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Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...

► CRITIQUES des derniers films vus

Message » 02 Jan 2013 15:03

Vu Le Hobbit : un voyage inattendu de Peter Jackson au cinéma en VO, 2D et pas HCFR bidule

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Résumé : Bilbon Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers…

Voir The Hobbit après la trilogie du Seigneur des Anneaux c’est aussi cruel que de lire les bouquins de Tolkien dans le même ordre. Bilbo est un conte pour enfants, gentillet, avec un humour parfois rabelaisien, quand le Seigneur des Anneaux est une épopée à grande échelle (individuelle, collective, politique…), d’une ambition tout autre. Bien sûr, les deux œuvres se complètent, se répondent et Peter Jackson l’illustre très bien dans l’ouverture du Hobbit. Le début est celui de son SdA, tout commence dans la Comté et les deux timeline ont le même point de départ. Les images font sens : on retrouve les mêmes acteurs, les mêmes musiques, la même ambiance d’avant la fête.

Comme dans les livres de Tolkien la mise en place est longue (plus jeune en lisant les descriptifs des hobbits et de l’herbe à pipe, je piaffais d’impatience que l’action démarre enfin). Jackson prend son temps, s’amuse d’un humour bon enfant avec sa troupe de nains (pas mal de bras cassés). L’ambiance est joyeuse, festive, avec un côté paillard et chanson à boire. Pas désagréable.

Mais plus le film passe, plus il souffre de la comparaison avec le SdA, si bien qu’on se demande pourquoi Jackson a choisi de faire d’un livre de 300 pages 3 films de près de 3 heures. Les scènes tirent en longueur pour pas grand-chose, même si les talents de conteur de Jackson font souvent mouche et qu’au final, on est content de retrouver sa vision de la Terre du Milieu. C’est un plaisir un peu personnel mais on ne pourra pas s’empêcher de comprendre ceux qui trouveront le temps (très) long quand le SdA multipliait les personnages, les conflits, les situations jusqu’à la nausée mais offrait une autre consistance et une autre ampleur à l’ensemble.

Cette première partie de Bilbo est fidèle à l’œuvre de Tolkien et capitalise, à raison, sur l’imagerie cinématographie que Jackson a créée (il sera à mon avis impossible de proposer une autre vision filmée de la Terre du Milieu) mais elle ressemble souvent à un petit SdA, une version Lego pour enfants avec ses nouveaux personnages un peu survolés et ses anciens qu’on convoque pour faire le job.

J’irai bien sûr voir la suite mais je n’ai qu’une hâte : que Jackson finisse cette nouvelle trilogie et qu’elle reprenne sa place naturelle avant le SdA, comme un joli préambule enfantin à une plus grande épopée.
sopor
 
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Message » 02 Jan 2013 16:25

Vu Rebelle de Mark Andrews et Brenda Chapman en blu-ray

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Résumé : Depuis la nuit des temps, au cœur des terres sauvages et mystérieuses des Highlands d’Ecosse, récits de batailles épiques et légendes mythiques se transmettent de génération en génération. Merida, l’impétueuse fille du roi Fergus et de la reine Elinor, a un problème… Elle est la seule fille au monde à ne pas vouloir devenir princesse ! Maniant l’arc comme personne, Merida refuse de se plier aux règles de la cour et défie une tradition millénaire sacrée aux yeux de tous et particulièrement de sa mère. Dans sa quête de liberté, Merida va involontairement voir se réaliser un vœu bien malheureux et précipiter le royaume dans le chaos. Sa détermination va lui être cruciale pour déjouer cette terrible malédiction.

Après avoir lu quelques critiques tièdes, je n’étais pas pressé à l’idée de voir le dernier né du studio Pixar, qu’on décrivait volontiers moins inspiré ou, pire, en perte totale de talent depuis son rachat par Disney. Ce rachat est d’ailleurs amusant car il a, aux yeux de certains, augmenté la qualité des productions Disney et baissé celle des productions Pixar. Merci John Lasseter d’avoir sauvé Disney et toutes mes insultes à Disney pour avoir ruiné Pixar. Quelque chose de ce genre…

Rebelle (très mauvais titre en comparaison du Brave original) a été conçu dans cette période trouble et sa gestation a été tout autant compliquée avec changement final de director. Pourtant, je n’ai jamais eu l’impression de voir un film bricolé ou rafistolé, passé des mains de l’une aux mains d’un autre. Un souffle court (celui du vent celte dans des cheveux roux) tout au long du film, sans se retourner, sans temps morts, ni rupture. Pixar a fait mieux dans des bouts de film (les débuts de Wall-E ou de Là-Haut) mais sans doute pas sur la durée, technique comprise.

