Modérateurs: Modération Forum Haute-Fidélité, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Bruce_Wayne_37, gwen35, marco2003, Noisfra, rolex, stlm, tovarich007, vdl1 et 618 invités

Toutes les enceintes HiFi

Nouvelle gamme B&W 80x S / D ( photos / CR inside )

Message » 22 Aoû 2005 18:05

Philippe Muller écrit : Le sub ne peut donc être une finalité ou alors, il faut de créer de vrais satellites spécifiques avec moins de compromis qu'une enceinte de bibliothèque autonome.

Satellites à qui on ne demandera pas de descendre aussi bas que ce que l'on demande à une bibliothèque.

Récemment, j'ai entendu une paire de biblio Focus Audio en compagnie d'un caisson Velodyne. Dire que le résultat était mauvais serait évidemment mentir. Objectivement, il y avait plus de grave et un grave propre, cependant le grave "allait plus vite" était plus dynamique que le reste du spectre, comme si les deux enceintes n'allaient pas à la même vitesse.

Du coup, j'ai préféré la biblio toute seule : moins de grave, certes, mais plus d'homogénéité et la sensation qu'elle creuse le médium était beaucoup moins patente qu'avec le caisson.

En fait, si je te comprends bien Philippe, et je crois que j'ai bien compris : le compromis réalisé par une biblio consiste aussi à maintenir un équilibre crédible entre le rapport entre le grave et l'aigu et qu'on ne gagne pas toujours à élargir d'un coté ou de l'autre sans mettre plus ou moins à mal cet équilibre !

Au moins un satellite conçu pour passer de 80 ou 100, voire 150 avec certains d'entre eux, jusque dans l'aigu est étudié pour fonctionner avec le renfort d'un caisson de grave qui est conçu pour que les deux enceintes, le satellite et lui, se raccordent pile poil car ils ont été conçus l'un pour l'autre.


Alain :wink:
haskil
 
Messages: 60035
Inscription Forum: 06 Déc 2001 2:00
Localisation: Haute Normandie et Brésil
  • offline

Message » 22 Aoû 2005 18:43

Alain, ceci traduit tout à fait à mon point de vue.

Une bibliothèque peut être étonnante, parfois bien plus qu'une trois voies mais elle reste un compromis.

Je partage également l'opinion d'Haskil à propos du mariage entre sub et enceintes à deux voies. C'est comme les mélanges de technologies entre grave et médium (cela vaut pour les HP, les câbles, les amplis....) cela fait assez souvent ressortir le fait qu'on utilise plusieurs voies au lieu de faire croire qu'il n'y en a qu'une.

C'est ce qui a poussé Cabasse à abandonner l'asservissement, qui était bien plus intéressant sur les trois voies que sur les quatre voies qui ont suivi. On avait un peu l'impression que chacun vivait sa vie de son côté (avec élégance mais ce n'était pas tout à fait le but recherché), ce qui était moins perceptible dans les modèles plus anciens (les Sampan 3VTA et Galion 3VTA ont assuré leur fonction de moniteurs à Radio-France pendant plus de vingt ans et il doit vraisemblablement en rester). Les asservissement des derniers Goëland et Albatros furent nettement revus à la baisse (il y avait les circuits mais il n'étaient plus guère actifs).

L'association sub/satellite peut être réussie et cela peut être remarquable mais c'est assez souvent râté. La coupure placée très bas n'est pas toujours du meilleur goût non plus (cela ne plaira pas à tout le monde mais tant pis: c'est mon avis). Cela ne diminue presque pas la surcharge du HP du satellite dont le taux de distorsion s'élève à des niveaux élevés, sans compter les traînages de toutes sortes, alors que le caisson est parfaitement contrôlé. Couper très bas facilite la fusion acoustique quand caisson et satellites sont éloignés mais ce n'est pas toujours une bonne idée.

Mieux vaut rapprocher les enceintes et couper plus haut, là où les deux HPs sont en pleine forme.

Le mieux serait de concevoir de vrais satellites, étudiés pour fonctionner avec des subgraves déterminés. Tout serait bien meilleur car le grave-médium pourrait être optimisé pour monter encore mieux jusqu'au tweeter et il ne serait plus utile de descendre très bas, d'où un haut-grave et bas/médium en béton.

