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Modérateurs: Modération Forum Installations, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: 18s, damien8549, led balloon, traxx59, velozerien48 et 15 invités
Les installations HiFi des forumeurs de HCFR.
Je me présente par mon installation
Mon cher Lem. Après quelques semaines de galère physique, j'ai heureusement retrouvé la bonne santé. J'ai demandé l'avis à quelques uns de mes visiteurs qui ont pu entendre l'installation fonctionnant avec JPLAY puis avec JRIVER et ils me répondirent unanimement qu'ils avaient perçu une nette différence entre les deux players. L'un deux que je connais bien s'est gentiellement prêté au jeu de la reconnaissance aveugle. Le morceau de musique choisi pour le test était l'ouverture des Saisons de Haydn dans l'exécution de Jacobs (la piste SACD ayant été ripé en 96/24, donc un exemple de qualité où tout le spectre sonore était représenté depuis l'ensemble des cordes, la petite harmonie, jusqu' aux cuivres et une timbale). Mon cobaye ne pouvait évidemment voir qu'elle était mes manipulations sur l'ordinateur pour programmer l'un ou l'autre des players et j'avais pris soin de laisser entre chaque manipulation le même espace de temps, la programmation de JPLAY étant un peu plus compliquée que celle de JRIVER. Je notai mes choix et mon ami a utilisé la même notation: A pour JPLAY et B pour JRIVER. Ma notation a été ABAABA. Mon ami a écrit ABBABA. Sur 6 tests, il n'y eut donc qu'une seule erreur, ce qui paraît démontrer que la différence de restitution sonore entre les deux players est très discernable mais peut être sujette à des erreus marginales. Cordialement Olivier
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La haute-fidélité est une servante de la musique et non une fin en soi.
- Le daim
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Bonsoir, je viens de lire ce sujet très intéressant, merci à vous !
Je viens juste pour ma part de comparer 2 enregistrements (Requiem de Mozart par Currentzis et concertos pour violon de Leclair par Santos), successivement en version CD, puis studio master (flac) : sans test abx je précise ; mais dans les 2 cas je trouve des différences audibles ;
notamment au niveau de la dynamique. J'ai également trouvé avec le Santos qu'on percevait plus subtilement l'acoustique en flac : le côté un peu réverbéré de la prise de son est mieux défini, ce qui peut dérouter de prime abord.
Par contre, saison de Haydn en SACD (stéréo) vs studio master : pas de différence audible pour moi.
Je viens juste pour ma part de comparer 2 enregistrements (Requiem de Mozart par Currentzis et concertos pour violon de Leclair par Santos), successivement en version CD, puis studio master (flac) : sans test abx je précise ; mais dans les 2 cas je trouve des différences audibles ;
notamment au niveau de la dynamique. J'ai également trouvé avec le Santos qu'on percevait plus subtilement l'acoustique en flac : le côté un peu réverbéré de la prise de son est mieux défini, ce qui peut dérouter de prime abord.
Par contre, saison de Haydn en SACD (stéréo) vs studio master : pas de différence audible pour moi.
- HOLLIGER
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- Inscription Forum: 31 Jan 2005 8:38
mon cher Hollinger. La version des Saisons que j'ai utilisée pour les comparaisons en aveugle est une transposition de la couche SACD en PMC 96/24 effectuée par un de mes amis. Je n'ai par contre pas téléchargé le fichier Qobuz en "master". Je songe par contre à télécharger les concertos pour violon de Leclair. Est-ce une bonne version? Cordialement Olivier
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- Le daim
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Salut !
La version de Santos est superbe, de mon point de vue inégalée, c'est un must.
Il avait déjà enregistré des sonates de Leclair superbement il y a quelques années.
J'y suis allé les yeux fermés.
Sinon concernant Leclair, je vous suggère le 33t de musica antiqua Köln, sur lequel 2 des 4 œuvres n'ont jamais été éditées en CD.
Notamment l’extraordinaire sonate pour 2 violon sans basse, interprétée dans les cimes de ce qui est possible.