Certaines critiques ont beaucoup insisté sur la tournure que prend le film, passé la présentation du caractère anti conformiste de Mérida et sa supposée rébellion, arguant même d’un développement et d’une issue réactionnaires. Pixar n’a jamais été le fossoyeur du conte conformiste à la Disney et a toujours suivi la voie classique et royale américaine, celle de la famille (amour et désamour), des liens entre un père et son fils, entre une mère et sa fille, qui devront faire un pas l’un envers l’autre pour mieux se comprendre.

Dans un monde d’hommes et une Ecosse des clichés mythiques et légendaires, Rebelle insiste sur la relation entre une fille et sa mère, la première éprise de liberté et la seconde enfermée dans le modèle qu’elle souhaite lui imposer. Les hommes sont relégués au second plan, figures querelleuses, belliqueuses et caricaturales. Le roi est batailleur et gouailleur, mais au cœur tendre pour sa fille, sans autorité, qu’il laisse volontiers à sa femme. Les autres rois sont des esquisses comiques sans épaisseur, dignes du village d’Astérix et les prétendants frisent le ridicule et le stéréotype.

A mesure que le film mue, au prix d’une transformation lourde de sens et de symbolique, il creuse sa singularité et se resserre autour du rapport mère-fille. Mérida n’est pas une rebelle, juste une fille à qui il faudrait lâcher un peu la bride, et sa mère tout sauf une castratrice, seulement une mère qui veut pour sa fille ce qu’elle croit être bon. Mérida ne veut pas détruire la filiation ou le lien familial, mais juste que la liberté souffle un peu plus dans ses cheveux comme le vent d’Ecosse. Où Pixar explore, via le conte, sa symbolique et ses mystères, un morceau d’adolescence (après avoir longtemps cherché ce qui définissait l’enfance).

Dans toutes les familles qui s’aiment (et Pixar nous montre une famille qui s’aime), après l’incompréhension et le désamour, il y a l’amour, celui d’une mère pour sa fille et d’une fille pour sa mère. L’amour dans Rebelle est celui du renouveau, d’une lumière nouvelle et d’un nouveau jour. Ce n’est pas une révolution, mais une transformation, un lendemain de pluie qu’éclaire un soleil naissant. Pas vraiment rebelle, juste courageuse.
sopor
 
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Message » 02 Jan 2013 17:25

Harry Potter #IV : Canal+ Family Hd

Moyen ! :grad:

12/20
Salvor Hardin
 
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Message » 02 Jan 2013 19:01

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Broken arrow - BR loc - VO STFR

Pour certains, John Woo en réalisant Broken arrow en 1996 (il y a 17 ans) a inventé tous les codes des futurs Blockbusters qui vont peu à peu envahir la prod ciné US à partir des années 2000.

Broken arrow a beaucoup de qualité à mes yeux. La mise en scène et l'action sont globalement maîtrisées, le méchant est plaisant à voir évoluer, le gentil va devoir se surpasser pour gagner ses galons de héro ainsi que les faveurs de sa coéquipière (qui vit avec son chien, celle-là il fallait la faire :mdr: ). On peut noter que la femme n'est pas reléguée au second plan mais est totalement impliquée dans l'action. Le combat entre les 2 hommes est une ligne directrice facile à suivre et permet certaines formes d'humour. Le faux semblant au début est aussi bien fichu et permet de bien introduire la psychologie des 2 protagonistes principaux. La pyrotechnie est également impressionnante pour l'époque. Enfin, malgré les codes du genre, le film n'est jamais stupide dans son traitement et son évolution, il n'est pas plombé par des gros clichés lourdauds, ce qui est loin d'être le cas de beaucoup de blockbusters qui ont suivi...

Bref, John Woo avait mis la barre assez haut avec ce film d'action. Et même si aujourd'hui on aimerait une caméra un peu plus dynamique, la maîtrise des plans et la lisibilité du déroulé de l'action dans des scènes comme la fusillade dans la mine et la scène finale avec le train restent de grands moments de cinéma d'action gonflés à la testostérone.

