cohuelaz a écrit:Il me semble, qu'en dehors de l'aspect "puriste" du passif, on ne puisse pas dire, directement, qu'il fonctionnera mieux qu'un actif à faible niveau
Un passif à résistances atténue le signal, faisant passer les petits signaux en dessous du niveau bruit de fond. Un pré actif comporte un potentiomètre de réglage de volume, qui n'est pas autre chose qu'un atténuateur à résistance. Il sera pire sur ce paramètre qu'un passif à résistances, car les circuits actifs apportent un bruit de fond plus élevé que celui d'un passif bien isolé des influences électromagnétiques
Tandis qu'un passif à transformateurs augmente le courant envoyé à l'ampli lorsqu'on diminue la tension (atténuation). Il préserve la dynamique à faible niveau d'écoute
En résumé, sur ce seul paramètre de comportement électrique :
Passif à transfos > Passif à résistances > ActifCe qui précède est à confirmer dans la pratique sur votre installation, compte tenu des autres paramètres (association avec les autres maillons, notamment impédances)
cohuelaz a écrit:Déjà, un préampli passif ou actif fonctionnent principalement en atténuateur et au vu du rapport signal / bruit d'un actif moderne on peut raisonnablement penser qu'il est silencieux et que son écoute à faible volume (fort niveau d'atténuation) ne sera pas entaché d’un bruit de fond résiduel
Un pré moderne a un rapport S/B de 100 dB ? Tandis qu'un passif correctement réalisé peut descendre en dessous des capacités des mesureurs de bruit de labo (120 dB...)
cohuelaz a écrit:Je ne suis pas certain que cela soit l’avantage d’un passif de permettre une meilleure écoute à bas niveau
Dans ce domaine, il faut réfléchir avec ses oreilles, pourquoi tenter d'élaborer méticuleusement sur des choses qui peuvent se confirmer en 1 minute d'écoute ?