La version de Santos est superbe, de mon point de vue inégalée, c'est un must.
Il avait déjà enregistré des sonates de Leclair superbement il y a quelques années.
J'y suis allé les yeux fermés.
Sinon concernant Leclair, je vous suggère le 33t de musica antiqua Köln, sur lequel 2 des 4 œuvres n'ont jamais été éditées en CD.
Notamment l’extraordinaire sonate pour 2 violon sans basse, interprétée dans les cimes de ce qui est possible.
- HOLLIGER
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- Inscription Forum: 31 Jan 2005 8:38
J'ai acquis la version Santos des sonates en trio de Leclair chez Qobus. Cela se laisse écouter très agréablement. Leclair se crée une place bien française entre Vivaldi et Haendel, plus souriant que Vivaldi et plus aérien que Haendel (je pense à l'opus 3 version Gardiner). Un très beau disque effectivement. Ecoute la partie violoncelle du premier mouvement de la première sonate, une merveille de légerté souriante. J'ai téléchargé chez Qobus en même temps que l'oeuvre de Leclair, quelques sonates de Loeillet pour flûte-à-bec (version Robert Rothert), un autre compositeur de la même époque un peu oublié aujourd'hui mais qui ne manquait certainement pas d'inspiration. Je n'ai pu m'empêcher de faire le rapprochement avec Leclair même si l'instrument principal n'est pas le même ni l'inspiration (un musicien de cour contre un musicien de province), mais on retrouve chez l'un comme chez l'autre une même élégance souriante qui évoque une sensibilité aujourd'hui disparue. Cordialement Olivier
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- Le daim
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Mon cher Holliger. Tu as raison: les sonates de Leclair exécutées par Santos sont un must qu'il faut écouter dans le calme et le silence. Ma première écoute fut un peu rapide, un peu comme on écoute Vivaldi, c'est beau, entrainant et facile à comprendre, une musique cependant un peu convenue. Leclair, c'est un peu cela aussi mais avec une subtilité rare dans l'art du violon, subtilité admirablement interprétée par Santos et mise en valeur par une excellente prise de son. L'enregistrement donne au violon toute la place qui lui revient (ce qui n'est pas le cas pour Podger dans ses récents concertos de Vivaldi, du moins à l'aune de mes mauvaises oreilles) tout en entourant suffisamment l'instrument par le soutien de l'orchestre. Cordialement Olivier
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- Le daim
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- Le daim
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Le daim a écrit:Mon cher Holliger. Tu as raison: les sonates de Leclair exécutées par Santos sont un must qu'il faut écouter dans le calme et le silence. Ma première écoute fut un peu rapide, un peu comme on écoute Vivaldi, c'est beau, entrainant et facile à comprendre, une musique cependant un peu convenue. Leclair, c'est un peu cela aussi mais avec une subtilité rare dans l'art du violon, subtilité admirablement interprétée par Santos et mise en valeur par une excellente prise de son. L'enregistrement donne au violon toute la place qui lui revient (ce qui n'est pas le cas pour Podger dans ses récents concertos de Vivaldi, du moins à l'aune de mes mauvaises oreilles) tout en entourant suffisamment l'instrument par le soutien de l'orchestre. Cordialement Olivier
Bonjour Le Daim, et désolé de cette réponse tardive pour ces 2 messages.
Content de t'entendre parler ainsi de ce disque et des oeuvres de leclair : c'est en effet magnifique, mais demande en effet pour en percevoir toute la richesse une écoute attentive, sans plus qu'en moyenne dans la musique baroque.
Au vu de ta réaction, je ne peux que te pousser à nouveau et d'autant plus à te procurer le 33T du musica antiqua köln qui confine au sublime dans les sonates pour 2 violons sans basse.
Tu parlais de Loeillet, que j'affectionne aussi, je rebondis sur Devienne, classique certes, mais français méconnu aussi, et maître de très belles inventions mélodiques.. concertos pour flûte, sonates pour hautbois, ou quatuors pour bassons regorgent d'un charme bienfaisant constant.
