mesure du jitter d'un SU-6 qui utilise un ES9038Q2M de derniere génération utilisé en asynchrone USB
et en SPDIF le jitter arrive a la limite de l'audible (avec encore un peu de marge) avec une dégradation de 30db sur une source spdif stable et de qualité (audio précision)
certains dac toujours en ESS qui sont des delta sigma intégrant une reduction de jitter peuvent etre pire (pour rappel les filtres des ess sont en général accessibles en paramétrage utilisateur, mais pas souvent le circuit de réduction du jitter, il peut etre activé ou desactivé, voir accessible (ce qui est le cas du SU-6) selon les choix du constructeur), et plus on avance dans le temps moins les entrées numériques d'ancienne génération seront correctement soignées.
pour rappel mon propos n'a qu'un but, tenter d'expliquer que sur les modes de transports asynchrones (USB ou LAN) on reste dans le transport de donnée informatique (ce n'est pas encore un signal musical PCM) et que le système est étanche au bruit et/ou gigue et qu'il ne sert a rien de la soigner avec des dispositifs "audiophile ou autre" alors que sur les modes de transport numérique synchrone il faut faire plus attention a la qualité de la source. phénomene bien connue des studios qui quand le PCM était encore très répandu entre les différents appareils (AD/DSP/FINALIZER de BROADCAST/DA etc..) utilisait des entrées wordclock afin de s'abroger de la chaine de boucle PLL de chaque maillon et qui "imposait" une horloge unique de référence de la source au dac final.