led balloon a écrit:rmsk a écrit:
Tu as raison.
Mais je suis convaincu que ce n'était pas intentionnel.
Remy
Merci Remy
Je t'en prie
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led balloon a écrit:rmsk a écrit:
Tu as raison.
Mais je suis convaincu que ce n'était pas intentionnel.
Remy
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beb a écrit:S'il n'y a que ca qui te gêne dans cette réforme pourrie, ce n'est pas un problème !
Joich a écrit:Elle ne t'était pas destinée
C'est un peu une généralité gratuite. Le profs étant par définition des branleurs égoïstes et incapables, personne n'écoute ce qu'ils ont à dire. Quand ils manifestent pour dire qu'une réforme ne va pas dans le bon sens, tout le monde s'en fout et gueule juste que eh oh, mais on va faire quoi de nos enfants nous pendant la grève? L'école est une garderie de luxe. Dont acte.
Keron a écrit:beb a écrit:S'il n'y a que ca qui te gêne dans cette réforme pourrie, ce n'est pas un problème !
Pas un problème pour toi sans doute.
Pas le cas des centaines d'élèves du lycée où sont mes enfants. Et cela doit être pareil ailleurs.
Rien que pour les bus le soir. Avant les enfants sortaient tous à 16 ou 16h30 voire 17h. Là c'est du libre service et aucune commune ne sait assurer des transports toutes les 30 minutes de 14h à 18h. C'est impossible.
Pour les études supérieures, les établissement regardaient aussi les classements des élèves par matière. C'est désormais impossible.
Que font les enfants pendant 2 ou 3 h sans cours à l'école ? Ils dealent ? Surtout que c'est tous les jours.
A mon avis, cela a été une réforme pour faire une réforme mais sans avoir fait un début de réflexion sur les problématiques liées à l'organisation dans les lycées. Certains élèves ne peuvent du restent pas avoir une ou plusieurs options choisies et acceptées car le prof ne sait rassembler tous les élèves venant de 5-10 classes différentes avec un emploi du temps différent.
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Keron a écrit:Joich a écrit:Elle ne t'était pas destinée
C'est un peu une généralité gratuite. Le profs étant par définition des branleurs égoïstes et incapables, personne n'écoute ce qu'ils ont à dire. Quand ils manifestent pour dire qu'une réforme ne va pas dans le bon sens, tout le monde s'en fout et gueule juste que eh oh, mais on va faire quoi de nos enfants nous pendant la grève? L'école est une garderie de luxe. Dont acte.
Je ne suis pas du genre à cracher sur les fonctionnaires
beb a écrit:Je la prendrai pas pour moi celle là, ça fait 6 mois que je dis que c'est une escroquerie cette réforme...
Franchement le fait que les pauvres petits citadins puissent plus faire du périscolaire c'est franchement du pipi de musaraigne à coté du reste...
En effet, faudrait un peu penser aux zones où les lycéens n'ont pas le choix d'un autre lycée pour leurs options.
Avec la suppression des maths obligatoires et de la science obligatoire (ce qu'on avait avec la filière S), beaucoup vont se retrouver avec le choix de ne pas pouvoir avoir des cours de maths/physique/autres disciplines scientifiques. Et les dérogations de lycée pour pouvoir en faire on a déjà les réponses : ce sera non, définitivement non.
T'es bon en maths ? Bah tu feras théatre ou psycho. T'es content ?
Parce que la réforme, le but premier est de ne pas avoir à embaucher des profs de maths/physique/science, qu'on a tant de mal à recruter.
Et si ça peut faire chier les gilets jaunes, tant pis ! Ce sont des boulets qui ne pensent pas à ça !
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la procréation médicalement assistée, aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. "La conception délibérée d'un enfant privé de père n'est pas sans risques pour son développement", détaille le rapport.
Dans ce texte, le comité d'éthique de l'Académie nationale de médecine (ANM) avance que la PMA est une mesure "à caractère sociétal" et que "au-delà des convictions de chacun, elle ne s'estime pas à même de donner un avis hors du champ de ses missions". Cependant, elle estime "de son devoir" d'émettre un certain nombre de réserves.
"Rupture anthropologique majeure"
Elle pointe ainsi "le droit de tout enfant à avoir un père et une mère dans la mesure du possible". La PMA créerait donc une "rupture volontaire d'égalité entre les enfants". "Une rupture anthropologique majeure qui n'est pas sans risques pour le développement psychologique et l'épanouissement de l'enfant", considère l'ANM. L'Académie insiste sur l'importance de la figure du père, "fondatrice pour la personnalité de l'enfant". Selon elle, "l'existence de deux mots distincts, père et mère, signifie que l'un ne peut se substituer à l'autre car le rôle des mères et des pères ne sont pas équivalents."
"Le père et la mère n'ont pas le même rôle dans l'éducation d'un enfant"
Jean-François Mattei, rapporteur au nom du Comité d’éthique de l’ANM et ancien ministre de la Santé, explique à franceinfo pourquoi l'ANM exprime de telles réserves. Pour lui, "le père et la mère n'ont pas le même rôle dans l'éducation d'un enfant. Ça ne veut pas dire que nous ne comprenons pas que toute femme puisse avoir un désir de maternité. C'est tout à fait légitime. Quand on prend la discussion par le biais du désir des femmes d'être mère et d'élever un enfant, il n'y a rien à dire. En revanche, quand on se penche sur cette question par le biais de l'enfant, peut-on accepter qu'un enfant soit délibérément privé de père ? Nous disons : attention, il y a des risques, pour son épanouissement et son futur."