PS : belle installation !
- HOLLIGER
- Messages: 2223
- Inscription Forum: 31 Jan 2005 8:38
Quelques photos de mon installation
Voici quelques photos et commentaires sur mon installation.
Tout d'abord, une vue d’ensemble prise du point G. Distance de centre à centre entre les deux baffles : 3m50. Distance des deux baffles et le point G : 4m. Les deux pavillons et leurs tweeters associés sont légèrement pincés vers le centre. Ils sont dirigés vers les deux places qui encadrent le point d’G de façon à équilibrer l’image stéréophonique sur une plus grande largeur mais également pour définir mieux l’image pour l’auditeur assis au centre. On aperçoit les lingettes posées en boules lâches au centre des pavillons. Il s’agit d’un expédient, mais d’un expédient important, qui amortit les résonances supérieures des pavillons et qui donne une excellente liaison avec les tweeters à ruban qui surplombent les moteurs TAD. Ceux-ci ne sont pas filtrés vers le haut, donc pas de filtre passe-bas pour eux, les rubans étant filtrés par un passe-haut, un LR 24 à 3k53 c/s.
J’ai placé les lieux d’écoute sur une estrade. Je dois avouer que je l’ai fait à l’instinct, en me disant que cela donnerait une meilleure audition, plus claire, moins empâtée dans le grave et que le grave serait lui-même mieux détouré. Un beau jour, en voyant le mine surprise de certains de mes visiteurs, je me suis quand même posé la question de savoir si cette surélévation correspondait bien à une quelconque nécessité ou n’avait été chez moi qu’un phantasme démonstratif. J’ai donc entrepris, un week-end d’il y a peu, de démolir mon estrade. Je l’ai reconstruite immédiatement ce même week-end. Pour un garçon de mon âge, cela n’a pas été sans effort. L’audition les pieds au sol m’a parue vraiment très terre-à-terre, comme miniaturisée. La musique courrait au plancher comme si on lui avait coupé les ailes porteuses d’envol. Elle avait perdu son dynamisme et s’essoufflait sous la haute toiture de mon grenier. Donc voilà, le point G trône chez moi. Vous remarquerez qu’en réalité, je possède deux points G au milieu de la largeur de ma pièce, l’un derrière l’autre, et je les utilise tous les deux, celui de devant pour les petits ensembles et la musique de chambre, celui de derrière, moins souvent, pour les prises de son multi micros de certains grands ensembles et pour la musique symphonique. La très bonne acoustique de mon grenier permet d’entendre sans trop de différence aux cinq places de mon estrade.
Les deux baffles ont été conçus pour permettre un ajustement de la phase. Tout d’abord, une vue globale d’un des deux baffles. Le haut-parleur à pavillon (Cross passe-haut 450 s/c, pas de passe-bas) est monté sur un support qui glisse sur une arche au-dessus du baffle de grave (100 à 450 s/c). La position de l’un de haut-parleurs par rapport à l’autre peut donc s’ajuster en fonction de la phase, phase qui peut varier assez considérablement avec un appareil comme le BEHRINGER en fonction du filtre choisi.
Il en va de même pour le chevalet du tweeter à ruban qui peut se déplacer vers l’avant ou l’arrière sur le dos du pavillon en fonction de la recherche d’une phase correcte.
