► CRITIQUES des derniers films vus

[lag@uffre]

Ce film est bizarre à tous les niveaux, on passe du film d'espionnage classique aux scènes d'actions les plus farfelues...Même sur les scènes d'actions j'ai à redire. Celle qui sont courtes sont fulgurantes, contrairement au final. Là c'est vu et revu et pas très joli.

[Fafa]

Résumé : Dans un château anglo-saxon reculé en pleine campagne, un mariage haut de gamme raté, à cause d'une mariée atteinte de "mélancolie".
Les invités partis, s'en suit la menace de fin du monde en huis clos, dans ce château.

Réalisé par Lars Von Trier
Avec Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Kiefer Sutherland...
Genre : Drame bizarre
Date de sortie cinéma : 10 août 2011
Origine : Danemark | Suède | France | Allemagne

Après Ante-Christ, je m'étais dit de ne jamais plus voir un film de LVT.
Bon, après ce nouvel essai, je me dis encore la même chose!
Bon, au moins, ce Melancholia n'est pas porno-gore comme Ante-Christ et donc peut se regarder en famille.

La première partie, celle du mariage, est d'un ennui profond. Il ne se passe pas grand chose et on constate une famille peu soudée dont tout semble les mettre mal à l'aise.
En soi, cela peut être riche, mais c'est désespérément trop long (surtout l'interminable intro) et l'interprétation est vraiment hasardeuse, laissant place à l'ennui.

La seconde partie, celle du huis clos avec la menace de fin du monde, est nettement plus intéressante et se laisse bien regarder, même si l'interprétation n'est pas encore d'un haut niveau.
J'aurais aimé une fin plus puissante, permettant de vraiment sentir le désarroi et la peur des personnages... Mais pour cela, il fallait avoir des acteurs habités par leur rôle, ce qui n'était pas le cas.

Tout comme pour Ante-Christ, j'ai l'impression que LVT se regarde le nombril : il fait ses films pour lui et je suis certain qu'il doit penser que ce sont des chefs d’œuvre. Il est vrai qu'on ne peut pas lui enlever leur originalité, tant dans les scénarios que dans la mise en scène.
Mais je pense que je l'apprécierai beaucoup mieux en réalisateur de clips qu'en réalisateur de films!

Note : 8/20 (grâce à la seconde partie)

[le loup celeste]

Captain America: The First Avenger de Joe Johnston:

Steve Rogers, frêle et timide, se porte volontaire pour participer à un programme expérimental qui va le transformer en un Super Soldat connu sous le nom de Captain America. Allié à Bucky Barnes et Peggy Carter, il sera confronté à la diabolique organisation HYDRA dirigée par le redoutable Red Skull...

Avec ce Captain America: The First Avenger, le bon faiseur Joe Johnston formé à l'école classique de Steven Spielberg / George Lucas, nous propose un blockbuster estival très efficace emballé tel un serial à l'ancienne.

Le scénario mélange les genres (action, aventure, guerre) avec un timing proche de la perfection et s'applique à narrer avec beaucoup de second degré les origines du mythe Captain America tout en présentant une pertinente relecture historico-politique des années 40, les répliques font très souvent mouches, les personnages parfaitement interprétés (Chris Evans, Tommy Lee Jones, Hugo Weaving...) sont développés, attachants et charismatiques (le héros Steve Rogers et le vrai méchant Red Skull sont mémorables), les décors et costumes sont délicieusement rétros, les véhicules ont un étonnant design rétro-futuriste, les scènes d'actions à défaut d'être nombreuses sont aussi rythmées que lisibles, et la bande originale d'Alan Silvestri est d'excellente facture.

Au final, Captain America: The First Avenger est un très bon film d'aventure à l'ancienne et n'est rien de moins que la meilleure adaptation super-héroïque de la compagnie Marvel devant L'Incroyable Hulk, Iron Man et Thor ... de quoi patienter jusqu'à la sortie évènement du film les réunissant tous, à savoir The Avengers.

