Pat Garett et Billy le kid. 1973. Sam Peckinpah. http://www.imdb.com/title/tt0070518/
1881, Nouveau-Mexique. À Fort Sumner, Pat Garrett rend visite à son ancien compagnon de route : Billy. Il lui annonce qu'il est devenu le nouveau shérif du comté et lui enjoint de fuir au Mexique. Peu de temps après, Billy et deux de ses amis sont assiégés dans une cabane par Garrett et ses hommes. Billy, seul survivant, se rend. Emprisonné à Lincoln, il s'évade cependant le jour de son exécution. Garrett, sur l'ordre du gouverneur Wallace, part à sa poursuite.
Je n'arrive pas a comprendre l'interet quon peut trouver aux western de peckinpah. les scenes s'enchainent sans unite, c'est parfois bien filmé, mais globalement on s'emmerde et ses tentatives de reecriture dses grands mythes de l'ouest tombent a plat. sur lem oment ca a pu passer pour revolutionaire mais 40 ans apres ca ne fait pas le poid face a la meme relecture de eastwood.
[youtube]a-e47wAkg9g[/youtube]
|
Modérateurs: Modération Forum Oeuvres & Multimédia, Le Bureau de l’Association HCFR • Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 30 invités
Films (débats, critiques), personnalités (acteurs, réalisateurs), prochaines sorties, les salles, la presse spécialisée...
Josey Wales hors la loi. 1976. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0075029/
Pendant la Guerre de Sécession, Josey Wales a combattu dans les rangs des sudistes. Il a vu les soldats du clan adverse massacrer sa femme et son enfant. Sa seule raison de vivre est à présent de traquer les assassins et de les abattre un par un...
apres un premier film particulierement reussis dans le genre on attendais autre chose de clint que ce film finalement le cul entre deux chaise et bien mou du genoux. vivement pale rider.
[youtube]qiSp6hiQrjc[/youtube]
Pendant la Guerre de Sécession, Josey Wales a combattu dans les rangs des sudistes. Il a vu les soldats du clan adverse massacrer sa femme et son enfant. Sa seule raison de vivre est à présent de traquer les assassins et de les abattre un par un...
apres un premier film particulierement reussis dans le genre on attendais autre chose de clint que ce film finalement le cul entre deux chaise et bien mou du genoux. vivement pale rider.
[youtube]qiSp6hiQrjc[/youtube]
Dernière édition par astrorock le 23 Jan 2014 12:18, édité 1 fois.
- astrorock
- Messages: 10613
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
astrorock a écrit:Les sept mercenaires. 1960. John Sturges. http://www.imdb.com/title/tt0054047/
la revoyure est terrible pour ce film bien plat. On y trouve tous les futurs acteurs du neo western italien. apres l'aprete des films des 50's et avant le western spaguetti, on est dans le (tres) mauvais cote du clacissisme. Les personnages ne sont pas fouillés, les dialogues consternants et degoulinants de bon sentiments, bref on s'emmerde grave et on se reveille a peine pour les deux gunfight...
Un de mes western préféré avec une intro d'anthologie.
Et quel casting...
Moi c'est les westerns spaghetti qui m'endorment...
- jujulolo
- Messages: 24128
- Inscription Forum: 22 Juil 2002 12:06
- Localisation: Nice
jujulolo a écrit:astrorock a écrit:Les sept mercenaires. 1960. John Sturges. http://www.imdb.com/title/tt0054047/
la revoyure est terrible pour ce film bien plat. On y trouve tous les futurs acteurs du neo western italien. apres l'aprete des films des 50's et avant le western spaguetti, on est dans le (tres) mauvais cote du clacissisme. Les personnages ne sont pas fouillés, les dialogues consternants et degoulinants de bon sentiments, bref on s'emmerde grave et on se reveille a peine pour les deux gunfight...
Un de mes western préféré avec une intro d'anthologie.
Et quel casting...
