Jersey Affair 2018 (Beast) de Michael Pearce
La jaquette du film promettait un thriller bien ficelé & original pour un 1er film et dans le registre film policier c'est un classique d'accroche
Je me suis donc laissé tenter et je ne regrette pas
Le film navigue intelligemment entre plusieurs registres : Policier, ambiance limite fantastique, manipulation mentale, etc
souvent cela peut donner des films bourrés de clichés et saupoudrés de twists & Jumpscare
Ici, énormément de subtilité & d'ambiguité dans tous les personnages du film pour faire surgir "The Beast" la bête humaine dans chacun d'entre nous
Une interprétation parfaite de l'actrice principale Jessie Buckley
avec une mise en scène, photographie & montage de qualité !
Si vous avez aimé l'ambiance de Lost Highway de David Lynch, vous devriez aimer ce film
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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...
Si on convoque David Lynch, je me laisserai bien tenter...
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"Je déteste deux choses: l'analyse et le pouvoir" - Sviatoslav Richter.
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autrichon gris - Modérateur Œuvres & Multimédia
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Red Riding 1974 (2010) de Julian Jarrold vu sur Polar+
Une trilogie de polars britanniques explorant la décennie 1970-1980, la misère sociale, le conflit de l'Irlande du Nord, le racisme, en toile de fond...
Dans le 1er volet, Red Riding 1974, Andrew Gardfield joue un journaliste revenant dans son Yorkshire natal pour couvrir un fait divers & qui va découvrir la corruption généralisée des notables, police locale, etc
L'intrigue importe peu puisqu'on devine assez facilement la trame de l'histoire & des protagonistes
En revanche, le réalisateur filme le retour du journaliste prodigue comme une descente aux enfers, un cauchemar superbement filmé
c'était à l'origine un téléfilm qui est sorti directement en film : à juste titre vu le travail sur la photo, le montage et la bonne qualité d'interprétation du casting
Un mélange détonnant de Ken Loach pour la violence sociale sans concession (Peter Mullan fait une brève apparition) et de Peter Greenaway pour la beauté plastique surréaliste & parfois malaisante
A voir si vous avez le moral cependant
Une trilogie de polars britanniques explorant la décennie 1970-1980, la misère sociale, le conflit de l'Irlande du Nord, le racisme, en toile de fond...
Dans le 1er volet, Red Riding 1974, Andrew Gardfield joue un journaliste revenant dans son Yorkshire natal pour couvrir un fait divers & qui va découvrir la corruption généralisée des notables, police locale, etc
L'intrigue importe peu puisqu'on devine assez facilement la trame de l'histoire & des protagonistes
En revanche, le réalisateur filme le retour du journaliste prodigue comme une descente aux enfers, un cauchemar superbement filmé
c'était à l'origine un téléfilm qui est sorti directement en film : à juste titre vu le travail sur la photo, le montage et la bonne qualité d'interprétation du casting
Un mélange détonnant de Ken Loach pour la violence sociale sans concession (Peter Mullan fait une brève apparition) et de Peter Greenaway pour la beauté plastique surréaliste & parfois malaisante
A voir si vous avez le moral cependant
- menthalo
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Mademoiselle (2016) de Park Chan-Wook
J'avais bien aimé Old Boy de ce réalisateur coréen et je me suis laissé tenté par ce film de 2016 que j'avais totalement raté à sa sortie
le film de déroule en 3 parties, et la 1ère partie ressemble en quelque sorte avec 3-4 ans d'avance au film coréen Parasites Palme d'or 2019
Dans la Corée occupée par le Japon des années 1930? des arnaqueurs infiltrent une riche maisonnée pour récolter à termes beaucoup d'argent...
Mais Park Chan-Wook est un brillant metteur en scène et l'esthétisme de chaque plan et la fluidité des mouvements de caméra laissent présager un autre registre de film que la farce noire Parasites
Et effectivement, on embarque assez rapidement vers un thriller psychologique extrêmement subtil & original dans la narration croisée, les sujets & situations décalées, sulfureuses & manipulatrices...(interdiction au moins de 12 ans bien compréhensible !)
Les deux actrices principales sont parfaites dans leur rôle respectif !!
Brillant en tous points ! A voir
J'avais bien aimé Old Boy de ce réalisateur coréen et je me suis laissé tenté par ce film de 2016 que j'avais totalement raté à sa sortie
le film de déroule en 3 parties, et la 1ère partie ressemble en quelque sorte avec 3-4 ans d'avance au film coréen Parasites Palme d'or 2019
Dans la Corée occupée par le Japon des années 1930? des arnaqueurs infiltrent une riche maisonnée pour récolter à termes beaucoup d'argent...