*****

Critique complète...http://www.leloupceleste.fr/article-captain-america-first-avenger-104008120.html

[Fabi]

La belle personne



Réalisé par Christophe Honoré
avec Louis Garrel, Léa Seydoux, Grégoire Leprince-Ringuet, Clotilde Hesme, Chiara Mastroianni, ...
Genre : Comédie dramatique Sortie le 17 septembre 2008
Pays : France
Année de production : 2007
Durée : 90 mn

[youtube]wmP6QNebjwQ[/youtube]

Synopsis : "Junie, seize ans, change de lycée en cours d'année suite à la mort de sa mère. Elle intègre une nouvelle classe dont fait partie son cousin Matthias. Il devient son ambassadeur auprès de sa bande d'amis. Junie est vite courtisée par les garçons du groupe, elle consent à devenir la fiancée du plus calme d'entre eux, Otto. Mais bientôt, elle sera confrontée au grand amour, celui de Nemours, son professeur d'italien. La passion qui naît entre eux sera vouée à l'échec. Ne voulant pas céder à ses sentiments, Junie s'obstine à refuser le bonheur, car il n'est à ses yeux qu'une illusion."



Quel ne fut pas mon étonnement, à la suite du visionnage de ce film, de découvrir qu'il avait été tourné très rapidement, en réponse notamment au commentaire (certainement connu de la majorité des Français mais qui n'était pas arrivé à mes petites oreilles de Belge pourtant curieuse), pour le moins étonnant dans la bouche d'un chef de nation :

"L'autre jour, je m'amusais, on s'amuse comme on peut, à regarder le programme du concours d'attaché d'administration. Un sadique ou un imbécile, choisissez, avait mis dans le programme d'interroger les concurrents sur La Princesse de Clèves. Je ne sais pas si cela vous est souvent arrivé de demander à la guichetière ce qu'elle pensait de La Princesse de Clèves... Imaginez un peu le spectacle !""

Blessé et accablé que "certains puissent défendre l'idée qu'aujourd'hui on n'a rien à apprendre d'un roman écrit il y a trois siècles", Christophe Honoré réalise ce pied-de-nez avec "la hargne de celui qui veut apporter un démenti" , soulignant par cette transposition de la Princesse de Clèves dans un milieu estudiantin contemporain, la "nécessité de l'art pour l'expérience humaine".
"La Belle Personne", outre le fait d'être un film superbe, se double, par sa démarche engagée, d'un intérêt d'indignation à saluer.

Au-delà de ça, cette Belle Personne m'a séduite par le caractère éternel de ses valeurs, par l'intensité du récit sous une légèreté qui n'est qu'apparence, par le personnage de Junie, si noble et idéaliste, et par la belle interprétation de Léa Seydoux.
La Belle Personne, c'est surtout la poésie particulière de Christophe Honoré, une poésie qui me trouble et m'émeut, mélange de douce mélancolie et de tendre amertume.

9/10

[youtube]ld5OsG94bvc[/youtube]

"La patience me va, et en t'attendant, c'est tout ton corps que je récite par coeur,
tes bras si doux, tes lèvres, l'odeur de tes cheveux.
Et tes genoux, dire que même de tes genoux je suis amoureux..."

Sujet dédié : ici

[Emmanuel Piat]

Eva - 1er long de Kike Maillo - vu au ciné en VOSTFR (VO espagnol)

Ce film fait en quelque sorte honneur à cette année du centenaire de la naissance d'Alan Turing qui fut un immense chercheur au destin brisé par la stupidité d'une société intolérante.