Moi c'est les westerns spaghetti qui m'endorment...
On préfèrera les 7 Samouraïs, à l'origine de tout ça. Finalement c'est un peu un western à la japonaise, non ?
La configuration dans mon profil
Bluesound Node / McIntosh MA 5200 / Davis Monitor 1 /Mogami 3103HP.
Alternativement un intégré FDA Nubert Nuconnect Xamp
"Je déteste deux choses: l'analyse et le pouvoir" - Sviatoslav Richter.
-
autrichon gris - Modérateur Œuvres & Multimédia
- Messages: 9082
- Inscription Forum: 21 Oct 2009 14:18
- Localisation: Strasbourg
autrichon gris a écrit:jujulolo a écrit:astrorock a écrit:Les sept mercenaires. 1960. John Sturges. http://www.imdb.com/title/tt0054047/
la revoyure est terrible pour ce film bien plat. On y trouve tous les futurs acteurs du neo western italien. apres l'aprete des films des 50's et avant le western spaguetti, on est dans le (tres) mauvais cote du clacissisme. Les personnages ne sont pas fouillés, les dialogues consternants et degoulinants de bon sentiments, bref on s'emmerde grave et on se reveille a peine pour les deux gunfight...
Un de mes western préféré avec une intro d'anthologie.
Et quel casting...
Moi c'est les westerns spaghetti qui m'endorment...
On préfèrera les 7 Samouraïs, à l'origine de tout ça. Finalement c'est un peu un western à la japonaise, non ?
Ca c'est vraiment un lieu commun
"oui mais les 7 mercenaires c'est un remake des 7 samourais."
C'est vrai, c'est clairement assumé, c'est ecrit lors du generique et ca a tellement plu a Kurosawa qu'il a offert un sabre a Sturges pour le remercier.
Les deux films sont très bons et assez différents pour qu'on n'ait pas besoin de faire un choix entre les deux.
A l'inverse quand on parle de "pour une poignée de dollars" de Leone personne ne dit " oui mais c'est un remake de Yojimbo et Yojimbo est nettement mieux".
Par contre là ce n'est pas assumé Kurosawa a porté plainte et il y a eu un proces que Leone a perdu (15% des recettes du film ...)
- jujulolo
- Messages: 24128
- Inscription Forum: 22 Juil 2002 12:06
- Localisation: Nice
astrorock a écrit:Il était une fois la révolution. 1971. Sergio Leone. http://www.imdb.com/title/tt0067140/
Mexique, 1913. Deux personnages font connaissance: un pilleur de diligences, Juan Miranda (Rod Steiger), et un Irlandais, membre de l’IRA en fuite, spécialiste en explosifs, John Mallory (James Coburn) — mais dont le véritable prénom est Sean, le personnage souhaitant occulter son passé irlandais en dissimulant son identité. Juan voit en John le complice idéal pour braquer la banque de Mesa Verde qui se révélera plus riche en prisonniers politiques qu’en lingots d’or. Juan et John vont alors se trouver plongés en plein cœur de la tourmente de la révolution mexicaine, et ce, bien malgré eux.
l'adieu au genre de leone qui brule ses vaissaux en detruisant le train qu'il utilisais dans ses films. mais d'ailleurs est ce encore un western? oui car une partie des conventions du genre spaghuetti sont incorporé et non car on ya rajoute le grotesque, l'humour, et la tragedie, la vraie, celle de l'histoire, la grande, avec ses massacres, ses destructions. c'est d'ailleurs magnifique de voir juan et john perseverer dans leur quette de l'or en employant les methodes d'un passe recent revolu au milieu des premices des guerres modernes, avec leur arsenal technologique et leur destructions de masse. des qu'il veulent s'en eloigner, tout les y ramene; eux qui se veulent juste des voleurs finissent heros de la revolution. beaucoup de choses on etees ecrites sur ce film mais pour moi il est un tres grand film sur l'amitié. Et comme les trois "il etais un fois..." un film desanchante, melancolique et tragique.