Mais Park Chan-Wook est un brillant metteur en scène et l'esthétisme de chaque plan et la fluidité des mouvements de caméra laissent présager un autre registre de film que la farce noire Parasites
Et effectivement, on embarque assez rapidement vers un thriller psychologique extrêmement subtil & original dans la narration croisée, les sujets & situations décalées, sulfureuses & manipulatrices...(interdiction au moins de 12 ans bien compréhensible !)
Les deux actrices principales sont parfaites dans leur rôle respectif !!
Brillant en tous points ! A voir
- menthalo
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Redoutable ce film Autrichon, si tu ne l'as pas vu, bah il ne faut pas le voir
Moins tu as de moyens, plus tu as de chances de réussir un bon film horrifique
Je n'ai pas regardé jusqu'à la fin, je me suis juste dit, il est bon malheureusement... seulement pourquoi te faire du mal, je vais zapper sur un bon nanard style aquaman sur une autre chaine, au moins eux n'ont pas du voir de flotte pendant le tournage, il ne troublera pas ma nuit de sommeil, je reste sur la terre ferme
- Kishizo42
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Un film bien connu des plongeurs...
Si on se croise un jour, j'ai des tas d'anecdotes de plongeurs égarés à la remontée, généralement emportés par des courants forts les faisant émerger bien au dela de la zone ou les bateaux les attendent.
Ca m'est même arrivé, sans trop de conséquences, un zodiac a fini par nous retrouver après 1/2 heure environ, le record dont j'ai entendu parler (en Mer Rouge / Egypte) est d'environ 24h de dérive !!
Si on se croise un jour, j'ai des tas d'anecdotes de plongeurs égarés à la remontée, généralement emportés par des courants forts les faisant émerger bien au dela de la zone ou les bateaux les attendent.
Ca m'est même arrivé, sans trop de conséquences, un zodiac a fini par nous retrouver après 1/2 heure environ, le record dont j'ai entendu parler (en Mer Rouge / Egypte) est d'environ 24h de dérive !!
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autrichon gris - Modérateur Œuvres & Multimédia
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- Localisation: Strasbourg
Etonnant moi qui ne suis pas plongeur, ce risque ne m'étais jamais venu à l'esprit sauf suite à la vision du film et je me disais que cela devait être très rare et plutôt suite à de grosses négligences des organisateurs. Pas pensé aux courants... au moins quelqu'un part à ta recherche, mais cela doit être assez angoissant quand le temps commence à passer.
Ah par contre suite au grand bleu j'ai fait pas mal d'apnée, j'aimais bien me coucher au fond de la piscine, Adjani n'est jamais venue me rejoindre
Et moi si l'on se rencontre, je viens avec en petit cadeau le bluray de Tabou de Murnau
Personne ne doit s'aventurer à plonger dans la zone interdite, ceux s'y hasardant n'en reviennent jamais
Ah par contre suite au grand bleu j'ai fait pas mal d'apnée, j'aimais bien me coucher au fond de la piscine, Adjani n'est jamais venue me rejoindre
Et moi si l'on se rencontre, je viens avec en petit cadeau le bluray de Tabou de Murnau
Personne ne doit s'aventurer à plonger dans la zone interdite, ceux s'y hasardant n'en reviennent jamais
- Kishizo42
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Eté 85 de François Ozon
Chronique sensible d'un amour adolescent (homosexuel, mais ce n'est finalement le thème principal du film) soudain, absolu et comme tout à cet âge-là en mode "hyper Sensible"
Les 2 rôles principaux sont très correctement interprétés (les rôles secondaires beaucoup moins ), mais le film est sans plus cinématographiquement et c'est décevant de la part de François Ozon que j'avais connu plus inventif comme réalisateur
Ici, c'est du niveau d'un téléfilm "de base" en termes de montage, photographie, prise de son...
Assez oubliable comme film au final...
Chronique sensible d'un amour adolescent (homosexuel, mais ce n'est finalement le thème principal du film) soudain, absolu et comme tout à cet âge-là en mode "hyper Sensible"
Les 2 rôles principaux sont très correctement interprétés (les rôles secondaires beaucoup moins ), mais le film est sans plus cinématographiquement et c'est décevant de la part de François Ozon que j'avais connu plus inventif comme réalisateur
Ici, c'est du niveau d'un téléfilm "de base" en termes de montage, photographie, prise de son...
Assez oubliable comme film au final...