"Eva" s'interroge et nous interroge sur la possibilité d'une robotique humanoïde et sur certaines conséquences possibles si jamais elle parvenait à donner l'illusion de l'humanité, à l'instart du test de Turing. Ce thème a déjà été abordé par le cinéma. On peut penser par exemple au film IA de Spielberg. Le traitement dans Eva est très différent de ce dernier. Il s'appuie essentiellement sur une construction dramatique entre 3 protagonistes humains qui se trouve catatalysée par la dimension robotique abordée par le film. Les 3 protagonistes sont un scientifique qui revient d'une longue absence pour achever la création d'un enfant robot, une femme dont il était et est encore amoureux, et son frère, lequel a épousé cette femme. Les relations entre ces trois personnages vont être à l'image des sentiments amoureux qui les habitent et la tension qui va s'instaurer entre eux va être renforcée par le fait que le scientifique va choisir Eva, la fille de la femme et du frère, comme modèle pour le robot enfant -- Eva qui pleine de vie et très espiègle va très vite apprécier la compagnie du scientifique et découvrir qu'il est encore amoureux de sa mère...

En toile de fond du drame qui va se jouer entre ces 3 adultes et cet enfant, on assiste également à la mise en avant d'une vision du futur crédible en terme de robotique humanoïde et animal. Tantôt amusante, tantôt énervante, cette vision interpèle le spectateur qui ne peut s'empêcher de se demander s'il aimerait lui-même être en contact avec de tel êtres articiels.

En avant plan de ce contexte essentiellement axé sur la robotique de service, on assiste également à la tentative de création d'un enfant robot. Cette fois-ci, il s'agit de créer un être dont la seule fonction serait de se faire aimer par des adultes comme dans le film IA. De la robotique de service "matériel", on passe donc à la robotique de service "immatériel", le service en question devant permettre à des adultes de s'accomplir psychiquement face à l'enfant robot. Le film est alors forcé d'aborder la question des qualités que devrait avoir un tel robot pour donner l'illusion d'un enfant désiré ou apprécié. Au début on peut penser qu'il le fait très maladroitement et de manière superficielle où même carrément simpliste. Mais le film est en fait plus subtil que cela grâce à sa construction dramatique et c'est-là toute sa force qui trouve son achèvement dans la dernière scène troublante, voir même dérangeante.

Malgré ses qualités et son originalité dans un genre souvent massacré au cinéma, il n'en reste pas moins qu'Eva a aussi quelques défauts. Déjà le flash-forward au début du film dessert totalement l'intrigue dramatique. C'est une erreur grossière et totalement incompréhensible. Ensuite, le jeu très hispanique des acteurs ne m'a pas toujours convaincu (hormis l'enfant qui joue Eva qui est très bien). J'aurais personnellement aimé plus de tension dramatique. Les acteurs semblent aussi parfois un peu en décalage. Enfin, la manière dont est créé l'esprit du robot enfant ne peut que faire sourire par son apparente simplicité face à un problème aussi complexe philosophiquement et scientifiquement. Par contre, c'est très beau graphiquement avec un concept de téléchargement assez génial inclu dans l'interface virtuelle. Le choix des tons chauds de l'interface est aussi bien trouvé car il donne l'illusion d'une espèce de cocon créateur ou règne une douce chaleur.

Au chapitre des bonnes idées qui ne coutent rien en terme de mise en scène pour un film d'anticipation à petit budget, on retiendra aussi les extérieurs eneigés qui introduisent un soupçon d'étrangeté et d'originalité par rapport au contexte hispanique des acteurs. Le film a été tourné en partie dans l'arc franco-suisse, notamment au niveau du lac de Joux à quelques dizaines de km de chez moi...

Un interview du réalisateur (attention énormes spoilers dedans, j'en déconseille totalement la lecture avant la vision du film) :
http://tvcinephages.blogspot.fr/2012/03 ... etait.html

[chris.24]

EVA

Je l'ai vu mercredi en VOSTFR également avec mon fils (11 ans 1/2) qui a bien aimé aussi.

Comme toi j'ai regretté le montage avec cette scène du début qui dessert le scénario plutôt qu'elle l'enrichit. Je ne comprends pas non plus son utilité, dommage...

