Le vinyl en symbiose avec le numerique ?

[Emile]

Ok

Je recolle un vieux post : http://www.homecinema-fr.com/forum/view ... #168589226

On oublie souvent que le vinyl est numérisé juste avant gravure ...

http://ccrma.stanford.edu/courses/192b/ ... s/7/7.html

"The actual process of cutting a record involves playing the tape through an equalizer into the cutting lathe. The lathe actually cuts grooves into the lacquer disc master. A digital delay or tape deck with a special preview head is used to delay the signal to the lathe, allowing some quick EQ or level changes as the tape is played back for cutting."

et ici § Cutting head : http://www.sickoftalk.com/whyvinyl.html

et J. Hiraga a daté le phénomène : depuis 1974 !!
... je te dis pas la résolution des convertos ADC ... ... de l'époque ...
bon heureusement on a juste besoin de 50-60dB ! grand max

On évite maintenant ... du moins sur les pressages dits "audiophiles"

Ceux faits, p. ex., par Steve Hoffman, chez RTI ou Acoustech.

On peut ajouter à cela que la majorité des enregistrements donnés pour pressage CD ou 33t sont sur DAT 24/48...

[dub]

N.B. Les platines Stanton ST150 et STR8.150 proposent à peu près le même produit.

Cdlt

[haskil]

Emile, sincèrement je pense qu'il faut nuancer ce propos.

Du temps du vynile triomphant, le signal analogique numérisé avant gravure n'était pas la règle

Plutôt que :


On oublie souvent que le vinyl est numérisé juste avant gravure ...


et plutôt que

et J. Hiraga a daté le phénomène : depuis 1974 !!


Je préfère les formules suivantes :

On oublie que certains vinyles étaient numérisés avant gravure et que ce phénomène a dû s'amplifier au cours des années 1980 avec la multiplication des bandes enregistrées en numériques...


et

Les microsillons Denon étaient enregistrés en numériques depuis 1972. Le premier enregistrement numérique publié par un autre éditeur ayant été en microsillon un concert du nouvel an capté à Vienne en 79 ou 80 et une Quatrième de Mahler la même année (Decca)


D'ailleurs pour revenir sur cette histoire de qualité des DAC de l'époque : je possède un Denon de 1972, le premier sans aucun doute enregistré par cette marque, un récital de Vlado Perlemuter enregistré à Tokyo, sous forme de LP et de CD.

La version CD a un bruit de quantification numérique audible qui me fait penser qu'il n'a pas été enregistré en 16 bits.

J'ai visité des usines de pressage où le processus de gravure était analogique de bout en bout et parmi les plus grandes : EMI, Philips... et ce de la fin des années 1970 au milieu des années 1980.


Alain

[Emile]

Emile, sincèrement je pense qu'il faut nuancer ce propos.

oui, bien sûr

On oublie souvent que le vinyl est numérisé juste avant gravure ...

J'entends par là le processus interne aux machines Neumann, p.ex.,
où un délai digital existait à l'insu, finalement, des utilisateurs.

Neumann proposait à l'époque plusieurs fonctionalités permettant d'améliorer la gravure :
en particulier, l'optimisation de la durée possible à graver, en jouant sur l'écart entre micro-sillon, en fonction de la dynamique.

Stan Ricker en parle ici : http://www.positive-feedback.com/Issue2/ricker2.htm

NB : Très intéressant sur le processus de fabrication de la matrice, en général, par un praticien
Cela commence ici : http://www.positive-feedback.com/Issue1/ricker1.htm

[dub]

je persiste à dire qu'un CD repiqué d'un vinyle n'aura jamais ni l'ampleur de la scene sonore et surtout pas sa dynamique... Repiqué un vinyle en cd ca compresse (beurk).

je sent ce sujet très passionant pas vous ?

cordlt

ps: je test demain avec un converto plus serieux , audiomat tango2

Au fait:

as-tu vérifié le format que sort la Numark? du 16/44,1? du 24/96?

Cdlt