Pour Jean-François Mattei, la question de la PMA n'a "rien de médical". "La fécondation in vitro date du début des années 80, l'insémination artificielle date des années 70. Mettre ce sujet dans la loi de bioéthique est une erreur." "Sur le plan sociétal, chacun a ses convictions, conclut-il. Mais sur le plan médical, les psychiatres nous disent : nous ne sommes pas toujours capable de dire ce qu'apporte un père mais en revanche, nous sommes capables de dire ce que son absence provoque. C'est aussi clair que ça."
Une prise de position dans le débat qui fait bondir Anne-Sophie Duperray, co-présidente de Mam'en solo. Elle-même a eu une fille grâce à une procréation médicalement assistée (PMA) au Danemark alors qu'elle était célibataire. Elle réagit sur franceinfo aux réserves de l'ANM.
beb a écrit:La petite nuance est que là on n'est plus dans le dessin industriel (filières E) ou l'informatique...
On est sur les mathématiques et les sciences.
Keron a écrit:L'Académie de médecine se prononce contre la PMA ouverte à toutes les femmes.
http://www.academie-medecine.fr/wp-cont ... 09-ANM.pdfla procréation médicalement assistée, aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires. "La conception délibérée d'un enfant privé de père n'est pas sans risques pour son développement", détaille le rapport.
Dans ce texte, le comité d'éthique de l'Académie nationale de médecine (ANM) avance que la PMA est une mesure "à caractère sociétal" et que "au-delà des convictions de chacun, elle ne s'estime pas à même de donner un avis hors du champ de ses missions". Cependant, elle estime "de son devoir" d'émettre un certain nombre de réserves.
"Rupture anthropologique majeure"
Elle pointe ainsi "le droit de tout enfant à avoir un père et une mère dans la mesure du possible". La PMA créerait donc une "rupture volontaire d'égalité entre les enfants". "Une rupture anthropologique majeure qui n'est pas sans risques pour le développement psychologique et l'épanouissement de l'enfant", considère l'ANM. L'Académie insiste sur l'importance de la figure du père, "fondatrice pour la personnalité de l'enfant". Selon elle, "l'existence de deux mots distincts, père et mère, signifie que l'un ne peut se substituer à l'autre car le rôle des mères et des pères ne sont pas équivalents."
"Le père et la mère n'ont pas le même rôle dans l'éducation d'un enfant"
Jean-François Mattei, rapporteur au nom du Comité d’éthique de l’ANM et ancien ministre de la Santé, explique à franceinfo pourquoi l'ANM exprime de telles réserves. Pour lui, "le père et la mère n'ont pas le même rôle dans l'éducation d'un enfant. Ça ne veut pas dire que nous ne comprenons pas que toute femme puisse avoir un désir de maternité. C'est tout à fait légitime. Quand on prend la discussion par le biais du désir des femmes d'être mère et d'élever un enfant, il n'y a rien à dire. En revanche, quand on se penche sur cette question par le biais de l'enfant, peut-on accepter qu'un enfant soit délibérément privé de père ? Nous disons : attention, il y a des risques, pour son épanouissement et son futur."
Pour Jean-François Mattei, la question de la PMA n'a "rien de médical". "La fécondation in vitro date du début des années 80, l'insémination artificielle date des années 70. Mettre ce sujet dans la loi de bioéthique est une erreur." "Sur le plan sociétal, chacun a ses convictions, conclut-il. Mais sur le plan médical, les psychiatres nous disent : nous ne sommes pas toujours capable de dire ce qu'apporte un père mais en revanche, nous sommes capables de dire ce que son absence provoque. C'est aussi clair que ça."
C'est exactement la position que je défend depuis le début !
Et si cet acte n'est pas médical, alors il ne doit aucunement être financé par la SECU.
Bien entendu ce rapport fait bondir des associations LGBT :Une prise de position dans le débat qui fait bondir Anne-Sophie Duperray, co-présidente de Mam'en solo. Elle-même a eu une fille grâce à une procréation médicalement assistée (PMA) au Danemark alors qu'elle était célibataire. Elle réagit sur franceinfo aux réserves de l'ANM.
Une femme qui a eu un moment un caprice en voulant un enfant et qui va s'en acheter un à l'étranger. C'est interdit en France. Je ne dis rien de plus à son sujet.
Le gouvernement va peiner à reprendre le débat en main devant ce rapport accablant !!
J'entends déjà le gouvernement bien embarrassé et des associations qui vont tenter de noyer le poisson en disant que plein d'études démontrent que tout va bien dans les familles mono parentales pour les enfants. Alors que l'on parle ici d'enfant privé de Père. Mais en faisant de belles phrases ils vont tenter de discréditer l'étude.
C'est bien en tout cas que l'Académie de Médecine ose marquer sa différence avec cette vague sociétale et parle des vrais risques pour l'enfant.
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