Au chapitre des - : la qualité du BR très médiocre...
Emmanuel Piat
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Message » 02 Jan 2013 23:45

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Fast and furious 4 - BR loc - VO STFR

Je découvre cette franchise :ane: . Ca se laisse voir même si c'est qd même assez con, voir même neuneu par moment (stéréotype des persos lors des phases dramatiques...). On se demande pendant tout le film pourquoi les flics ne viennent pas serrer Toretto chez sa soeur... :lol:

J’essaierai de louer le 5 pour voir, vu qu'il a eu de meilleures critiques...
Emmanuel Piat
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Message » 03 Jan 2013 0:15

LES BETES DU SUD SAUVAGE (CINE NUMERIQUE)

Synopsis : Une petite fille de 6 ans, au sein d'une communauté de "laissés-pour-compte" qui vit dans des marais, attend avec son père l'inévitable montée des eaux provoquée par la fonte des glaces polaires, avec comme corollaire l'arrivée des monstrueux auroch, qui mangent entre autre les enfants ...Lors d'un orage particulièrement violent, l'eau commence à monter !

Pour résumer, c'est un film très singulier, qui vaut largement les différentes nominations et récompenses reçues. Il est remarquablement dense au niveau des sensations et des émotions, négatives et positives, qu'il distille en cours de visionnage et dans les heures qui suivent. Cependant, on peut s'énerver rapidement de la caméra portée à l'épaule, quasiment épileptique au tout début. Dépassé cette possible gène, on est petit à petit séduit et enfin ravi par l'originalité du scénario (il se dévoile progressivement, il vaut mieux ne pas avoir lu le pitch détaillé !), sa mise en image très particulière mais remarquablement efficace, et on apprécie les astuces scénaristiques qui nous font vraiment toucher du doigt la psychologie de l'enfant et de son père.

15/20, même si ce film n'est pas spécialement facile d'accès ni consensuel.

ANNA KARENINE (CINE NUMERIQUE)

Synopsis : sans doute une adaptation du roman de Tolstoï, que je n'ai jamais lu !

Sans avoir vu de bandes annonces, ni lu une quelconque critique avant d'entrer dans la salle, j'avoue que l'ensemble ne m'a pas déplu, même s'il doit me manquer la référence littéraire pour profiter plus de la mise en scène singulière et assumée. La relative longueur du récit est sans doute imposée par le roman. Quelques belles trouvailles scéniques, et très beaux moments d'émotion entre les deux Karenine, Jude Law et Keyra Nightley, qui m'ont semblé particulièrement bons.

13/20
alcatol
 
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Message » 03 Jan 2013 11:37

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http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 83127.html
César est un gardien d’immeuble toujours disponible, efficace et discret. Disponible pour s’immiscer dans la vie des habitants jusqu’à les connaître par cœur ; discret quand il emploie ses nuits à détruire leur bonheur ; efficace quand il s’acharne jusqu’à l’obsession sur Clara, une jeune femme insouciante et heureuse…

MALVEILLANCE Thriller psychologique espagnol de fin 2011.
D'abord je suis choqué par la seule interdiction aux moins de douze ans, ils visionnent les films au comité :o
Il y a une seule scène sanglante mais assez raide et difficilement soutenable pour un enfant, mais surtout une perversité du genre qui fait que s'ils regardent ce style de film à douze ans, ils peuvent déjà regarder n'importe quoi :roll:
Un critique évoque la famille du "Locataire" de Polanski ce qui n'est pas faux, et par curiosité je regarde la fiche de ce film de 1976 qui lui est interdit aux moins de seize ans, ce qui paraît plus raisonnable.

Bon autant le dire Malveillance n'a pas la même puissance que le Locataire, la faute à la profondeur psychologique du personnage malade qui n'est qu'effleurée et fait qu'on n'entre pas nous-même dans la déviance, même si sur la forme par le fait de la réalisation on se glisse parfois de manière inconfortable et délicieusement malsaine à la place du concierge, nous ne sommes jamais totalement lui.
La différence entre le chef d'oeuvre et le juste bon film de genre psychologique.
Kishizo
 
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Message » 03 Jan 2013 11:50

Nos dernières critiques ne sont pas folichonnes. On sent que l'on a pas grand chose à se mettre sous la dent. :lol:

Vivement les sorties de 2013 !
syber
 
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Message » 03 Jan 2013 12:24

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Micmacs à tire-larigot

J'y allais vraiment à reculons. On parfois des a priori idiots : critique assez moyenne, Jeunet qui fait du Jeunet, déception avec le précédent (un long dimanche de fiançailles) etc.

