20h00. Bercy continue à se remplir petit à petit, la foule patiente difficilement et des holas d'improvisent. Quelques personnalités arrivent dans la demi-heure qui précéde le début du concert. Deux Jean-Paul : Gaultier l'ami de toujours de Madonna
puis Belmondo, descendant difficilement jusqu'à sa place mais provocant encore plus d'applaudissements que le couturier...
Environ 21h00. Les lumières s'éteignent et les immenses écrans géants s'allument.
Débutant par The Beast Within, juste sur vidéo, le concert s'enchaine sur Vogue avec une chorégraphie simple mais efficace. Ecrans géants coulissants et superposés créent un décor vraiment génial. Le show est lancé, c'est parti pour 1h3/4 de délire.
Alternant les thèmes du 18ème siècle, de la guerre en Irak, de Paris, de l'Ecosse, de la paix dans le monde et de la Kabbale, Madonna génère encore une fois de l'émotion et de la polémique. (femme en burqa, rabbin, cardinal, nonne, soldats, images d'enfants blessés par la guerre). Sa reprise d'Imagine restera pour moi le moment d'émotion le plus intense du concert.
Et en vrac :
- décors et costumes plus sobres qu'à l'accoutumée
- reprises vraiment réussies (deeper and deeper par exemple
)
- danseurs
- energie ultradébordante de Madonna (elle fait sa gym en direct
)
- avancée de scène suspendue qui permet vraiment de la voir de tout près même si l'on n'est pas trop devant
- toujours pas de rappel, dommage
- c'est trop court...
- les pauvres roses elles ont bien eu du mal à tenir le choc jusqu'à Papa Don't Preach
!
Ciao Esther, à dans 3 ans !
et je ne vois pas en quoi c'est une faute de goût que de rester habillé(e) en kilt ! 
t'as pu prendre des photos au fait 