Par contre je n'ai rien observé d'anormal dans le jeu des acteurs ou le côté "hispanisant" de leur jeu (d'ailleurs en quoi cela consiste-t-il ?) J'ai trouvé leur jeu d'acteur juste, tout en subtilité, en réserve, tout en tensions sous-jacentes et la relation entre le créateur de robot et la petite fille en est touchante.

J'ai trouvé beaucoup de qualités à ce film : des effets spéciaux (au demeurant bien faits) qui ne sont pas ostentatoires car finalement au service de l'histoire et de cette relation qui est le cœur du film (plus que le trio entre les adultes, le triangle amoureux, à mes yeux), quelques bonnes notes d'humour savamment distillées (le robot nettoyeur est vraiment bien trouvé !), et une montée en tension dramatique vers un final auquel on ne s'attend pas. Une belle histoire, forte et poignante, qui soulève encore une fois (cf. A.I.) beaucoup de questions auxquelles nous serons j'en suis sûr, confrontés de notre vivant (enfin si nous passons 2012 bien sûr ! ^^)

Bref, beaucoup de plaisir au final, et à nouveau aussi la démonstration qu'économie de moyens, d'acteurs et de lieux, ne rime pas avec pauvreté et inintérêt. Bien au contraire.

16/20

[Salvor Hardin]

Underworld Evolution : Channel 4 HD

pan-pan, pan-pan, pan-pan, & pan-pan...

5/20

[hydrosaure]

Underworld Evolution : Channel 4 HD

pan-pan, pan-pan, pan-pan, & pan-pan...

5/20

Félicitations si tu as tenu jusqu'au bout

[damrod]

Underworld Evolution : Channel 4 HD

pan-pan, pan-pan, pan-pan, & pan-pan...

5/20

Félicitations si tu as tenu jusqu'au bout

y'a une astuce pour ca..tu mates kate en tenue cuir moulante...si tu detournes le regard c fini...

[damrod]

vu hier
lock out...
12/20 on va dire
ca vanne pas mal de la part du heros donc ca permet de faire passer la sauce....bon apres c une sorte de new york 97 dans l'espace
ca se laisse donc voir

jeudi soir : captain america
pas mal du tout, bien mieux que thor ou hulk....fidele au personnage je trouve
demain c avengers, les critiques ont l'air pas mal...on verra bien
je vais essayer d'aller a la seule seance en 2D...apres tout c un film 3d-isé, pourquoi j'irais me farcir les lunettes + un supplément a payer !

[Guts59]

Ah ouai quand même...
Je trouve Captain America assez mauvais, clairement le moins bon Marvel selon moi.
Thor moyen, Hulk assez bon, Iron Man bon et The Avengers très bon.

[Emmanuel Piat]

Starbuck - BR US - VO québécoise

Petite incursion dans le cinéma Québécois avec cette comédie qui a récemment été rattrapée par les révélations concernant Bertold Wiesner en Angleterre :
http://www.dailyactu.com/insolite/insem ... 14943.html

Ce film raconte l'histoire d'un looser patenté qui découvre qu'il est le père de plusieurs centaines d'enfants suite à des dons répétés de sperme. Une bonne centaine de ces enfants a créé une association pour découvrir qui est leur géniteur et va se pourvoir en justice pour demander la levée de l'anonymat du don de sperme de leur père biologique. L'homme décide alors se faire aider par un pote avocat plutôt spécial pour se défendre et garder son anonymat et commence parallèlement une longue prise de conscience qui va l'amener à totalement changer.

Starbuck est une comédie très sympathique sur la prise de conscience de la paternité pour un homme qui n'y est pas du tout préparé. Le contexte évidemment particulier joue le rôle d'un démultiplicateur de sentiments et d'émotions et constitue le ressort de cette comédie. Notre homme va ainsi passer peu à peu du stade du déni à celui de la prise de conscience puis de l'empathie vis-à-vis de ces enfants. Parallèlement cela va lui permettre de remettre de la stabilité dans sa vie totalement déglinguée pour gagner en maturité, et arriver à construire une relation stable avec une femme. Le ton du film est amusant avec un humour québécois omniprésent et souvent de petites touches de profonds délires sur les relations homme-femme-enfant (par contre, on ne comprend pas toujours tout ce qui est dit, québécois oblige...). Starbuck est donc une belle comédie humaniste qui a fait passer à toute la famille une super soirée. La première scène est un peu hot, à chacun de voir par rapport à ses enfants en fonction de leur âge.