[youtube]ELk0PPgh8y4[/youtube]
Magnifique film avec la musique et tout ! Je pense particulièrement à celui-là car j'ai jeté mon ancien support à la poubelle parce qu'il était devenu illisible.
- asheewan
- Messages: 1085
- Inscription Forum: 19 Sep 2012 1:56
bilan des 70's.
la decennie est terrible, comme les 60's.
et comme dans les 60's on a au moins deux bons films "il etais une fois la revolution" et "little big man" et un grand.
car eastwood fait une entrée fracassante avec "l'homme des hautes plaines", une oeuvre puissante, tres sombre, qui renouvelle radicalement le genre.
la decennie est terrible, comme les 60's.
et comme dans les 60's on a au moins deux bons films "il etais une fois la revolution" et "little big man" et un grand.
car eastwood fait une entrée fracassante avec "l'homme des hautes plaines", une oeuvre puissante, tres sombre, qui renouvelle radicalement le genre.
- astrorock
- Messages: 10613
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
les 80's.
La porte du paradis. 1980. Michael Cimino. http://www.imdb.com/title/tt0080855/
Pale rider. 1985. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0089767/
La porte du paradis. 1980. Michael Cimino. http://www.imdb.com/title/tt0080855/
Pale rider. 1985. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0089767/
- astrorock
- Messages: 10613
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
La porte du paradis. 1980. Michael Cimino. http://www.imdb.com/title/tt0080855/
En 1870, une nouvelle promotion de Harvard célèbre avec faste et panache la promesse d’un avenir radieux. Vingt ans plus tard dans le Wyoming, les chemins de deux de ses meneurs se croisent à nouveau. Désormais shérif du comté de Johnson, James Averill voit son autorité contestée par l’association des éleveurs de bétail, dont fait partie son ancien ami Billy, devenu un homme cynique et lâche. L’association stigmatise les immigrants européens venus en nombre s’installer sur ces terres vierges. Appuyés en secret par le gouvernement fédéral, les éleveurs ont établi une liste noire d’immigrants à abattre pour l’exemple. Esseulé, le shérif Averill se dresse contre ce massacre programmé, mettant en danger sa propre vie ainsi que celle de la femme qu’il aime, une prostituée étrangère nommée Ella…
Ce film est l'aboutissement du processus qui vois la fin des studios et la prise de pouvoir des realisateurs, l'epoque du nouvel hollywood. il est aussi le prototype de film maudit de son epoque, meme s'il n'est pas le premier a ruiner un studio, cf von stroheim...alors passe les tumultes et les critiques asassines lors de la sortie que reste t'il de ce film fleuve, 3h40. une photo magnifique de Vilmos Zsigmond, qui compose des tableaux; la virtuosite de la camera, cf la scene de bal en plein air, l'arrive dans la ville de averill, les scenes de foule; l'utilisation de l'espace et du temps ou comment rendre passionante la premiere scene qui dure 20mn ou la scene du bal en patins a roulettes qui nous renvois a la scene du bal de la poursuite infernale de ford. et puis cette lenteur maitrisée pour nous ammener a la folie collective d'une ville entiere qui assiege ceux venus pour tuer. ils obtiedrons la victoire mais elle est amere, cf ce plan magnifique d'une femme effondree, adossee a un chariot, qui finis par se suicider. ce simple petit bout de scene, par son impressionnante maitrise vaut qu'on regarde encore et encore ce film qui s'il n'est pas le chef d'oeuvre encese qu'on en as fait apres l'avoir roule dans la boue une tres grand film tragique. il y a plus de cinema chez cimino dans ces quelques moments que dans tout la filmo des vaches sacres habituelles (lynch, tarentino et autres kubrick).