Problème: clientèle réduite et metteurs en oeuvre quasiment inexistants, ce qui risque d'entraîner un taux d'echec de l'installation peu réjouissant. C'est ce qui a toujours freiné le développement des systèmes "triphoniques" qui ne datent pourtant pas d'hier (Grundig en proposait une version commerciale, bien avant 3A). Mal utilisés, ils sont souvent pires que tout.
Philippe Muller
Professionnel
Professionnel
 
Messages: 4405
Inscription Forum: 14 Déc 2003 22:20
  • offline

Message » 22 Aoû 2005 19:02

Phlippe Muller écrit : L'association sub/satellite peut être réussie et cela peut être remarquable mais c'est assez souvent râté. La coupure placée très bas n'est pas toujours du meilleur goût non plus. Cela ne diminue presque pas la surcharge du HP du satellite dont le taux de distorsion s'élève à des niveaux élevés, sans compter les traînages de toutes sortes, alors que le caisson est parfaitement contrôlé. Couper très bas facilite la fusion acoustique quand caisson et satellites sont éloignés mais ce n'est pas toujours une bonne idée.

Mieux vaut rapprocher les enceintes et couper plus haut, là où les deux HPs sont en pleine forme.


Nous sommes du même avis !

Alain :wink:
haskil
 
Messages: 60035
Inscription Forum: 06 Déc 2001 2:00
Localisation: Haute Normandie et Brésil
  • offline

Message » 22 Aoû 2005 19:43

Bonjour Philippe,
heureux de te revoir parmis nous...

Pour l'hypothétique 805 Signature D, il semble évident que c'est l'évolution logique de la gamme B&W. Pas en 2005, pas en 2006... mais en 2008, ca me semblerais tout a fait judicieux. Que ce soit compliqué a faire, j'en conviens, mais je suis persuadé que si la demande existe, B&W saura y répondre.

Pour ce qui est de l'ajout d'un caisson a une biblio, ce n'est pas nouveau... je crois avoir dit une bonne dizaine de fois (et, bien entendu, je ne suis pas le seul) que certaines biblio se marient naturellement mieux avec un caisson que d'autres.
Pour reste chez B&W, la 805 Signature m'a toujours semblée plus compliquée a marier qu'une JM Lab Micro Utopia. En effet, la seconde coupant tres net dans le grave, le mariage avec un sub est facilité.

Apres, pour ce qui est des fréquences, j'avais entendu parlé (sur le forum... mais je ne sais plus par qui) de la regle des 50.000 qui m'avait semblée tout a fait pertinente (et qui correspond a ce que vous evoquez, Haskil et toi).
-> le produit des extremes de la bande passante d'une enceinte doit faire grosso modo 50.000.
En gros, plus on monte, plus il faut etre capable de descendre...
guest
 
Messages: 23465
Inscription Forum: 15 Fév 2001 2:00
  • offline

Message » 22 Aoû 2005 20:00

loloboy a écrit:Bonjour Philippe,
heureux de te revoir parmis nous...


+1 également. :D

La configuration dans mon profil


Alain
Brigitte Lahaie fan's club
Avatar de l’utilisateur
Winchestermann
Membre HCFR
Membre HCFR
 
Messages: 13091
Inscription Forum: 27 Mar 2002 2:00
Localisation: Juste derrière Brigitte Lahaie
  • offline

Message » 22 Aoû 2005 20:21

A quoi correspond cette règle des 50 000 ?

Je connais celle des 400 000 (qui fit la fortune des studios Barclay et permit de faire des 45 tours 4 titres).

Tout dépend des satellites. Une configuration stéréo avec des M1 et un sub PV1 placé au pied d'un des satellites se comporte très bien avec une coupure à 120Hz.

Pour cela, on peut comparer avec une colonne pour savoir si la fusion est réussie et puis on améliore.
Philippe Muller
Professionnel
Professionnel
 
Messages: 4405
Inscription Forum: 14 Déc 2003 22:20
  • offline

Message » 22 Aoû 2005 20:38

Philippe Muller a écrit:A quoi correspond cette règle des 50 000 ?

Je connais celle des 400 000.

:oops:
guest
 
Messages: 23465
Inscription Forum: 15 Fév 2001 2:00
  • offline

Message » 23 Aoû 2005 9:46

haskil a écrit:Objectivement, il y avait plus de grave et un grave propre, cependant le grave "allait plus vite" était plus dynamique que le reste du spectre, comme si les deux enceintes n'allaient pas à la même vitesse.


