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Tout ce qui touche la Haute-Fidélité numérique

BMC-2 : un petit joyau accessible à tous !

Message » 11 Nov 2016 11:58

Pourquoi chercher la petite bête si on ne l'entend pas? :hehe:

J'utilise le réglage de volume numérique de mon FDA, qui est probablement moins bon que celui du BMC-2, et franchement, au final, si au début j'avais une impression "d'aplatissement" du son sur les niveaux les plus faibles (j'avais ce débat sur le contrôle numérique du volume en tête), après quelques mois d'utilisation il faut que je me rende à l'évidence que je ne remarque pas grand chose... voir rien du tout :thks:
rockit
 
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Message » 11 Nov 2016 12:16

C'est bien là l'essentiel !

Au fait ! Qu'avais tu comme Dac précédemment ?

La configuration dans mon profil


Bien sûr que ça n'est pas raisonnable ! Mais en HI-FI est-ce le but ? Mario RICCI.
yijing
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Message » 11 Nov 2016 22:19

un T+A Music Player et un Emotiva Stealth DC-1 (pour mes ex-moniteurs)

En fait j'ai toujours voulu prendre un BMC-2, avant comme DAC, maintenant comme interface numérique (avec un FDA pour la fonction "préamp" numérique, la correction du signal et pouvoir router du toslink sur le coax), mais il me semble qu'il me faudrait plutôt un MUTEC MC 1.2, même s'il lui manque manifestement une entrée optique et une sortie usb supplémentaire :hehe: ... et c'est beaucoup plus cher :adieu:
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Message » 11 Nov 2016 23:17

Si ça peut servir à quelqu'un, voici un produit assez bien critiqué pour atténuer le volume en symétrique: http://www.smproaudio.com/index.php/en/ ... patch-plus

Moi j'attends toujours le colis de mon bmc-2 d'occas, mais mon gros souci de ce soir c'est qu'en branchant mes enceintes de monitoring dans le salon de mon nouvel appart, grosse inquiétude: l'une des enceintes ne sort plus de son par le tweeter :(
Je ne peux pas râler sur les déménageurs, c'est moi qui l'ai transportée... Et auparavant, pas utilisé pendant des mois... Il va falloir que je démonte pour voir s'il y a un problème de contact, en espérant que ce n'est pas une panne électronique :wtf:

Edit: ouf, ouvert, débranché et rebranché les 2 connecteurs internes, et ça refonctionne :bravo:

Je vous partagerai mes impressions sur le bmc-2 quand je l'aurai reçu :wink:
ssebs
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Message » 13 Nov 2016 2:17

Cableman a écrit:Je m'adresse à Jacbru :
J'ai bien compris ton point de vue concernant une certaine dégradation de la qualité sonore du BMC2 à partir du moment où le potentiomètre digital de volume quitte la position '' bit perfect''.
N'étant pas technicien, je me demande néanmoins s'il n'y a pas une incompatibilité dans ce que tu indiques et ce que démontre achaiss dans ce post à la page 84, le 28 octobre 2009 à 3H06 (voir ses commentaires, qui devraient d'ailleurs rassurer François/EAR...).
Est-ce que je me trompe ?


Je viens de lire le test d'achaiss. Je ne crois pas que nos observations soient incompatibles, nous ne parlons pas de le même chose.
Lorsque l'on superpose deux extraits en opposition de phase pour écouter le résultat, s'ils sont absolument identiques en fréquence et en phase on ne peut entendre aucun son à condition que les extraits associés soit écoutés à même niveau sonore. Dans ce cas, puisque l'atténuation numérique par rapport à 0dB/Bit Perfect d'un des extraits a forcément été compensé par sa préamplification analogique exactement égale à la perte de niveau liée à une diminution de la profondeur de quantification. Ce test démontre bien que les deux extraits comparés sont bien équivalents pour leur phase, leur bande passante et leur tessiture fréquentielle.

Prenons les choses autrement. Il m'arrive de faire de la prise de son de haute qualité en stéréophonie bicanale de phase. Selon les circonstances et le matériel que j'utilise je "travaille" en PCM 24bits 96 ou 192kHz.
Il faut rappeler les deux paramètres de quantifications, profondeur et fréquences :

⦁ Selon la profondeur choisie, en bits, le niveau maximal du signal est fixé, donc la dynamique admissible sans restriction ou compression.
⦁ La fréquence de quantification fixe la fréquence maximale d'un signal restituable sans distorsion/bruit numérique gênant.