[youtube]mOSG0MrMRcg[/youtube]
En 1870, une nouvelle promotion de Harvard célèbre avec faste et panache la promesse d’un avenir radieux. Vingt ans plus tard dans le Wyoming, les chemins de deux de ses meneurs se croisent à nouveau. Désormais shérif du comté de Johnson, James Averill voit son autorité contestée par l’association des éleveurs de bétail, dont fait partie son ancien ami Billy, devenu un homme cynique et lâche. L’association stigmatise les immigrants européens venus en nombre s’installer sur ces terres vierges. Appuyés en secret par le gouvernement fédéral, les éleveurs ont établi une liste noire d’immigrants à abattre pour l’exemple. Esseulé, le shérif Averill se dresse contre ce massacre programmé, mettant en danger sa propre vie ainsi que celle de la femme qu’il aime, une prostituée étrangère nommée Ella…
Ce film est l'aboutissement du processus qui vois la fin des studios et la prise de pouvoir des realisateurs, l'epoque du nouvel hollywood. il est aussi le prototype de film maudit de son epoque, meme s'il n'est pas le premier a ruiner un studio, cf von stroheim...alors passe les tumultes et les critiques asassines lors de la sortie que reste t'il de ce film fleuve, 3h40. une photo magnifique de Vilmos Zsigmond, qui compose des tableaux; la virtuosite de la camera, cf la scene de bal en plein air, l'arrive dans la ville de averill, les scenes de foule; l'utilisation de l'espace et du temps ou comment rendre passionante la premiere scene qui dure 20mn ou la scene du bal en patins a roulettes qui nous renvois a la scene du bal de la poursuite infernale de ford. et puis cette lenteur maitrisée pour nous ammener a la folie collective d'une ville entiere qui assiege ceux venus pour tuer. ils obtiedrons la victoire mais elle est amere, cf ce plan magnifique d'une femme effondree, adossee a un chariot, qui finis par se suicider. ce simple petit bout de scene, par son impressionnante maitrise vaut qu'on regarde encore et encore ce film qui s'il n'est pas le chef d'oeuvre encese qu'on en as fait apres l'avoir roule dans la boue une tres grand film tragique. il y a plus de cinema chez cimino dans ces quelques moments que dans tout la filmo des vaches sacres habituelles (lynch, tarentino et autres kubrick).
[youtube]mOSG0MrMRcg[/youtube]
Dernière édition par astrorock le 27 Jan 2014 10:48, édité 2 fois.
- astrorock
- Messages: 10613
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
Pale rider. 1985. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0089767/
Les derniers chercheurs d'or indépendants de LaHood, bourgade minière de Californie, sont harcelés par les hommes de main du puissant Coy LaHood. Ce dernier a fondé la ville qui porte son nom et exploite une mine qui s'épuise. Il cherche à récupérer les parcelles des indépendants. Les malfrats partis, la jeune Melanie Wheeler enterre son chien, innocente victime, et prie. C'est à ce moment que surgit de la montagne un cavalier solitaire tout de noir vêtu. Il est pasteur, comme en atteste son col blanc, mais nul ne connaît son passé ni même son nom. On l'appelle le Prédicateur (the Preacher). Hull Barret, opposé depuis longtemps à Coy LaHood, l'accueille sous son toit. Coy Lahood fait appel à des tueurs à gages. Le pasteur ne va pas tarder à prouver ses qualités de tireur, élimine ses ennemis - dont le chef est surpris de le reconnaître juste avant de mourir - et disparaît.
passe la premiere scene de saccage du camps des mineurs, le film reprend le dernier plan de "l'homme des hautes plaines". c'est le retour de l'etranger, meme cheval, meme chapeau, meme redinguote, meme determination, realisation implacable de son projet. clint est de nouveau entoure de surtess a la photo (maghifiques scenes en eclaiage naturels) et de ses seconds roles habituels. il a rajoute des elements parodiques (faut pas jouer avec les allumettes), humoristiques (echange avec le fils lahoud sur le malin) et meme sentimentaux (l'amour qu'il suscite). alors meme si en soi le film est bon et merite de figurer dans la dvdtheque ideal du western il n'egale pas la sombre puissance de son predecesseur.
