De toute façon, le facteur d'amortissement étant à la source de débats interminables entre ingénieurs de haut niveau qui ne s'entendent absolument pas sur son importance réelle passé un chiffre relativement bas en relation avec différents types de charges de haut parleur et de rendement.... c'est pas nous ici sur HCFR qui allons commencer à donner une importance capitale à ce damping factor
Bref, un ampli rapide, je sais toujours pas ce que c'est... Je crois plutôt à l'ampli qui reste serein face à la charge complexe représentée par une enceinte... et cela peut d'une certaine façon s'approcher par la mesure.
Il est évident qu'un ampli qui ne délivre que le quart de sa puissance dans le grave chargé par une résistance et un condensateur simulant le déphasage apporté par un enceinte Bass reflex se comportera moins bien dans le grave qu'un autre qui ne bronche pas...
Idem un ampli qui dans l'aigu reste stable (sans bidouilles en amont pour qu'il le soit... encore que...) face à une charge proche d'un condensateur sera plus à l'aise qu'un autre qui suroscille beaucoup, etc.
Il y a moins de mystères qu'on le pense... un ampli stable en boucle ouverte avec une bande passante étendue, bien dimensionné, alimenté par une alim qui suit sans retard et sans broncher, contre réactionné comme il faut... marchera bien...
Après le degré de serrages des vis, des transistors, la nature du cablage deviennent de l'audiophilie plus ou moins bien comprise qui nous éloigne en fait de la musique pour plonger dans l'irrationnel (ou la poésie, c'est selon).
Du moment que les règles de l'art sont respectées l'ampli sera bon... c'est le principal. Le reste devient éminement personnel.