- menthalo
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- Inscription Forum: 25 Aoû 2002 18:18
La 317ème section (1965) de P.Schoenderffer
Revu sur ARTE après bien longtemps ce qui m'a permis de mieux apprécier ce "film de guerre" qui a fait date, car ce ne n'en est pas "un" au final
Schoenderffer en effet reporter de guerre durant le conflit d'Indochine, nous livre un quasi documentaire à hauteur d'homme sur le repli d'une section dans les derniers jours de la Guerre en mai 1954.
Le film se regarde autant qu'il s'écoute .
Aucun silence durant ces 2 heures, mais majoritairement des dialogues "techniques" de combat, survie, "négociations" avec les habitants & les soldats "indigènes"
dialogues ponctués par les réflexions & "états d'âme" de l'officier Jacques Perrin et du sous-officier Bruno Cremer aux parcours de vie et caractères bien différents...parfaitement interprété par ces 2 acteurs
Un extrait
C'est clairement une oeuvre sur la guerre singulière & atypique dans le registre du "film de guerre", une oeuvre qui a conservé intact toute sa puissance & sa portée sur le comportement humain en tant de conflits !
A voir
Revu sur ARTE après bien longtemps ce qui m'a permis de mieux apprécier ce "film de guerre" qui a fait date, car ce ne n'en est pas "un" au final
Schoenderffer en effet reporter de guerre durant le conflit d'Indochine, nous livre un quasi documentaire à hauteur d'homme sur le repli d'une section dans les derniers jours de la Guerre en mai 1954.
Le film se regarde autant qu'il s'écoute .
Aucun silence durant ces 2 heures, mais majoritairement des dialogues "techniques" de combat, survie, "négociations" avec les habitants & les soldats "indigènes"
dialogues ponctués par les réflexions & "états d'âme" de l'officier Jacques Perrin et du sous-officier Bruno Cremer aux parcours de vie et caractères bien différents...parfaitement interprété par ces 2 acteurs
Un extrait
C'est clairement une oeuvre sur la guerre singulière & atypique dans le registre du "film de guerre", une oeuvre qui a conservé intact toute sa puissance & sa portée sur le comportement humain en tant de conflits !
A voir
- menthalo
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Les flics ne dorment pas la nuit (1972) de Richard Fleisher
Un film dont j'avais souvent entendu parlé comme une des toutes 1ères oeuvres du cinéma réaliste américain du début des années 1970 débutant l'ère du "nouvel Hollywood"
Cinéaste aguerri, Richard Fleisher livre une chronique sociale d'un commissariat de police de Los Angeles et non "un film policier"
Le film est en effet l'adaptation d'un récit de chroniques d'un ancien policier et on y devine les germes des futures déchirures sociétales des USA d'aujourd'hui !
Interprétation solides des premiers et seconds rôles
Un classique du cinéma US à voir !
Un film dont j'avais souvent entendu parlé comme une des toutes 1ères oeuvres du cinéma réaliste américain du début des années 1970 débutant l'ère du "nouvel Hollywood"
Cinéaste aguerri, Richard Fleisher livre une chronique sociale d'un commissariat de police de Los Angeles et non "un film policier"
- La routine et parfois l'excitation des patrouilles de nuit
la misère sociale
le racisme envers les afro-américains
...
Le film est en effet l'adaptation d'un récit de chroniques d'un ancien policier et on y devine les germes des futures déchirures sociétales des USA d'aujourd'hui !
Interprétation solides des premiers et seconds rôles
Un classique du cinéma US à voir !
- menthalo
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Ah oui il est très bon ce film
Le mal-être que j'ai ressenti quand on débarque chez la mère k-sos dans la première partie
Le mal-être que j'ai ressenti quand on débarque chez la mère k-sos dans la première partie
- Gurthang
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- Inscription Forum: 18 Sep 2018 12:13
Mon Fleischer préféré, d'assez loin, et au-delà de ça un excellent drame socio-policier globalement parlant. Je n'en attendais pas autant, j'ai été ravi.
- tenia54
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- Inscription Forum: 22 Nov 2010 22:40
Lands of murders (2019) de Christian Alvart
Film policier allemand remake d'un film espagnol LA ISLA MINIMA de 2014
Un polar noir classique avec 2 flics opposés qui doivent faire équipe pour résoudre une série de disparition de jeunes femmes dans la toute jeune Allemagne réunifiée de 1990-1991.
Un flic Ouest-Allemand et un flic Est-Allemand ancien de la STASI doivent faire équipe au sein d'une région d'ex Allemagne de l'Est en pleine récession économique, misère sociale en plus...