C'est ce meme sentiment que j'ai eu en ecoutant le DD avec mes anciennes enceintes.
Avec les nouvelles, cette impression a disparu :P

A+
shacard
 
Messages: 5335
Inscription Forum: 16 Oct 2000 2:00
Localisation: limousin
  • offline

Message » 23 Aoû 2005 9:53

loloboy a écrit:Pour reste chez B&W, la 805 Signature m'a toujours semblée plus compliquée a marier qu'une JM Lab Micro Utopia. En effet, la seconde coupant tres net dans le grave, le mariage avec un sub est facilité.


Et pour les avoir ecoutees, je pense que c'est toujours le cas avec la 805s et les micro Be.

le produit des extremes de la bande passante d'une enceinte doit faire grosso modo 50.000.


Alors 15*40000=600000 :o :mdr:

A+
shacard
 
Messages: 5335
Inscription Forum: 16 Oct 2000 2:00
Localisation: limousin
  • offline

Message » 30 Sep 2005 15:58

Voilà, ce thread va nous permettre de reprendre le cours de nos passions envers cette marque fabuleuse qu'est B&W. Je me permet de réinstaller mon premier C/R suite à une écoute sur des 802D & Classé Audio.
Je souhaite aussi qu'un partage fondée sur l'écoute puisse prendre forme comme elle l'était en août.

