Ben oui, mes précedentes équations vont dans ce sens. Elles ont l'avantage de montrer que c'est la résistance de rayonnement qui prend le relais. Ce qui est parfaitement conforme aux tendances que l'on peut détecter sur le diagramme que tu as fourni et qui intéresse l'air.
Y'a pas: aux hautes fréquences, la masse décroit, l'amortissement est quasi-constant Ce sont deux grandeurs différentes qui réunies dans le plan complexe représentent l'impédance de rayonnement. Pour le moment, on a utilisé le disque plan.
La première modifie la fréquence des pics,
La deuxième modifie l'intensité des pics.
Et apparemment, tout ça très modiquement. Plus on monte en fréquence et moins la fréquence des pics est modifiée (regarder graphe modèle Klippel)