Par contre le respect de la phase ne dépend pas de la quantification, mais uniquement des qualités mécaniques, électroniques et acoustiques de l'ensemble de la chaîne de restitution.

Je réalise toujours une profondeur de quantification de 24 bits pour mes prises de son numériques (généralement des choeurs semi-professionnels ou professionnels spécialisés dans le chant grégorien et médiéval) captures numériques. Elle assurent une amplitude dynamique de 120dB suffisante pour couvrir la réalité chantée. 32 bits seraient plus confortables, mais 24 bits suffisent juste à assurer la capture sans compression. les fréquences d'échantillonnage de 96k et 192kHz assurent largement (surtout la seconde) la bande passante nécessaire sans risque de rotation de phase ou de distorsion sur les très hautes harmoniques.

Par contre, les 16 bits du CD et des anciens matériels professionnels de prise de son ne permettent qu'un niveau maximal de 90dB, très étriqué pour la prise de son. Quand aux fréquences de quantifications, 44100 ou 48000Hz, elles sont limites pour un extrême aigu "propre". Très difficile d'être à l'aise pour la prise de son. Seul moyen, malheureusement rarement constaté avec les CD (sauf certaines prises de réalisées par quelques ingénieurs du son très réputés), la capture à niveau moyen raisonnable, sinon faible, pour éviter autant que se peut les compressions délétères.

Conclusion, pour assurer une dynamique subjective correcte et un réalisme crédible, mieux vaut prévoir une profondeur de quantification de 20, 24 ou 32 bits. Une baisse numérique du niveau d'écoute limite forcément le niveau, donc la dynamique de restitution, sans modifier ni l'amplitude fréquentielle et ni la phase.
Nous somme maintenant dans un studio de contrôle avec un master numérique, par exemple en PCM 24/96kHz, à lire et convertir par un DAC TCe BMC2. Si la lecture se fait à 0dB le niveau du signal analogique va être à la norme pour toutes les consoles. On peut envisager, dans tous les cas, une écoute respectant un niveau d'écoute standard et, bien sûr, la dynamique de la prise de son.

La touche DIM est là pour passer rapidement à un niveau plus confidentiel pour pouvoir, par exemple, tenir une conversation puis revenir instantanément au niveau nominal, zéro défaut. Conséquence de la diminution numérique de niveau, par saut de 3dB, la dynamique perçue s'en trouve progressivement diminuée. Pour une faible décroissance, tant que la dynamique de la prise de son peut encore être respectée, aucune atténuation n'est perceptible (n'oublions pas les données de physio-psychologie, 3dB est la différence de niveau minimale pour être audible). Par contre, des décroissances plus importantes ont impact de plus en plus audible, amplifié puisque la perception , à faible niveau d'écoute, des aigus et des graves diminue plus que celle des médiums (la fameuse courbe de Fletcher).

En tous cas la décroissance de niveau sonore obtenue par diminution de la profondeur de quantification s'accompagne d'une limitation de dynamique restituable . Elle peut être subjectivement perceptible surtout lorsque l'atténuation numérique est substantielle.

En fait, dans les studios de contrôle professionnels, la sensibilité d'entrée des amplificateurs est réglables. Ils sont validés pour donner exactement le même niveau sonore lorsque le signal de sortie analogique du convertisseurs N/A est étalonné odB, bit-perfect. Dans ces conditions, le couple enceintes acoustiques de contrôle/auditorium étant parfaitement égalisées, en niveau et fréquence, il est possible d'écouter le même extrait musical dans les mêmes conditions dans n'importe quel studio professionnel. C'est obligatoire puisque souvent plusieurs lieux sont utilisés pour l'enregistrement, la production et la post-production d'une œuvre musicale.

