• Provenance : France
• Éditeur : Paramount Pictures
• Date de sortie : 05 décembre 2017
• Format vidéo : 3840x2160 / 24p - HDR DV / BT.2020 - YCbCr 4:2:0 / 12 bit - Encodage HEVC - Format 2.40 - 2K DI
• Luminance HDR : De 0.005 à 4000 nits
• Pistes sonores : Anglais Dolby Atmos (Dolby TrueHD 7.1), Français Dolby Digital 5.1, Anglais Audiodescription
• Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants
Qualité vidéo : Un transfert UHD de référence à la vitalité exceptionnelle et à la clarté surprenante (les petits objets au loin n'auront jamais été aussi nets). Dans les faits, la définition est délirante (plus complexe et raffinée qu'en 1080p), le piqué délivre une précision redoutable (des textures plus visibles qu'en HD comme les dégâts sur les robots ou les pores sur le visage des humains), il y a des détails à foison de partout (qui sont forcément plus distincts en 2160p), la palette colorimétrique est pointue et affiche de fantastiques teintes chaudes hyper-saturées, les contrastes impressionnent durablement, les noirs aussi profonds que précis sont d'une solidité à toute épreuve, et le tout bénéficie parfois d'un léger grain argentique. Une expérience visuelle tout simplement énorme !
Qualité audio : Que ce soit avec la VO Dolby Atmos (avec une scène aérienne qui diffuse fréquemment ses effets dont des mini drones, des rotors d'hélicoptères, des jets militaires ou aliens, la voix ou les déplacements des Transformers, une chute d'eau, des débris, divers objets en métal, des sons pyrotechniques et j'en passe) ou la petite VF Dolby Digital 5.1 (quand même moins ample et plus brouillonne), le résultat casse la baraque. Le mixage est équilibré et nuancé, la dynamique saccage tout sur son passage, la reproduction des dialogues est forte, la spatialisation est d'une incroyable précision, la scène frontale est en effervescence permanente, l'utilisation des surrounds est excitante, les effets subtils ou chaotiques font sensation, les ambiances sont d'un naturel désarmant, la musique est parfaitement espacée et les basses sont démentielles. Une expérience sonore épique !
Apport HDR : Les couleurs ont beaucoup plus de punch (l'orange-rouge des feux/incendies, le bleu du ciel, le vert ou rouge des lasers, le jaune de Bumblebee, le rouge cerise de Stinger) et magnifient la déjà somptueuse photographie concoctée par Amir Mokri, les blancs sont plus persuasifs, les scènes sont toutes nettement plus contrastées avec une luminosité autrement plus radieuse, les sources lumineuses sont bien plus éclatantes (les reflets sur les parties métalliques, les phares) et les séquences peu éclairées profitent d'ombres plus nuancées. Lors de nombreux passages, si l'écran était une fenêtre, alors l'image de "L'âge de l’extinction" serait le paysage !