Alors oui, Jeunet nous ressort Jeunet. Mais là c'est pleinement assumé et totalement au service du film. D'abord le film est 100% anti marchands d'armes et ça, ça ne peut que me plaire. Ensuite, c'est vrai que Jeunet nous ressort des ficelles utilisées dans Amélie Poulain mais elles sont développées différemment et personnellement ça ne m'a pas du tout gêné (peut être aussi parce qu'Amélie Poulain est loin ds mes souvenirs). Ensuite, j'ai trouvé que la maîtrise du script et du rythme est impressionnante : dès le début, je me suis dit : il ne tiendra pas la distance, c'est impossible de garder une telle inventivité sur un long métrage, forcément ça va fléchir. Et bien j'avais tord. Je me suis laisser totalement embarquer dans cette histoire de vengeance. J'ai adoré le ton du film, son inventivité permanente, le charme désuet de ses personnages, le jeux émouvant des acteurs (notamment la contorsionniste). Tous les rôles sont bien écrits, même les seconds rôles ont juste l'épaisseur qu'il faut pour exister de manière crédible ds le film. Et puis il y a ces moments de poésie absolument fabuleux. La scène de l’automate haltérophile restera longtemps gravée dans ma mémoire... Miscmacs à tire-larigot était un film casse-gueule et au final je trouve que c'est un modèle d'équilibre avec une fin très bien amenée. Par ailleurs tous les parents devraient le montrer à leurs enfants pour amorcer une réflexion sur les marchants d'armes.

Je précise à toute fin utile que je ne suis pas contre la conception et l'utilisation des armes par un Etat dans certains cas très précis et je pense que dans un monde forcément instable, les armes sont un mal nécessaires. Par contre, je suis résolument contre le commerce des armes de guerre et l'immense hypocrisie qui l'entoure.
Dernière édition par Emmanuel Piat le 03 Jan 2013 12:53, édité 1 fois.
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Message » 03 Jan 2013 12:28

Nos dernières critiques ne sont pas folichonnes. On sent que l'on a pas grand chose à se mettre sous la dent. :lol:

Vivement les sorties de 2013 !


Mouais...L'odyssée de Pi, Main dans la Main, Les Bêtes sauvages du Sud, Ernest et Celestine, Jack Reacher, Tele Gaucho, Le monde de Charlie,...
Y'a plein de bonnes choses à voir en cette fin d'année, si on sort de chez soi bien sûr.
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Message » 03 Jan 2013 12:37

syber a écrit:Nos dernières critiques ne sont pas folichonnes. On sent que l'on a pas grand chose à se mettre sous la dent. :lol:

Vivement les sorties de 2013 !


Ah ben merci de me sabrer le moral :ane:

Avec mon décalage télévisuel, moi je vais me taper 2012 en 2013 :lol:
Kishizo
 
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Message » 03 Jan 2013 12:42

lag@uffre a écrit:
Nos dernières critiques ne sont pas folichonnes. On sent que l'on a pas grand chose à se mettre sous la dent. :lol:

Vivement les sorties de 2013 !


Mouais...L'odyssée de Pi, Main dans la Main, Les Bêtes sauvages du Sud, Ernest et Celestine, Jack Reacher, Tele Gaucho, Le monde de Charlie,...
Y'a plein de bonnes choses à voir en cette fin d'année, si on sort de chez soi bien sûr.


Trop de chocolat pendant les fêtes ? :ane: :wink:
syber
 
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Message » 03 Jan 2013 12:45

On ne choisit pas sa famille : canal+ hd

Humour qui tache à souhait ....

4/20
Salvor Hardin
 
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Message » 03 Jan 2013 12:50

Kishizo a écrit:
syber a écrit:Nos dernières critiques ne sont pas folichonnes. On sent que l'on a pas grand chose à se mettre sous la dent. :lol:

Vivement les sorties de 2013 !


Ah ben merci de me sabrer le moral :ane:

Avec mon décalage télévisuel, moi je vais me taper 2012 en 2013 :lol:


C'est un peu la tendance générale sur beaucoup de blog. L'année 2012 n'a pas été folichonne en matière de cinéma. Beaucoup d'attentes ont été décues, surtout de la part de cinéastes reconnus.

Moi, j'm'en fout, je poursuit mon cycle "cinéma japonais d'après les années 1930' mais d'avant les années 1970' parce que fô pas pousser non plus, après c'est trop populaire" et je mate des japonais tantôt assis en tailleur dans des intérieurs bas de plafond et filmé en cinémascope noir et blanc, et tantôt faisant des pirouettes improbables près de cerisiers en fleur et de torrents impétueux en massacrant leurs adversaires à coup de sabre sans jamais les toucher, puis le devoir accompli se couchant près d'une geïsha en posant leur tête sur une sorte de boite de bois à la place d'oreiller Dunlopillo dans une chambre dont la seule décoration consiste en un pôt de fleur avec un arum épanoui. Il parait que c'est très suggestif pour un japonais ! :hehe: :ane:
syber
 
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Message » 03 Jan 2013 12:50

Syber a une crise de foi :oldy: :mdr:
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