Il va de soi que toutes ces précautions sont prises parce qu'un ingénieur du son professionnel ne peut accepter la moindre modification du signal lu, ni aucune différence subjective pour la restitution d'un message sonore. En ''simple'' utilisation HiFi, les contraintes sont moins drastiques et une atténuation par intervention sur le codage numérique peut être acceptée, en sachant que les interventions sévère peuvent s'entendre sur les chaînes de restitution les plus discriminantes. Par contre, contrairement à la plupart des chaînes professionnelles, les chaînes HiFi intègrent toujours une pré-amplification analogique, séparée ou pas, mais n'ont pas d'adaptation de niveau d'entrée sur leurs amplificateurs (généralement intégrés, associé au préamplificateur). Ainsi les amplificateurs de puissance audiophiles n'ont généralement pas d'atténuateurs au niveau des circuits d'entrées.

Pour ma part je préfère utiliser mon BMC2 en simple DAC N/A, régler le signal analogique sortant 0dB/BitPerfect et confier l'optimisation du niveau d'écoute au préamplificateur (connexion BMC2/Rotel RC1590 symétrique XLR). Je peux vous assurer que cette précaution n'est pas inutile, j'ai fait mes tests. Pour les écoutes de mes prises de son PCM 24/192k... le parfait respect de la profondeur de quantification du message, de sa dynamique naturelle s'entend, la qualité du préamplificateur analogique, de son réglage de niveau aussi... à chacun de faire son choix.
JACBRU
 
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Message » 13 Nov 2016 2:42

ssebs a écrit:Si ça peut servir à quelqu'un, voici un produit assez bien critiqué pour atténuer le volume en symétrique: http://www.smproaudio.com/index.php/en/ ... patch-plus


Il y a aussi cela... http://www.palmer-germany.com/pro/fr/MO ... ONICON.htm
Attention tout de même aux atténuateurs passifs, abusivement appelés préamplificateurs passifs. Même haut de gamme, ils n'assurent pas la parfaite adéquation, en niveau et impédance, avec les étages d'entrée des amplificateurs de puissance, et cela s'entend.

Je sais de quoi je parle puisque mon amplificateur Rotel RHB10, de la série très haut de gamme Michi, était prévu pour s'associer à un remarquable préamplificateur passif RHC10. En fait, l'écoute avec le BMC2 était excellente mais ne me satisfaisait pas totalement pour la restitution des harmoniques supérieures, pas assez "fluide" pour être totalement naturelle. Son remplacement par le RB1590 à réglé définitivement la question, de la plus belle des manières. Je sais que Jean Hiraga dit souvent qu'aucun préampli passif, même les plus aboutis (c'est le cas du RC10), n'est totalement satisfaisant.

Rotel_RHB-RHC10_02.jpg
Rotel Michi
Rotel_RHB-RHC10_02.jpg (22.56 Kio) Vu 2692 fois


Rotel_RHB-RHC10_06.jpg
Rotel_RHB-RHC10_06.jpg (40.68 Kio) Vu 2692 fois
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Message » 13 Nov 2016 10:51

Merci pour toutes ces explications techniques. J'en conclu que le BMC-2 fait mieux en conversion que le dac intégré du RC1590?
douda
 
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Message » 13 Nov 2016 13:18

douda a écrit:Merci pour toutes ces explications techniques. J'en conclu que le BMC-2 fait mieux en conversion que le dac intégré du RC1590?

Ce n'est pas ce que j'ai dit, tu m'as mal compris. Le BMC2 est meilleur en association avec le préampli actif Rotel RC1590 qu'avec le le préampli passif Rotel RHC10 Michi. Par contre, je l'ai dit un peu plus haut dans la discussion, le Dac intégré au RC1590 est plus récent de conception, mieux fourni en connectique et meilleur que le BMC2, en particulier dans le haut du spectre, les harmoniques supérieures sont mieux respectées, plus précises, plus naturelles.

Je n'utilise plus le BMC2 sur ma chaîne principale, il a déjà sa place sur une seconde chaîne en connection symétrique XLR avec mon ancien préampli Sony TEF80es et un ampli Hafler (2x150 Watts)... Mais c'est une autre histoire...

Cableman a écrit:N'étant pas technicien, je me demande néanmoins s'il n'y a pas une incompatibilité dans ce que tu indiques et ce que démontre achaiss dans ce post à la page 84, le 28 octobre 2009 à 3H06 (voir ses commentaires, qui devraient d'ailleurs rassurer François/EAR...). Est-ce que je me trompe ?