Une vue rapprochée de mes deux BEHRINGER. Celui du dessus est l’appareil transformé par SELECTRONIC. Il pilote les six canaux stéréophoniques. Celui du dessous ne conduit que le haut-parleur de contre-grave se trouvant dans le morceau de tuyau d’égout en grès que l’on peut apercevoir derrière le baffle droit. J’utilise les trois canaux de l’appareil, deux pour la sommation des deux voies stéréo (alimentés en numérique) et le troisième reçoit la sortie de la sommation en analogique. Ce procédé me permet de couper le grand haut-parleur de contre-grave (un JBL 18 pouces-48 cm) à près de 100 db/octave. Il est coupé à 100 c/s et ne rayonne absolument pas au-delà, ce qui est très rarement le cas pour les grands transducteurs qui envahissent souvent malencontreusement le grave en le rendant opaque. Le boitier du dessus abrite un potentiomètre à sept canaux à imédance constante (l'atténuation se fait par deux résitances calibrées à chaque position du commutateur). Les sept canaux venant du BEHRINGER sont commandés directement par ce potentiomètre multiple mais leur sortie est chaque fois pourvue d'un adaptateur d'impédance fonctionnant en push-pull de transistors complémentaires de moyenne puissance.
Cordialement Olivier
Tout d'abord, une vue d’ensemble prise du point G. Distance de centre à centre entre les deux baffles : 3m50. Distance des deux baffles et le point G : 4m. Les deux pavillons et leurs tweeters associés sont légèrement pincés vers le centre. Ils sont dirigés vers les deux places qui encadrent le point d’G de façon à équilibrer l’image stéréophonique sur une plus grande largeur mais également pour définir mieux l’image pour l’auditeur assis au centre. On aperçoit les lingettes posées en boules lâches au centre des pavillons. Il s’agit d’un expédient, mais d’un expédient important, qui amortit les résonances supérieures des pavillons et qui donne une excellente liaison avec les tweeters à ruban qui surplombent les moteurs TAD. Ceux-ci ne sont pas filtrés vers le haut, donc pas de filtre passe-bas pour eux, les rubans étant filtrés par un passe-haut, un LR 24 à 3k53 c/s.
J’ai placé les lieux d’écoute sur une estrade. Je dois avouer que je l’ai fait à l’instinct, en me disant que cela donnerait une meilleure audition, plus claire, moins empâtée dans le grave et que le grave serait lui-même mieux détouré. Un beau jour, en voyant le mine surprise de certains de mes visiteurs, je me suis quand même posé la question de savoir si cette surélévation correspondait bien à une quelconque nécessité ou n’avait été chez moi qu’un phantasme démonstratif. J’ai donc entrepris, un week-end d’il y a peu, de démolir mon estrade. Je l’ai reconstruite immédiatement ce même week-end. Pour un garçon de mon âge, cela n’a pas été sans effort. L’audition les pieds au sol m’a parue vraiment très terre-à-terre, comme miniaturisée. La musique courrait au plancher comme si on lui avait coupé les ailes porteuses d’envol. Elle avait perdu son dynamisme et s’essoufflait sous la haute toiture de mon grenier. Donc voilà, le point G trône chez moi. Vous remarquerez qu’en réalité, je possède deux points G au milieu de la largeur de ma pièce, l’un derrière l’autre, et je les utilise tous les deux, celui de devant pour les petits ensembles et la musique de chambre, celui de derrière, moins souvent, pour les prises de son multi micros de certains grands ensembles et pour la musique symphonique. La très bonne acoustique de mon grenier permet d’entendre sans trop de différence aux cinq places de mon estrade.
Les deux baffles ont été conçus pour permettre un ajustement de la phase. Tout d’abord, une vue globale d’un des deux baffles. Le haut-parleur à pavillon (Cross passe-haut 450 s/c, pas de passe-bas) est monté sur un support qui glisse sur une arche au-dessus du baffle de grave (100 à 450 s/c). La position de l’un de haut-parleurs par rapport à l’autre peut donc s’ajuster en fonction de la phase, phase qui peut varier assez considérablement avec un appareil comme le BEHRINGER en fonction du filtre choisi.
Il en va de même pour le chevalet du tweeter à ruban qui peut se déplacer vers l’avant ou l’arrière sur le dos du pavillon en fonction de la recherche d’une phase correcte.
