Fafa a écrit:Vu le Godzilla ricain je me suis ennuyé ferme
Avec Godzilla dans le titre, faut pas s'attendre à autre chose que de la daube...
Je suis assez fan des Vrais Godzilla ,dans la 20 aines de films sortis il y a du bon et du moins bon, mais l'ennuie est jamais de la partie!
On sens que Gareth en a vu quelques' un ,il essaye de rester fidèle sur certains points, mais bon faire un film sans humour sur un sujet pareil c'est allez droit dans le mur , le film est aussi bien trop long, le premier monstre arrive bien une demi heure après le début du film , en plus ça ressemble a un gros moustique qui aurait flirter avec une chauve souris , et après on attend encore de longues minutes avant que le Godzilla du titre se montre enfin ...
La seule chose d'un peu spectaculaire c'est le son !
Avec un bon godzilla on ne s'ennuie pas car c'est rythmé et l'action est non stop ,dans le film de Gareth Edwards il semble ne rien se passer , l'action traine tellement qu'on finir par oublier ce qu'ils font ; poser une bombe que le moustique va boulotter et ils recommencent a essayer de poser cette satanée bombe encore 2 fois, au lieu de changer de stratégie!!!
Et comme par hasard le héros est un spécialise en explosifs et qui a une chance de cocu ,vu qu'il est le seul a échappé a la mort plusieurs fois,
La premiére version de Roland Emmerich , il se passait pas mal de choses au moins méme s'il ressemblait a un gros lézard , le film ne se prenait pas au sérieux, et des militaires bien stupides on en voit pas tout les jours dans les block busters US.
, un film de Ruggero Deodato, l'auteur du redoutable Cannibal Holocaust, avec les frères jumeaux Paul, deux montagnes de muscle à la bouille sympathique qui n'ont pas grand chose à envier à Schwarzy à la même époque. Là encore, une volonté délibérée de réaliser un film d'héroic fantasy à voir au second degré avec de constants clins d'œil de connivence vers le public. Hélas, ce film n'est pas aussi rythmé ni délirant que Krull. Il faut bien avouer qu'avant l'apparition tardive des jumeaux musclor (environ 30 minutes d'attente), on s'ennuie ferme, puis on se croirait revenu à la grande époque de Bud Spencer et Terence Hill.
