er me rire, vu d'ici (Technics), les autres étais typé de manières particulières, mais restaient généreux, très généreux (Onkyo NR 5007 & NR 1009) ! Le plus décevant, Denon 3802.
Me voilà à 32 ans, avec ce CV derrière moi.
Pourquoi donc Pioneer ? et pourquoi celui ci ? C'est simple en 3 raisons, d'une j'ai testé par mégarde, un milieu de gamme sur des Focal (Aria), le VSX 924, je fus étonné par cette fougue et cette analyse à niveau raisonnable, la belle présence des voix, et les belles attaques de basses sur un caisson qui n'était pas franchement extra. On aurai dit du Yamaha en version "dopé".
Deuxièmement, je cherchais toujours l'équilibre HI*FI / home cinema en un seul modèle, et je n'ai JAMAIS été satisfait, donc la HI-FI chez moi, est séparé dans une autre pièce. En revanche il me fallait de la pur esbroufe, du rentre dedans, du vrai Home Ciné, sans me soucié de la finesse musicale.
Et troisièmement, La classe D et capacité de puissance dans peu d'alim, m'intéressait grandement. Il chauffe, il gronde mais ne consomme pas beaucoup.
J'espère que mon blabla, ne rebute pas trop
Je n'ai vu aucuns réelle CR sur les Pioneer SC LX version 2016. Donc je veux bien en parler, tardivement, pour vous.
D'une part les 18 kg, font plaisir au bras, c'est ni lourd, ni poids plume, donc assez rassurant. j'ai connu des 21 et 24 kg (je peux vous dire que lors de l'achat ça se sent). Il est classe, quand même, si si ! Son coté brossé (même en noir), fait briller son emplacement, il fait sobre et maitre de lui même, une identité, je dirais (comme Denon), les Onkyo se cherchent encore parfois. Son look a attirer mon attention, lors de la pose.
Je branche sagement et surement, je prépare la téléco, j'allume... l'image est sycro avec le projecteur, donc tout roule. Je le micro de Mr MCACC, et là je dois vous dire, que je suis pas vraiment anti-micro, mais je n'ai jamais jamais adhéré ce procédé, pourtant sur le papier assez pointu et efficace.
Il est reconnus que pour les plus difficile et exigeant d'entre tous, il vaut mieux se pencher sur un réglage manuelle si besoin est, ce qui fut toujours mon cas. Essayez les Onkyo, avec calibrage et manuellement, vous m'en direz des news, on croirait acheter un plus haut de gamme, tant les différence sont énorme (prenez ça, à la lettre).
Le truc est que je n'ai eu qu'un seul coup de micro, c'est à dire pas de déplacement sur plusieurs endroit d'écoute ! Je ne savais pas ! il faut procéder différemment, o.k, pourquoi pas, c'est pas grave du tout. Et qu'importe, je me suis lancer dans les test, tout de suite après.
Je débute par un Opéra en blu ray (
Macbeth), ça commence gentiment sans chauffer, sans attaquer, et c'est mieux pour débuter. Je ne remarque évidement rien d'entré, comme ça, sans outil de comparaison. Mais lorsque je met des moment plus mouvementés, je sens un boulot DTS HD, peut être plus minutieux que ce que j'ai connus auparavant, en fait il se passe peut être quelque chose, attendons patiemment, nous verrons bien.
Je passe à
Roger Waters et son
The Wall 2015, le détail du dolby est bel et bien présent, mais le rendu des basses me paraissait moins enjoué que ce que j'ai pu connaitre, je rentre au menu (un petit parcours, quand même), je modifie, 1 ou 2 choses totalement inconnu à mes yeux, j'augmente le niveau des basses (il me l'a mis à -12 !!!), et j'augmente la tonalité (+3 et +3), et là... Ahhhhhhh, oui, elles s'expriment, "
Another Brick in the Wall,
Part 1", enfin, pénètre en moi. Dieu que ça fais plaisir.
Je poursuit avec
Genesis,
AC/DC. Pour les passage du Dolby au DTS, ou du Dolby au PCM. et là ...
, il y avait des belles différences ! Genesis possédait finesse et différence de niveau avec mes précédent ampli, là d'entrée, le son exulte, détails accrus, et aussi plus de patate. Franchement c'est un mystère, est-ce le
LX89 qui en fait trop ou bien on nous avait caché tout ça ?
Le passage Dolby 5.1 au PCM sur
AC/DC, idem, c'est pas le bouleversement apocalyptique, certes, mais oui, ça change !
FILMS :
Mad Max Furry Road,
Jurassic Park,
Superman Returns (y'a du PCM 5.1 dedans), bref des films raffinés en son. Bah, ça micro détail sec ! Ça vole, ça fuse, mais diantre ça fait peur. Je n'ai plus l'habitude des sons aussi franc et sec. Je rentre dans l'equalizer, et que vois-je ? Un petit avertissement rouge me disant "
c'est trop, c'est trop", pas mal.
Et c'est là que je m'aperçoit, que je n'ai guère été rebuté par la calibration automatique de l'ampli ! AH !
Je vais (après 6-7 heures de chauffe) me pencher plus minutieusement sur la calibration et les réglages perso, ce soir ou demain peut être et vous en dire plus sur le résultat.
Vous l'aurez compris, je découvre du Pioneer à la maison, et je trouve un son qui se traduit par le mot "spectacle". C'est pas peu dire, le travail est accompli.
Une petite anecdote au passage, un client du boulot (dingue de HI-FI et son), est passer d'un ANTHEM (qu'il adorait !!!), à un Pioneer LX59, et il me confirma le plaisir audio de la gamme LX. Plus nerveux, jouissif, vif, riche que d'autres. Etonné je fus, et quelle coïncidence.
Aller bon week end à tous