Petite remarque complémentaire à propos des tests de achaiss qui démontreraient qu'il n'y a pas, subjectivement de différence audible entre les différents réglages numériques de niveau de sortie du BMC2.

achaiss a écrit:Donc je suis complétement catégorique : le bouton de volume du BMC n'apporte AUCUNE altération du son même avec la fonction DIM enclenchée, le contraire est impossible car si un signal informatique ne détecte pas la moindre oscillation de fréquence sur un panel aussi complexe et complet que le spectre sonore alors l'oreille humaine n'entendra rien non plus.
la moindre différence de son même imperceptible aurait immédiatement causé une apparition de signal même minime en utilisant cette méthode. Et là... rien de rien de rien...
Donc pour ceux qui ont testés et qui trouvent que le DIM apporte distorsion ou coloration ou même que le bouton joue sur le son... c'est uniquement un phénomène psycho acoustique résultant de ce que vous VOULEZ (ou pas) entendre et des résonances de votre pièce et système d’écoute qui diffèrent suivant les volumes.
Soutenir le contraire serait de la mauvaise foi.

Je ne discuterai pas ici des conditions méthodologiques, ni du rendu des écoutes subjectives associées aux mesures physiques pour les différents réglages de niveau numérique lors des écoutes comparatives du BMC2, mais de méthodologie d'évaluation de phénomènes subjectifs, en général.

Une réponse négative, donc une absence de différence auditive perçue, entre deux sons comparés, à toute écoute ou test subjectif comparatifs (dont le plus connu est le test ABX) ne signifie jamais que l'absence de différence est certaine. Il y a bien trop de raisons de non perception d'une éventuelle différence. La probabilité de se tromper dans la réponse (p) est beaucoup trop élevée (forcément supérieure à 5%) pour que l'on puisse écrire ou dire que cette absence de différence est une certitude ! Un test ABX positif confirme absolument une différence, mais ne la qualifie pas. Négatif, il ne signifie absolument rien.
JACBRU
 
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Message » 13 Nov 2016 20:30

A Jacbru :
Je te remercie de ta réponse particulièrement étayée à la question que j' ai posé.
Ayant commandé le BMC2 et devant le recevoir prochainement, je ne manquerai pas de faire des essais comparatifs avec le potentiomètre en position '' bitperfect'', ensuite en gardant cette position mais avec la touche DIM activée, et enfin avec le potentiomètre à - 18 dB.
Ce sont mes oreilles qui jugeront, n' est ce pas ce qui importe ?
J' ai pour toi deux autres questions (sans vouloir abuser) :
Est-ce que tu penses que les câbles qui relient les appareils entre eux peuvent jouer un rôle primordial sur le rendu sonore, tout comme les câbles qui alimentent ces appareils ? Si oui, as tu des câbles à conseiller en alimentation, en digital SPDIF (pour le BMC2 bien sûr ) et en interconnect ?
Enfin pour finir : as tu fait des écoutes comparatives de différents DAC en ABX et qu' en est-il ressorti ?
Cordialement.
Cableman
 
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Message » 13 Nov 2016 22:19

Cableman a écrit:A Jacbru :
Je te remercie de ta réponse particulièrement étayée à la question que j' ai posé.
Ayant commandé le BMC2 et devant le recevoir prochainement, je ne manquerai pas de faire des essais comparatifs avec le potentiomètre en position '' bitperfect'', ensuite en gardant cette position mais avec la touche DIM activée, et enfin avec le potentiomètre à - 18 dB.
Ce sont mes oreilles qui jugeront, n' est ce pas ce qui importe ?
J' ai pour toi deux autres questions (sans vouloir abuser) :
Est-ce que tu penses que les câbles qui relient les appareils entre eux peuvent jouer un rôle primordial sur le rendu sonore, tout comme les câbles qui alimentent ces appareils ? Si oui, as tu des câbles à conseiller en alimentation, en digital SPDIF (pour le BMC2 bien sûr ) et en interconnect ?
Enfin pour finir : as tu fait des écoutes comparatives de différents DAC en ABX et qu' en est-il ressorti ?
Cordialement.

L'important est que tu sois satisfait, non ?

