
• Provenance : France
• Éditeur : Sony Pictures
• Date de sortie : 03 mai 2017
• Format vidéo (UBD) : 3840x2160 / 24p - HDR10 / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 10 bit - Encodage HEVC - Format 2.39 - 4K DI
• Format vidéo (BD3D) : 1920x1080 / 24p - SDR / BT.709 - YCbCr 4:2:0 / 8 bit - Encodage MVC - Format 2.39 - 3D convertie
• Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits
• Pistes sonores (UBD) : Anglais Dolby Atmos (Dolby TrueHD 7.1), Français Dolby Digital 5.1, Anglais Audiodescription
• Pistes sonores (BD3D) : Anglais DTS-HD MA 5.1, Français DTS-HD MA 5.1
• Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants
Qualité vidéo :

Qu'elle soit en HD ou en UHD, l'image propre et lumineuse de l’œuvre est juste sublimissime. La clarté est sidérante, la définition époustouflante, les détails saisissants (même s'il en manque sur le BD -cf le fond des décors, la pilosité de Jim ou la texture de peau d'Aurora-), la palette colorimétrique extraordinaire et les contrastes au taquet.
Qualité audio :

Un mixage Dolby Atmos exemplaire qui assure le spectacle acoustique avec une précision d’orfèvre et une puissance herculéenne. Les dialogues sont clairs, la spatialisation est ultra-enveloppante, la scène avant est extrêmement dynamique, les effets (les déplacements du barman, les impacts des astéroïdes) et ambiances (les bruits du vaisseau, la musique d’ambiance, la pression sous l’eau) sont d’une grande proximité, la scène arrière donne tout ce qu’elle a, le score est tout aussi juste que large, et les basses s’occupent de faire trembler l’espace sonore (la poussée du réacteur) avec ce qu’il faut de poids et d’impact. En ce qui concerne les canaux de hauteur, ils sont sollicités dès que le récit l’exige (respiration des personnages dans leur combinaison, chute d’eau, alarmes, évacuation de flammes, etc.), c’est-à-dire assez souvent. Si les VF (même la petite piste SD) et la VO DTS-HD restent plus que probantes, elles souffrent néanmoins de la comparaison (ne serait-ce qu’au niveau de la densité des surrounds) avec la VO Atmos.
Qualité relief :

L'expérience stéréoscopique ajoute ce qu'il faut d'immersion visuelle avec une excellente fenêtre de profondeur (les couloirs de l'Avalon) et de très réalistes détachements (les tables et chaises de la salle à manger), malgré la présence de flous d'arrière-plans lors des gros plans. Les sorties d'écran sont quant à elles trop rares sur la durée, même si plusieurs débordements (les écrans holographiques) et jaillissements narratifs (les bulles de la piscine lors de la disparition de la gravité) sont bien présents.
Apport HDR :

Des couleurs plus riches (les tons bleutés et mordorés) et saturées (les teintes rouges foncés) qui se trouvent quelque peu réchauffées (les séquences dans le bar), des blancs nettement plus pétants, des étoiles démultipliées car beaucoup plus étincelantes, des éclairages franchement plus énergiques (les néons, les hologrammes) et des noirs à la profondeur accrue.