por a écrit:Il était en réglage usine, donc pour moi potentiellement à 90 %
Pas de profondeur, comme le ruby(mais c'est lié à la technologie lcd ou équivalente)
En ce qui concerne les noirs profonds : oui mais pas de gris!(pas d'echelle de gris)
Mais bon allez voir par vous meme ...C'est vous le seul juge de paix
P.s : ça fait 5 endroits à paris differents les uns des autres que j'ai frequentés(super passionné ou pousseur de carton);
Et la machine n'a pas "Mieux" fonctionner chez un revendeur avec un "reglage usine" que chez un passionnée avec une machine bien réglée..
(on ne peut pas inventer des qualités sur un projo si elles n'existent pas ...ça tombe sous le sens)
Ce qui veut dire que les faiblesses de la machine ressortirons de toute façon
por a écrit:Oui en effet
Je mets un point d'honneur sur 3 choses :
-Profondeur de champs(très important)
-Qualité des noirs
-Puissance de la lampe
Ce sont pour moi ces 3 éléments qui me rapprochent de l'argentique
Cela ne veut pas dire que je soit un fan du tri dlp ou dlp; je préfère préciser!

Ben moi, je n'ai pas du tout honte de dire que je ne suis vraiment pas un fan du (mono/tri-)DLP !
L'argentique est également ma référence (je vais beaucoup au cinéma et j'ai possédé longtemps un 35 mm qui est chez mes parents maintenant), et je suis également très attaché à la profondeur de champ, à la qualité des noirs, à la puissance de la lampe...
Or à mes yeux rien ne s'éloigne plus de l'argentique que le DLP (simple ou triple) ! Alors qu'à l'opposé, je n'ai pas encore trouvé en technologie matricielle plus proche de l'argentique que le LCoS (SXRD ou D-ILA).
Quant à cette histoire de profondeur de champ dont on accuse le JVC DLA-HD1 de manquer par rapport à ses concurrents DLP, je ne comprends absolument pas de quoi on parle !
J'ai assisté à la démo JVC à la Maison de la culture du Japon à Paris, puis j'ai revu le JVC DLA-HD1 chez deux distributeurs parisiens à côté de plusieurs DLP 1080p. Outre de projeter une image franchement plus belle et plus précise que tous ces DLP (sans exception), j'ai trouvé la profondeur de champs du JVC DLA-HD1 également très supérieure !
Objectivement, la profondeur de champs est fonction du contraste natif (ou dynamique) du projecteur, critère sur lequel le JVC DLA-HD1 domine la concurrence. Mais la profondeur de champs est aussi fonction de l'optique et de la précision, par référence à la photographie, et là encore le JVC n'a rien à craindre des DLP.
Subjectivement, la profondeur de champ (comme son nom l'indique) confère de la profondeur et du relief à l'image, avec ce coté 3D qui donne l'illusion de pouvoir plonger dans l'image ou d'être happé par elle. Et c'est précisément l'effet que m'a immédiatement fait l'image du JVC, et que ne m'ont pas autant fait ses voisines DLP (projections simultanées côte à côte).
Mais il est possible que je n'aie rien compris au concept de profondeur de champs, puisqu'il semble admis exactement le contraire de ce que je vois à chaque fois...
En tout état de cause, je me suis décidé à acheter un JVC DLA-HD1 sans revendre mon Ruby, pour pouvoir prendre le temps de comparer les deux dans ma salle dédiée, et je revendrai ensuite celui qui me plaira le moins (donc pas forcément le Ruby, car j'aime beaucoup le xénon, certainement en souvenir de l'argentique). Cela ne va certes pas plaire à mon banquier (bah au pire un petit crédit pendant trois mois...), mais c'est encore la seule façon de ne pas être partie prenante vis à vis de l'un de ces deux vidéoprojecteurs de référence.