Voilà je me lance.
Le mieux c'est que je fasse une petite liste des CDs qui ont servi à la démonstration suivi d'un petit commentaire (ce qui va être très difficile vu l'énorme potentiel émotionnel de cette configuration).
Pour ce test, je n'ai pas hésité à débrancher mes câbles qui, pour rappel sont 4 pour du bi câblage, des Analisys crystal oval 8 plus. Et aussi les câbles de connexion XLR de la même marque. La pièce d'écoute avait un format de +- 6m sur 7m. Évidemment remplie d'autre enceinte de test de type JMLab utopia, electra, Nautilus 800D, 803D, 803S... etc.
Étant donné que j'ai par le passé acheté dans ce même magasin mes B&W 803 ainsi que le CDP10, CAP151 et l'ensemble des câbles. Les gérants me laisseront, ainsi que mon meilleur ami, tranquille durant plus de 2h30 de test. Ce qui me permettra après une heure d'écoute de brancher des Nautilus 803D (toute nouvelle dans la gamme). Je précise aussi que je suis à l'écoute de la marque B&W depuis plus de 24 ans et mon ami depuis 22 ans. J'insiste sur ce point car malgré autant d'années d'écoute nous ne pensions pas pouvoir être aussi déstabilisés après ces plus de 2h d'écoute à tous les volumes audibles. La première approche est visuelle et sur ce point le matérielle Classé et les nautilus sont superbe. La finition aussi est exemplaire.
Étant fort intéressé par l’art et l’architecture ainsi que la photographie il est difficile pour moi de ne pas faire de lien sur ce point. Je pense que le matérielle Classé à été pris en photo dans le musée Guggenheim pour leur catalogue, ce qui confirme l’approche totalement artistique des concepteurs. L’art rejoint l’art. Mais par définition ça ne suffit pas et ce qui m’importe avant tout c’est LE son. Et alors là les premières minutes d’écoute vous scotchent dans votre fauteuil… (De préférence un « Le Corbusier »). Ce qui est vraiment difficile à ce moment précis c’est qu’il faudra encore attendre plus d’une demi-heure pour que l’ampli CA2200 soit à bonne température. Mais déjà le son produit nous prépare à une expérience inédite.
Nous décidons de faire chauffer le matos avec du son « facile » et le premier CD avalé par le lecteur CDP100 sera l’avant-dernier Michel Jonasz « où vont les rêves », titre de circonstance.
Quand je dis facile, cela veut dire un CD qui est très très bien enregistré et avec quelques instruments de type Jazz et une voix. Ce qui est tout à fait le cas pour celui-ci.
Dès le CD introduis nous sommes déjà surpris par le raffinement des timbres et ceci à froid.
Une plage qui passe de l’aigu au grave sans aucune agressivité. Quand je dis « aucune » c’est vraiment aucune. Et la surprise va en grandissant, au fur et à mesure de l’écoute et que le matos chauffe, le grave devient encore plus détaillé et plus profond ( je suis encore toujours surpris quand je lis que ce type d’installation retranscris un son froid et chirurgicale, mais soit). Nous remettrons ce CD plus tard après plus d’une heure d’écoute. Le deuxième CD nous donnera un fond sonore, le temps pour la période de chauffe, d’inspecter sous toutes les coutures la finition des enceintes et de l’électronique. C’est un CD de musique ethnique. D’origine Japonnaise. Une flûte joué par Teruhisa Fukuda de l’école Kinko. En fait nous sommes sûr que le musicien était dans la pièce avec nous. Le réalisme de l’instrument ainsi que tous les sons produit par le musicien nous touchais par leurs authenticités. Un mots… MAGIQUE. Tous les détailles sont là mais sans excès, sans exagérations. Cela fait plus de 20 minutes que nous écoutons, on se regarde et ont essaye de comprendre ce qui nous arrive. En fait nous sommes envahi d’une émotion que l’on retrouve face à une toile de maître comme Vermeer. Détail, dans les lumières, dans les ambiances mais surtout sans excès. Excès qui amènerais à de l’hyperréalisme, donc à une perte de réalité.
Revenons à nos moutons, maintenant il est plus que temps de voir ou plutôt d’entendre ce que cette configuration à dans le ventre et surtout si le bloc de puissance de 2 X 200 w suffit aux Nautilus 802d. Et se seras après cette période de chauffe que nous constaterons que ce bloc suffira largement à l’alimentation des enceintes MAIS en bi câblage. Le passage du préamplis CAP500 au bloc de puissance ce feras de préférence en XLR. Gain sur les attaques et encore plus de précision dans le grave.
Les écoutes suivantes passeront par des grands amis de Peter Gabriel, Youssou N’dour avec « The guide », Manu Dibango « wakafrika ». Suivi de George Benson « Standing together ». Pourquoi ce choix ? Parce que les 3 enregistrements sont de très bonne qualité mais surtout « pêche » bien. Des attaques sonores qui peuvent sur une installation plus traditionnelle devenir très vite agressive et donc lassante.
Aux niveaux des sensations ont s’emballent comme des gosses de 8 ans. L’émotion est vraiment au rendez vous.
Nous passons à des écoutes plus sérieuses mais surtout plus difficile à reproduire, des orchestres symphoniques.
Notre choix se porte sur un Stabat Mater de Dvorak en Deutsche Grammophon, SUPERBE et LUMINEUX. Nous nous rendons vite compte que nous vivons une renaissance auditive. À ce stade, il est très difficile pour moi de trouver les mots justes pour retranscrire toutes ses sensations. Car en plus il y a un effet physique du au niveau de volume que nous voulons proche d’une salle de concert.
Puis on écoute une de mes cinq versions du Requiem de Mozart, ma préférée. Il n’y a plus de mots pour décrire l’intensité de l’émotion qui nous envahi. Puis nous voilà avec Vivaldi « Andromeda liberata » et de nouveau Mozart avec « Bella vita militar ». Après plusieurs minutes nous décidons de soufflé un peu et nous écoutons Lisa Ekdahl « Earth and beyond ». Il y a sur ce disque un très bon et beau duo avec Henri Sinvite45. Nous passerons aussi par Norah Jones ainsi que Joshua Redman. Mais la très bonne surprise de ce test sera l’écoute de Miles Davis avec « Nefertiti » et « Tutu ». Je m’explique. Cela fait plusieurs années que je possède quelques CD de Miles mais cela ne fait pas plusieurs années que je comprends Miles. En fait le meilleur moyen de décoder les extravagances musicales de ce musicien est d’être au plus proche de la création du son voulu par son concepteur et c’est là que cette configuration déboussole. Car après plus d’une heure d’écoute nous ne parlons plus, ni de B&W, ni de Classé. Nous parlons de musique, de création, de conception, d’écriture musicale. Et là je pense que le but est atteint. L’installation doit se faire oublier pour laisser place à LA musique. Et pourtant, face à du matos comme ça c’est plutôt difficile. Que se soit par l’esthétique ou par le prix. Enfin soit.
Nous ferons encore quelques écoutes, mais la réalité nous rejoins, nous ne somme pas chez nous et devons déjà remercier les gérants pour leurs patiences et leurs gentillesses.
Maintenant je vous conseille vivement, même si vos moyens sont différents, d’aller écouter cette configuration de rêve qui toute proportion gardée ne coûte pas si chère en rapport à la concurrence. Mais aussi et surtout à l’émotion qu’elle peux engendrée.
Voici quelques conseilles pour une bonne démo sur cette config : ne pas oublier la connectique qui reste hélas souvent le point faible même dans le haut de gamme. Laisser le temps à l’ampli de chauffer à bonne température et aussi ne pas hésité à prendre des Cds que l’on croit mal enregistré parce que vous pourriez avoir de très bonne surprise.
Bonne écoute et que la musique soit avec vous.
Frédéric.
PS : Ha oui aussi, faite moi plaisir, parlé de haute fidélité mais qu’à la condition d’avoir fait une démarche d’écoute objective en tant que passionné de musique et pas seulement de matos.