On est dans un registre du POLAR bien noir dans une ambiance poisseuse ou l'intrigue est assez secondaire par rapport aux traitement de cette période charnière de la fusion RFA-RDA
Film honnête très correctement interprété mais comme un sentiment de déjà vu...
Film policier allemand remake d'un film espagnol LA ISLA MINIMA de 2014
Un polar noir classique avec 2 flics opposés qui doivent faire équipe pour résoudre une série de disparition de jeunes femmes dans la toute jeune Allemagne réunifiée de 1990-1991.
Un flic Ouest-Allemand et un flic Est-Allemand ancien de la STASI doivent faire équipe au sein d'une région d'ex Allemagne de l'Est en pleine récession économique, misère sociale en plus...
On est dans un registre du POLAR bien noir dans une ambiance poisseuse ou l'intrigue est assez secondaire par rapport aux traitement de cette période charnière de la fusion RFA-RDA
Film honnête très correctement interprété mais comme un sentiment de déjà vu...
- menthalo
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INVISIBLE MAN de Leigh Whannell (2021)
Je n'avais pas pas vu la BA ni lu d'info sur le synopsis mais entendu plutôt de bonnes critiques, j'ai donc emprunté le film à la médiathèque car j'apprécie en général le jeu d'actrice d'Elisabeth MOSS
J'ai eu raison , le film repose entièrement sur ces épaules !!
, est-ce dans la tête ? est-ce de la paranoïa ? Je n'en dirais pas plus pour éviter de divulgâcher l'intrigue
Elisabeth MOSS est vraiment parfaite dans ce film, le reste du casting est correct
La réalisation de Leigh Whannell lorgne vers des films d'angoisse / suspens à la Hitchcock, et c'est plutôt une bonne référence
Le film prend son temps d'installer des ambiances, donc amateurs de jumps-scare toutes les 30 secondes, ce film n'est pas fait pour vous
Un film plaisant, idéal à regarder en soirée pour bénéficier du travail sur l'ambiance sonore !
Je n'avais pas pas vu la BA ni lu d'info sur le synopsis mais entendu plutôt de bonnes critiques, j'ai donc emprunté le film à la médiathèque car j'apprécie en général le jeu d'actrice d'Elisabeth MOSS
J'ai eu raison , le film repose entièrement sur ces épaules !!
, est-ce dans la tête ? est-ce de la paranoïa ? Je n'en dirais pas plus pour éviter de divulgâcher l'intrigue
Elisabeth MOSS est vraiment parfaite dans ce film, le reste du casting est correct
La réalisation de Leigh Whannell lorgne vers des films d'angoisse / suspens à la Hitchcock, et c'est plutôt une bonne référence
Le film prend son temps d'installer des ambiances, donc amateurs de jumps-scare toutes les 30 secondes, ce film n'est pas fait pour vous
Un film plaisant, idéal à regarder en soirée pour bénéficier du travail sur l'ambiance sonore !
- menthalo
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PHANTOM THREAD (2017) de Paul Thomas Anderson
Vu sur ARTE dimanche soir.
J'avais hésité à le voir à l'époque au ciné car je n'avais pas été franchement emballé par THE MASTER (2012) malgré les bonnes critiques de l'époque
Ici, j'ai vraiment accroché du début jusqu'à l'ultime fin à ce film d'amour étonnant :o , mystérieux, manipulateur et formidablement joué par le couple formé la D. D Lewis & Vicky Krieps
Un bel hommage en quelque sorte aux mélodrames américains technicolor des années 1950 ainsi qu'au films d'Hitchcock de la même époque mais avec une réelle originalité dans la relation de couple très atypique
et le plaisir de la reconstitution d'une maison de grande couture d'époque
Une mise en scène superbement travaillée dans le choix des plans, mouvements de caméras, profondeur de champs,
c'est maintenant mon film favori de ce réalisateur !
Vu sur ARTE dimanche soir.
J'avais hésité à le voir à l'époque au ciné car je n'avais pas été franchement emballé par THE MASTER (2012) malgré les bonnes critiques de l'époque
Ici, j'ai vraiment accroché du début jusqu'à l'ultime fin à ce film d'amour étonnant :o , mystérieux, manipulateur et formidablement joué par le couple formé la D. D Lewis & Vicky Krieps
Un bel hommage en quelque sorte aux mélodrames américains technicolor des années 1950 ainsi qu'au films d'Hitchcock de la même époque mais avec une réelle originalité dans la relation de couple très atypique
et le plaisir de la reconstitution d'une maison de grande couture d'époque
Une mise en scène superbement travaillée dans le choix des plans, mouvements de caméras, profondeur de champs,
c'est maintenant mon film favori de ce réalisateur !
- menthalo
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