Salut,
Je ne suis vraiment pas un spécialiste des sciences cognitives, mais après avoir mené toute une série de tests ABX et AB, je pressens que quelques réponses à nos interrogations perplexes pourrait s'y trouver.
En surfant sur le net à la recherche d'infos sur le sujet, je suis tombé sur ce
document.
Si je comprend bien ce qui y est expliqué et cherche à y trouver une application concrète à nos préoccupations, je dirais :
- que
l'effet de suffixe tel qu'il est décrit, invaliderait comme méthode de comparaison l'utilisation d'une musique jouée dans sa durée et la bascule permanente entre deux éléments écoutés (ajouts de nouveaux éléments en permanence).
- que
l'effet de modalité tel qu'il est décrit validerait comme méthode de comparaison l'utilisation de signaux
COURTS (effet de récence).
- que
l'effet de confusion ou de similitude auditive tel qu'il est décrit tendrait à me faire penser, comme le suggère Ohl, que les signaux à écouter lors d'un test ABX devraient plutôt être
SIMPLES et très
DIFFÉRENTS des uns des autres. Effectivement, des bruits rose ou blanc (je maîtrise mal ces notions) ou des fréquences pures, ou encore des enregistrements de brefs sons de la vie quotidienne (claquement de portière, cet ex. me revient en mémoire à l'instant en pensant à un disque test de Ph. Muller)) nous faciliteraient peut-être la tâche !
Nous pourrions peut-être pour nos prochaines séances d'ABX (si elles ont bien lieu, après cette période de découragement), nous inspirer de ces réflexions.
Qu'en pensez-vous ?