Une vue rapprochée de mes deux BEHRINGER. Celui du dessus est l’appareil transformé par SELECTRONIC. Il pilote les six canaux stéréophoniques. Celui du dessous ne conduit que le haut-parleur de contre-grave se trouvant dans le morceau de tuyau d’égout en grès que l’on peut apercevoir derrière le baffle droit. J’utilise les trois canaux de l’appareil, deux pour la sommation des deux voies stéréo (alimentés en numérique) et le troisième reçoit la sortie de la sommation en analogique. Ce procédé me permet de couper le grand haut-parleur de contre-grave (un JBL 18 pouces-48 cm) à près de 100 db/octave. Il est coupé à 100 c/s et ne rayonne absolument pas au-delà, ce qui est très rarement le cas pour les grands transducteurs qui envahissent souvent malencontreusement le grave en le rendant opaque. Le boitier du dessus abrite un potentiomètre à sept canaux à imédance constante (l'atténuation se fait par deux résitances calibrées à chaque position du commutateur). Les sept canaux venant du BEHRINGER sont commandés directement par ce potentiomètre multiple mais leur sortie est chaque fois pourvue d'un adaptateur d'impédance fonctionnant en push-pull de transistors complémentaires de moyenne puissance.
Cordialement Olivier
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- Le daim
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HOLLIGER a écrit:Bonjour Le Daim, et désolé de cette réponse tardive pour ces 2 messages.
Content de t'entendre parler ainsi de ce disque et des oeuvres de leclair : c'est en effet magnifique, mais demande en effet pour en percevoir toute la richesse une écoute attentive, sans plus qu'en moyenne dans la musique baroque.
Au vu de ta réaction, je ne peux que te pousser à nouveau et d'autant plus à te procurer le 33T du musica antiqua köln qui confine au sublime dans les sonates pour 2 violons sans basse.
Tu parlais de Loeillet, que j'affectionne aussi, je rebondis sur Devienne, classique certes, mais français méconnu aussi, et maître de très belles inventions mélodiques.. concertos pour flûte, sonates pour hautbois, ou quatuors pour bassons regorgent d'un charme bienfaisant constant.
PS : belle installation !
Mon cher Holliger. Je suis heureux que tu aies apprécié les photos de mon installation et mes commentaires. Cela n'a pas été une mince affaire pour moi, pour moi qui suis un peu stupide en informatique, de parvenir à mettre ces quelques photos sur le forum.
Je regrette de ne pouvoir écouter la sonate de Leclair pour deux violons dans la version vinyle que tu me recommandes mais la source de musique dans mon installation est à présent complètement informatisée et je ne possède plus de tourne-disques ni même de lecteur CD. Que me recommandes-tu d'écouter dans l'oeuvre de Devienne? Merci si tu veux bien me guider. Cordialement Olivier
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- Le daim
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Le daim a écrit:HOLLIGER a écrit:Bonjour Le Daim, et désolé de cette réponse tardive pour ces 2 messages.
Content de t'entendre parler ainsi de ce disque et des oeuvres de leclair : c'est en effet magnifique, mais demande en effet pour en percevoir toute la richesse une écoute attentive, sans plus qu'en moyenne dans la musique baroque.
Au vu de ta réaction, je ne peux que te pousser à nouveau et d'autant plus à te procurer le 33T du musica antiqua köln qui confine au sublime dans les sonates pour 2 violons sans basse.
Tu parlais de Loeillet, que j'affectionne aussi, je rebondis sur Devienne, classique certes, mais français méconnu aussi, et maître de très belles inventions mélodiques.. concertos pour flûte, sonates pour hautbois, ou quatuors pour bassons regorgent d'un charme bienfaisant constant.
PS : belle installation !
Mon cher Holliger. Je suis heureux que tu aies apprécié les photos de mon installation et mes commentaires. Cela n'a pas été une mince affaire pour moi, pour moi qui suis un peu stupide en informatique, de parvenir à mettre ces quelques photos sur le forum.