[youtube]bS_cnoSjucc[/youtube]
Les derniers chercheurs d'or indépendants de LaHood, bourgade minière de Californie, sont harcelés par les hommes de main du puissant Coy LaHood. Ce dernier a fondé la ville qui porte son nom et exploite une mine qui s'épuise. Il cherche à récupérer les parcelles des indépendants. Les malfrats partis, la jeune Melanie Wheeler enterre son chien, innocente victime, et prie. C'est à ce moment que surgit de la montagne un cavalier solitaire tout de noir vêtu. Il est pasteur, comme en atteste son col blanc, mais nul ne connaît son passé ni même son nom. On l'appelle le Prédicateur (the Preacher). Hull Barret, opposé depuis longtemps à Coy LaHood, l'accueille sous son toit. Coy Lahood fait appel à des tueurs à gages. Le pasteur ne va pas tarder à prouver ses qualités de tireur, élimine ses ennemis - dont le chef est surpris de le reconnaître juste avant de mourir - et disparaît.
passe la premiere scene de saccage du camps des mineurs, le film reprend le dernier plan de "l'homme des hautes plaines". c'est le retour de l'etranger, meme cheval, meme chapeau, meme redinguote, meme determination, realisation implacable de son projet. clint est de nouveau entoure de surtess a la photo (maghifiques scenes en eclaiage naturels) et de ses seconds roles habituels. il a rajoute des elements parodiques (faut pas jouer avec les allumettes), humoristiques (echange avec le fils lahoud sur le malin) et meme sentimentaux (l'amour qu'il suscite). alors meme si en soi le film est bon et merite de figurer dans la dvdtheque ideal du western il n'egale pas la sombre puissance de son predecesseur.
[youtube]bS_cnoSjucc[/youtube]
Dernière édition par astrorock le 24 Jan 2014 9:12, édité 2 fois.
- astrorock
- Messages: 10613
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
les 90's.
Danse avec les loups. 1990. Kevin Costner. http://www.imdb.com/title/tt0099348/
Impitoyable. 1992. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0105695/
Dead man. 1995. Jim Jarmush. http://www.imdb.com/title/tt0112817/
Chevauchée avec le diable. 1999. Ang Lee. http://www.imdb.com/title/tt0134154/
Vorace. 1999. Antonia Bird. http://www.imdb.com/title/tt0129332/
Danse avec les loups. 1990. Kevin Costner. http://www.imdb.com/title/tt0099348/
Impitoyable. 1992. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0105695/
Dead man. 1995. Jim Jarmush. http://www.imdb.com/title/tt0112817/
Chevauchée avec le diable. 1999. Ang Lee. http://www.imdb.com/title/tt0134154/
Vorace. 1999. Antonia Bird. http://www.imdb.com/title/tt0129332/
- astrorock
- Messages: 10613
- Inscription Forum: 27 Mar 2005 13:59
- Localisation: Jurassien rural du 9.3 néo breton.
astrorock a écrit:Impitoyable. 1992. Clint Eastwood. http://www.imdb.com/title/tt0105695/
- J'ai trouvé ce film très bien. Eastwood donne une image assez contrastée de lui-même dans ce rôle où il vient rejouer le justicier pour des inconnus pour redonner un sens à sa vie rangée perdue. Est-ce que cela en valait vraiment la peine ? Il aurait mieux valu qu'il reste perdu dans sa vie rangée.
- Pale Rider : Excellent !
- asheewan
- Messages: 1085
- Inscription Forum: 19 Sep 2012 1:56
Vorace, film culte !
ilsagno
ilsagno
- ilsagno
- Messages: 2744
- Inscription Forum: 30 Nov 2010 18:30
- Localisation: 83230
|
|