Robert64 a écrit:beb a écrit:Raisonnement de mauvaise foi peut-être, mais en constatant que des gens se font allumer quand il se dégagent à un feu rouge pour laisser passer des pompiers ou forces de l'ordre.
Pour la double peine. On ferme, décision des élites parisiennes, des hostos chez les bouseux. trop cher
.....
Il faut aussi rester cohérents et savoir ce que l'on veut.
On ne peut pas idolâtrer l'économie de marché comme étant la seule voie pour faire fonctionner notre société et couiner contre la disparition des hôpitaux , voies ferrées non rentables , etc... qui sont sacrifiés en vertu justement de ce principe. Non rentable >>>> à supprimer!
La notion de "service public" est à contresens de cette idée, et contient même des relents gauchisants (pouha: kaka !) Si l'Europe y fait la chasse, c'est justement pour ça.
On n'est pas encore tout à fait dans le paradis capitaliste et vous vous plaignez déjà! Enfants gâtés!
Pour les curieux, regardez un peu où en est le système de santé britannique; ça vous donnera une idée de là ou l'on va!
A+
On peut aussi citer le système de santé allemand ainsi que leur réseau ferré qui est passé à la concurrence tout en gardant son efficacité: il ne faut pas confondre efficacité et pléthore de dépenses publiques, il suffit d'encadrer les marchés avec un cahier des charges bien pensé...
Mais l'exemple de la Grande Bretagne ( sur la santé ou le réseau ferré) est toujours choisi par les opposants au changement car il a été mal pensé, dans une optique trop libérale et bâti sur des erreurs passées dues à la gestion publique... donc en Grande Bretagne on est passé d'un extrême à l'autre par idéologie et non de façon posée et réfléchie...
Je préfère largement prendre l'exemple des Pays nordiques dont certains ont été les champions de la dépense publique dans le passé récent,( maintenant c'est la France qui est passée championne) et qui ont eu le courage de faire les réformes indispensables à cette gabegie sans sacrifier le service du public au libéralisme extrême .....