Je regrette de ne pouvoir écouter la sonate de Leclair pour deux violons dans la version vinyle que tu me recommandes mais la source de musique dans mon installation est à présent complètement informatisée et je ne possède plus de tourne-disques ni même de lecteur CD. Que me recommandes-tu d'écouter dans l'oeuvre de Devienne? Merci si tu veux bien me guider. Cordialement Olivier
Ton installation est étonnante. Je croyais déjà qu'un plafond sous les toits n'était pas favorable à une bonne acoustique..
Je n'ai jamais entendu d'enceintes à pavillon telles que les tiennes.
Mon installation, soignée aussi, est beaucoup plus traditionnelle.
Pour en revenir à la musique :
le disque Leclair se trouve d'occasion sans trop de peine, en voici un exemple :
http://cgi.ebay.fr/Leclair-Musique-de-C ... 59006?pt=Bücher_Unterhaltung_Music_CDs&hash=item1c2cfb6c1e
François Devienne : je suis actuellement en vacances, il faudra que je regarde chez moi. e viens de commander un double cd MDG de sonates pour hautbois et basson avec Azzolini au basson, je ferai part de mes impressions d'ici quelques jours ou semaines.
Il y a un disque de quatuors pour basson superbe, malheureusement actuellement hors de prix :
http://www.amazon.fr/Fran%C3%A7ois-Devi ... 272&sr=8-1
mais peut-être que cette autre version est pas mal à prix normal :
http://www.amazon.fr/Fran%C3%A7ois-Devi ... 309&sr=1-6
les quatuors pour flûte par les kuijken sont assez délicieux aussi :
http://www.amazon.fr/Flute-Quartets-Dev ... 777&sr=1-1
Il y a les concertos, notamment le n°8, pour les versions, j'ai oublié ; c'est une oeuvre superbe.
A très bientôt !
- HOLLIGER
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J'ai acquis chez Amazon le CD du quatuor pour basson de Devienne. Je l'attends et je te ferai part de mes impressions. Cordialement Olivier
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- Le daim
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- Inscription Forum: 11 Aoû 2012 7:59
Hello !
Tu as commandé la version Thunemann ?
Pour ma part, c'est le double cd MDG de sonates pour hautbois et basson que je viens d'écouter, et c'est vraiment superbe.
Une musique assez simple, mais tellement juste, fine, bourrée de mélodies accrocheuses.
Bref, délicat et inventif, un régal.
A bientôt !
Tu as commandé la version Thunemann ?
Pour ma part, c'est le double cd MDG de sonates pour hautbois et basson que je viens d'écouter, et c'est vraiment superbe.
Une musique assez simple, mais tellement juste, fine, bourrée de mélodies accrocheuses.
Bref, délicat et inventif, un régal.
A bientôt !
- HOLLIGER
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- Inscription Forum: 31 Jan 2005 8:38
C'est la version de françois Lefevre, bassoniste.
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- Le daim
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Voici les courbes de réponse en fréquences de mon installation relevées au point G en bruit rose et tiers d’octave.
Les deux canaux ( en rouge et en vert) et la sommation des deux canaux (en noir):
C'est la courbe représentant la sommation des deux canaux qui me paraît la plus démonstrative. Son tracé est en tout point semblable à celui des deux autres courbes mais à un niveau plus élevé (environ +6db). Ceci implique l'excellence de la réponse stéréophonique tant dans l'énergie que délivrent les deux canaux sur l'ensemble du spectre sonore que dans les phases de chacun des canaux prises globalement mais aussi dans les phases relatives entre les différents haut-parleurs du système multiamplifié. Cordialement Olivier
Les deux canaux ( en rouge et en vert) et la sommation des deux canaux (en noir):
C'est la courbe représentant la sommation des deux canaux qui me paraît la plus démonstrative. Son tracé est en tout point semblable à celui des deux autres courbes mais à un niveau plus élevé (environ +6db). Ceci implique l'excellence de la réponse stéréophonique tant dans l'énergie que délivrent les deux canaux sur l'ensemble du spectre sonore que dans les phases de chacun des canaux prises globalement mais aussi dans les phases relatives entre les différents haut-parleurs du système multiamplifié. Cordialement Olivier
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- Le daim
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