@+
Emmanuel

[wopr]

Underworld Evolution : Channel 4 HD

pan-pan, pan-pan, pan-pan, & pan-pan...

5/20

Félicitations si tu as tenu jusqu'au bout

Je vous invite à voir le dernier qui est aussi nul si ce n'est pire !

Je l'avais vu avec mon fils qui a aimé (mais faut l'excuser ,c'est un ado avec les hormones qui le travaillent ) et j'ai eu l'impression de voir le même type de film que les Resident Evil : une nana sexy athlétique qui sait manier les armes ,de l'action ,du boom-boom et des monstres .

[damrod]

Ah ouai quand même...
Je trouve Captain America assez mauvais, clairement le moins bon Marvel selon moi.
Thor moyen, Hulk assez bon, Iron Man bon et The Avengers très bon.

le pb de captain america c que la maniere de tourner manque de peps parfois mais ce film sert juste a présenter le perso...et pdt les WW2 meme dans les comics ct pas du délire a tout va niveau pouvoirs donc forcément ca peut décevoir
hulk, celui avec norton est pas trop mal...le combat final etant raté qd meme...iron man le 1 est bien, le 2 c un remix gonflé aux hormones donc moins interessant...

sinon the avengers : clairement bien foutu ce film !!
bien rythmé, combats crédibles, tout en évitant de se prendre au serieux...et surtout bien filmé, moins caméra folle que les transformers ou autres

si vous regarder le générique de fin, on vot le bad guy qui commandait les troupes alien...pour ceux qui connaissant l'univers marvel, c Thanos !! ca promet si c lui qu'on retrouve dans le avengers 2 !!
http://fr.wikipedia.org/wiki/Thanos_%28Marvel_Comics%29

[Emmanuel Piat]

Voyage en famille - réalisé par Pablo Trapero en 2004 - DVD - vu en VOSTFR (VO espagnole)

Synopsis Allociné :

C'est l'anniversaire d'Emilia : elle fête ses 84 ans... Très émue, la vieille dame annonce à toute sa famille que sa nièce l'a choisie comme témoin de son mariage... à 1 500 kilomètres de là ! Pour entreprendre ce long périple de Buenos Aires à Misiones, où elle est née, Emilia souhaite que tous l'accompagnent, de ses arrière-petits-enfants aux cousins de ses filles... Qui pourrait lui refuser pareille demande ?
A bord d'un antique camping-car, la famille au grand complet prend la route. Quatre générations d'adultes et d'adolescents se côtoient, se découvrent et surmontent rancoeurs et frustrations pour tenter d'arriver à temps au mariage...
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... 57543.html

Proche du docu fiction, ce petit road movie avec l'Argentine rurale en toile de fond nous convie à un long voyage en étant au plus près de cette famille, avec une caméra dont le style volontairement proche de l'amateurisme pourrait presque nous faire croire que c'est filmé par un des protagonistes. Les ados flirtent, les adultes essayent de se supporter, il fait une chaleur implacable, les tensions, les joies, les frustrations sont inévitables ainsi que le lot d'emmerdes que ce genre de voyage peut occasionner. Le tout donne un film patchwork avec une succession de petits instants qui mis bout-à-bout donnent une oeuvre qui reste mineure mais qui est dépaysante une fois qu'on parvient à se glisser au milieu de cette famille (car il m'a fallu un petit temps d'adaptation pour rentrer dans la film, peut être à cause du décalage culturel). En tout cas, j'ai apprécié le voyage qui m'a rappelé quelques vieilles lectures sud-américaines...