zeroundemi a écrit:Paull a écrit:il m'avait semblé comprendre, lors de la sortie des premiers modèles NuForce et Flying Mole, que l'intérêt des amplis classe D, s'il ne résidait pas dans la supériorité de leur rendu sonore, était leur prix de vente très faible par rapport à des amplis classe B qui puissent parvenir à faire aussi bien
Tu avais bien compris
La classe D, c'est un trés bon rendement, donc économies sur le transfo (encombrant, lourd et cher dans les autres cas), donc sur la taille du boitier, son poids, son prix
C'est aussi un "module" fabriqué en série, donc économie d'approvisionnement de composants, de fabrication de circuit imprimé, de soudage, de montage (dans certains cas le montage se limite à mettre le module dans un boitier et de relier une alim externe, elle-même achetée dans le commerce), etc.Paull a écrit:Après, je peux comprendre si on me dit que pour trouver des revendeurs quand on débute, on doit leur vendre 2500E un matériel qu'ils revendront 5500E.
Les revendeurs auraient-ils du mal à s'adapter aux évolutions technologiques ? Plus, ou moins que les audiophiles ?
Bonjour,
Je me permets de réagir sur la notion des transfos qui n'auraient pas besoin d'être de qualité dans le cas d'ampli en classe D, je pense qu'une écoute comparative avec des Nuforce et autres face à l'intégré Eon Art serait utile pour comprendre combien ce genre de composant est important, tout comme les condensateurs surdimensionnés. AMHA je crois que la maîtrise du courant entrant et sortant est primordiale pour obtenir une bonne écoute et la musicalité recherchée. On retrouve ce principe sur tout les matériels HDG (ampli, préampli, DAC, CD, etc..), j'exagèrerai à peine en disant que l'on obtient souvent une bonne chaîne HiFi avec de bonnes enceintes (et adaptée au lieu d'écoute) et une bonne gestion du courant depuis la prise EDF, les autre éléments venant valoriser cette mise en œuvre...