alkasar a écrit:potentiomètres motorisés est une option, plutôt chère. Sinon, partir sur des potentiomètres en chip, genre pga2311, pas très chers. Ils sont destinés au contrôle de volume, mais on doit pouvoir les détourner. Il faut un peu de logique a coté pour mémoriser. Ca reste très compact.androuski a écrit:je peux rêver a voix haute pour le cahier des charges ?
une télécommande pour régler tout ça, avec une interface utilisateur minimaliste basée sur des diodes par exemple allumées seulement lorsqu'on triture les réglages, et surtout une possibilité de mémorisation de quelques réglages
Une télécommande ça suppose un module infrarouge et de motoriser tous les potards... le coût ne risque-t-il pas de devenir prohibitif ? En ce qui me concerne ça ne m'intéresse pas parce que je dois conserver des dimensions compactes et il faut que le volume occupé par l'électronique reste maîtrisé. Je préfèrerais que l'on se concentre sur la sophistication des réglages : phase, possibilité d'opter pour deux pentes de coupures, mais je n'ai pas de monopole : c'est un projet collectif, donc si une majorité se montre intéressée par une gestion par telco, pourquoi pas. Il me suffira de ne pas l'implémenter
Mais bon, comme je disais, je rêve a voix haute![]()
Sur mon caisson velodyne la telco s'avère pratique pour switcher du réglage stereo à hc.
edit : en lisant mieux je vois que jcb parle plus haut d'utiliser des pot digitaux. C'est ça
Why not ; ça résoud la question de la pente : on peut même envisager du 48db/oct avec ces chips ?
Mais ça complique la réa, parce que je suppose qu'il faut un écran en interface pour visualiser les réglages ?
Donc ça fait trois point en débat :
- possibilité d'un switch permettant d'opter pour deux pentes de coupures (cette possibilité existe sur les module sub de supravox par exemple) ;
- nature du réglage de la phase ;
- potentiomètres manuels ou pots digitaux.
