» 10 Mar 2010 11:45
ça peut paraître surprenant, mais dans le cadre de mon travail j'avais une carte son qui valait dans les 3000 francs qui était uniquement numérique (la prodiff 32), et comme décodeur un DAT (digital audio tape) qui valait le triple. et encore ce n'était que stéréo. On pouvait donc sortir d'un ordinateur un bon son.
Cet ordinateur-studio avant d'être en panne a pu me faire découvrir matrix avec les sifflements des poils du nez de l'inspecteur smitch ou encore certains détails comme les sifflements de tubes cathodiques qu'ils ont pensé à inclure dans le film.
En effet, toutes les cartes son d'ordinateur transmettent du souffle ou des bruits de processeur et ce point m'avait fait oublier de lire des films ou travailler le son directement, du moins jusqu'à que par un curieux hasard, le moins cher et le moins puissant des ordinateurs (qui se trouve parfois neuf à moins de 100 euros) me donne une qualité de son en sortie analogique que je n'avait jamais vu, sauf avec du matériel très haut de gamme (curieseuement personne n'en parle alors que c'est exceptionel de ce coté là, mais qui y aurait pensé. on peut alors écouter correctement les enregistrements faits par ce qui remplace le DAT (enregistreurs sur carte SD). Pourtant la machine n'est pas spécialement blindée, il n'y a pas de fiche canon à 3 points alimentés en symétrique et on n'a pas du se casser la tête pour en faire une machine de studio. Il y a même un "défaut": la prise casque n'est pas puissante (c'est rarement suffisant pour un casque sauf des casque performants tel le portapro), c'est peut être une vraie sortie line... Un point qui est rare est qu'il n'y a pas de PWM pour l'écran, ou alors il est filtré. c'est surprenant. (les autres net book éclairent le rétroéclairage par impulsions). Mais de toute façon, les parasites carte son subistent bien souvent écran éteilnt.
Je rédécouvre du coup avec l'ordinateur qui semblait fait pour tout sauf pour ça mes DVD dans de meilleures conditions (cette fois en 24 images par seconde, chose que ne savait pas faire l'ordinateur sous windows NT) après avoir branché sur un ampli de chaine hifi. C'est très surprenant. les autres netbook qui ont suivi n'ont pas cette particularité (ils reproduisent les défauts sonores des ordinateurs en général)
Pour le 5.1 je ne suis pas convaincu. Le meilleur rendu semble être le codage en stéréo du 5.1 qui alors doit être ÉCOUTÉ AU CASQUE (Le principe est de calculer les retards de phase et de filtrer convenablements les canaux pour reconstituer l'information haut-bas avant arrière. Nos oreilles sont seulement stéréo et l'information haut-bas arrière-avant découle de retards de phase et de filtrages de certaines fréquences.
Le 5.1 dans une pièce ne rend pas si bien si cette pièce n'est pas un studio.
la différence que je vois sur les copies de blue ray, c'est le traitement des graves, il y a plus d'extrêmes basses et aussi plus de dynamique. et la différence de qualité de l'image se sent nettement même en ayant passé par une conversion au format DVD pour les voir. Cette différence de qualité justifierai de prendre un blue ray plutôt qu'un DVD (je me pose la question pour AVATAR que j'ai envie de m'offrir) même si il faut se faire soit même le DVD pour en voir la copie, en se disant que plus tard, il y aura peut être un ordinateur à bas prix qui le lira directement. Mais c'est du travail: ripper le blue ray (il faut encore avoir un lecteur!) et le convertir en DVD. ça va bien pour 2 ou 3 bon films par an. aller au cinéma reste plus simple.
au cinéma, ce qui me déçoit est le son. J'ai un meilleur son chez moi avec ma petite mherde d'ordi! (à aix les bain, les médiums étaient trop poussé, ça manquait d'extrêmes graves,, il n'y a pas du tout d'extrêmes aigus, rien au dessus de 12KHz et c'était si fort que j'ai du mettre mes protection auditive, une prothèse qui réduit toutes les fréquences de 25dB sans déformer, pour les musiciens)
à BELLEY, le son est carrément monophonique.
Bref, chez nous ça assure pour le son et pas encore pour l'image, au cinéma c'est l'inverse. Il faut donc voir le film au cinéma et l'écouter chez soi.