Pour les câbles, je dirais qu'il faut viser un minimum de qualité sans se ruiner tout de même. Des marques comme Real Câble ou Monster (la liste n'est pas limitative) font des choses très bien en RCA numérique ou Toslink optique. Mais je conseille toujours, pour la connexion analogique quand elle est possible, un câble symétrique XLR courant (acheté dans les magasins de musique/sono/home-studio), moins sensible à la qualité qu'un câble asymétrique...

Quand aux vrais tests ABX, valides, les conditions de réalisation sont beaucoup plus contraignantes que l'on croit dans le monde du son. J'ai rarement le temps de tout appliquer pour évaluer deux configurations de charge acoustique ou de filtre. Je suis plus pragmatique depuis plus de cinquante ans. J'ai établi une stratégie d'échantillonnage et d'écoute. Elle me suffit et satisfait hors cadre professionnel, si je n'ai pas à en publier les résultats. Dans ces conditions, j'ai testé toutes les positions du "potar" sans que mon ampli ne se soit mis à souffler, siffler ou... fumer ! Pour moi la position bit perfect est la meilleure, la plus propre et neutre. Je règle le niveau d'écoute avec le préampli et tout se passe bien dans le meilleur des mondes, la dynamique est intacte. Il doit bien y avoir une raison pour que le fabricant conseille cette stratégie, non ?
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Message » 26 Nov 2016 0:30

Hop, mon bmc-2 acheté d'occas est branché; je reviens vers vous pour une éventuelle recommandation de matos (à prix abordable, neuf ou occas), d'interface usb->coaxial, qui lit du 96khz en maxi.

En effet, j'ai pour l'instant branché mon fiio X3 (1ère génération) entre l'ordi et le bmc-2, mais le hic c'est qu'il fonctionne en 192khz maxi. J'utilise Kodi comme lecteur, et il n'est pas possible de lui spécifier de lire le format d'origine du flac, tout en limitant à 96khz. Donc les quelques fichiers que j'ai à 192 ne produisent aucun son: c'est du 192 qui est envoyé en usb au Fiio, lequel transmet au bmc-2, qui ne sait pas le lire :o
Donc je devrais trouver une interface usb->coaxial, qui lise plutôt du 96khz au maximum...
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Message » 08 Jan 2017 17:29

(edit: je me suis fait modérer mon message, donc j'ai retiré tout lien :ohmg: )

En tout cas, après 5ans de loyaux services je revend mon BMC-2 sur ebay (j'ai au moins le droit de dire ça).
C'est un peu la larme à l'oeil et il m'a fallu beaucoup de temps avant de le mettre en vente.

Je suis passé depuis sur un Dac chinois (Gustard X12) à base d'ESS9018 et d'XMOS pour le meilleur et pour le pire. A la base c'était surtout pour avoir plus d'entrées et de sorties et les débuts furent laborieux mais en bricolant un peu (ajout d'une nouvelle externe alim sur l'entrée usb) je suis retombé sur mes pattes avec un petit gain en qualité à la clé dont je ne suis pas mécontent.

Si je devais prendre du recul sur ma période BMC2 :
1- Le player et l'interface USB jouent un rôle super important. Ayant commencé avec iTunes sur Toslink pour finir avec Daphile (linux dédié) avec toute sorte d'alim USB, c'est le jour et la nuit. J'ai passé les 2 dernières années à travailler uniquement la-dessus pour faire progresser mon système. On a beau parler d'une bonne suppression du jitter dans le BMC2, il ne faut pas faire confiance au mot "perfect" dans bit-perfect

2- Le XLR et si possible le full-XLR, c'est quand même vraiment cool. :D
Et si vous êtes du genre à laisser tout allumé 24/7 alors c'est vraiment vraiment cool.