Ce C/R a été écrit le soir même de l'écoute, entretemps j'ai pu faire l'acquisition d'une configuration quasi semblable qui est maintenant en période de rôdage.
Bonne lecture.
Frédéric.
fredfish
 
Messages: 4025
Inscription Forum: 04 Sep 2005 15:27
  • offline

Message » 30 Sep 2005 17:25

Je sais que tu aimes rendre hommage à cette fabuleuse série, il n'empêche que l'appellation
Nautilus ne concerne que le coquillage et la précédente gamme 800. L'actuelle série 800
n'est plus concernée.

Merci en tout cas pour cet excellent CR. :wink:

A +
Avatar de l’utilisateur
Mathieu M.
Membre d'Honneur
Membre d'Honneur
 
Messages: 9810
Inscription Forum: 25 Juil 2000 2:00
Localisation: FRANCE Dept 91
  • offline

Message » 30 Sep 2005 19:37

Mathieu M. a écrit:Je sais que tu aimes rendre hommage à cette fabuleuse série, il n'empêche que l'appellation
Nautilus ne concerne que le coquillage et la précédente gamme 800. L'actuelle série 800
n'est plus concernée.

Merci en tout cas pour cet excellent CR. :wink:

A +


Tu a entièrement raison et merci pour ce correctif. :D
fredfish
 
Messages: 4025
Inscription Forum: 04 Sep 2005 15:27
  • offline

Message » 30 Sep 2005 19:55

Mathieu M. a écrit:Je sais que tu aimes rendre hommage à cette fabuleuse série, il n'empêche que l'appellation
Nautilus ne concerne que le coquillage et la précédente gamme 800. L'actuelle série 800
n'est plus concernée.

Merci en tout cas pour cet excellent CR. :wink:

A +


Pourtant certaine revue de presse comme" la haute fidélite" l'appelle encore b&w nautilus.
Le titre sur la page de garde est : "exlusif B&W nautilus 800 D" :idee:
ghost on live
 
Messages: 1753
Inscription Forum: 15 Fév 2005 16:56
  • offline

Message » 30 Sep 2005 20:00

Je pense que ce n'est pas grave car nous savons tous de quel type d'enceinte nous parlons. A nous de mettre S ou D derrière le chiffre et hop le tour est joué.
Maintenant quand de mon coté je dit Nautilus c'est toujours pour décrire le changement majeur lié au coquillage. Tous découle de cet enceinte. Mais c'est vrais que l'amalgame existe et qu'il faut etre dans le mouvement. :D
fredfish
 
Messages: 4025
Inscription Forum: 04 Sep 2005 15:27
  • offline

Message » 01 Oct 2005 23:39

ghost on live a écrit:
Mathieu M. a écrit:Je sais que tu aimes rendre hommage à cette fabuleuse série, il n'empêche que l'appellation
Nautilus ne concerne que le coquillage et la précédente gamme 800. L'actuelle série 800
n'est plus concernée.

Merci en tout cas pour cet excellent CR. :wink:

A +


Pourtant certaine revue de presse comme" la haute fidélite" l'appelle encore b&w nautilus.
Le titre sur la page de garde est : "exlusif B&W nautilus 800 D" :idee:


Cette revue est coutumière du fait, et multiplie les coquilles...
Celles-ci n'en est qu'une parmi tant d'autres...qu'ils ont renouvelée depuis. :roll:
"Nautilus", c'est bel et bien fini, et d'ailleurs cette terminaison n'apparait nulle part sur la brochure de la nouvelle gamme.

A +
Dernière édition par Mathieu M. le 02 Oct 2005 15:18, édité 1 fois.
Avatar de l’utilisateur
Mathieu M.
Membre d'Honneur
Membre d'Honneur
 
Messages: 9810
Inscription Forum: 25 Juil 2000 2:00
Localisation: FRANCE Dept 91
  • offline


Retourner vers Enceintes

 
  • Articles en relation
    Dernier message