3- Pendant des années j'étais un militant convaincu de la réduction de volume en analogique, des preamps passifs, ou du SPL volume2. Pour moi c'était physique, ça ne pouvait être que mieux. Mais finalement, j'en arrive à constater qu'avec un bon upsample systématique en 24bits on a pas mal de bits pour faire une belle attenuation numérique et potentiellement se passer totalement de preamp (des appareils qui je trouve vieillissent mal et qui ne sont jamais parfaits).
Etant maintenant passé sur ess9018, j'en suis maintenant encore plus convaincu: Dorénavant j'aurais toujours soit de l'attenuation numérique à 100% soit à minima une partie de l'atténuation qui sera faite côté numérique (pour trouver la plage qui fonctionne bien en analogique).
gregbny
 
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Message » 14 Jan 2017 14:26

Bonjour à Tous,
Je fais appel à votre pratique de la connectique. La BMC-2 est en effet un excellent DAC. Faute de connectiques manquant à mes besoins je voudrais connecter le BMC-2 comme simple DAC sur un contrôleur de moniteurs analogique. Comment le connecter, par les sorties XLR speakers ?
Merci de votre aide,
Bonne journée,
Razumoff
 
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Message » 22 Jan 2017 20:03

Bonjour,

Depuis 5 ans, je suis toujours aussi ravi de mon BMC2, et encore plus depuis l’acquisition d’un nouvel ampli. Par contre, il y a un détail qui me rend fou. Depuis peu, le drive est un lecteur BR Panasonic DMP BDT 110. Rien à redire sur le son, chacun fait bien son boulot. Par contre, le lecteur n’a pas de sortie coaxiale, donc le DAC est relié en optique. Pas de souci niveau son là non plus, MAIS à chaque allumage du BR et du DAC (peu importe l’ordre de mise sous tension), la voie de droite s’allume jusqu’à la première diode orange sur le DAC et un cri strident insupportable émane du tweeter de l’enceinte droite. Cela dure environ 10 secondes, jusqu’à ce qu’un CD soit reconnu par le lecteur. Ensuite plus rien, fonctionnement normal. La voie de gauche s’allume aussi pendant cette phase mais seulement jusqu’à la deuxième diode, donc pas de son dans le HP.

Il y a une solution : j’allume le BR et sélectionne une autre entrée que l’optique sur le BR jusqu’à ce que le CD soit reconnu, mais c’est galère. Je n’avais pas le problème avec mon lecteur CD précédent utilisé en drive car je sortais en coaxial. Que l'ampli soit branché ou non, le XLR branché ou non, ne change rien.

Bizarre, quand même. Je pensais de toute façon changer de drive un jour avec un lecteur CD ‘’classique’’ et repasser sur du coaxial mais j’aurais aimé résoudre cette petite question.

Merci.
JEROME2000
 
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Message » 23 Jan 2017 11:17

JEROME2000 a écrit:Bonjour,

Depuis 5 ans, je suis toujours aussi ravi de mon BMC2, et encore plus depuis l’acquisition d’un nouvel ampli. Par contre, il y a un détail qui me rend fou. Depuis peu, le drive est un lecteur BR Panasonic DMP BDT 110. Rien à redire sur le son, chacun fait bien son boulot. Par contre, le lecteur n’a pas de sortie coaxiale, donc le DAC est relié en optique. Pas de souci niveau son là non plus, MAIS à chaque allumage du BR et du DAC (peu importe l’ordre de mise sous tension), la voie de droite s’allume jusqu’à la première diode orange sur le DAC et un cri strident insupportable émane du tweeter de l’enceinte droite. Cela dure environ 10 secondes, jusqu’à ce qu’un CD soit reconnu par le lecteur. Ensuite plus rien, fonctionnement normal. La voie de gauche s’allume aussi pendant cette phase mais seulement jusqu’à la deuxième diode, donc pas de son dans le HP.
Il y a une solution : j’allume le BR et sélectionne une autre entrée que l’optique sur le BR jusqu’à ce que le CD soit reconnu, mais c’est galère. Je n’avais pas le problème avec mon lecteur CD précédent utilisé en drive car je sortais en coaxial. Que l'ampli soit branché ou non, le XLR branché ou non, ne change rien.
Bizarre, quand même. Je pensais de toute façon changer de drive un jour avec un lecteur CD ‘’classique’’ et repasser sur du coaxial mais j’aurais aimé résoudre cette petite question.
Merci.

Ou un lecteur BluRay universel, je conseille tout à fait le Denon DBT 33013 à cause de son rapport qualité/musicalité/prix actuel. Rien à voir avec le Panasonic DMB 110 qui, peut-être, a un problème...
JACBRU
 
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