Définition du Larousse :
Action systématique exercée sur l'opinion pour lui faire accepter certaines idées ou doctrines, notamment dans le domaine politique ou social : La propagande électorale.
A chacun d'en tirer les conclusions.
Les récentes études battent pourtant en brèche tous les mythes liés aux mouvements LGBT et à cette mode de notre siècle de vouloir rendre tout comportement marginal comme normal. Nous souffrons tous de certaines pathologies liés au sexe. Addiction au sexe, à la pornographie, aux stimulations, au voyeurisme, a l'exhibition, au paraître, à la consommation de masse, à être un prédateur, un violeur, où même à faire notre possible pour être fidèle à notre conjoint voire à le tromper pour tester. A l'inceste et à l'attirance pour une personne du même sexe consommé ou non. Boc21 pourrait nous dresser une liste plus complète. Certains comportements sont des délits ou des crimes. D'autres des actes consentis entre adulte. Libre à chacun de les assumer. Sans pour autant imposer ces déviances comme la norme.
http://reinformation.tv/tromperie-ideol ... n-63915-2/Le texte rappelle en effet que deux « bombes » ont explosé récemment, réduisant en miettes ces mythes. La première fut celle constituée par l’étude publiée le 23 août dernier par le journal scientifique The Journal – The New Atlantis. Deux universitaires de renom, le Dr Lawrence Mayer, expert en psychiatrie et en statistiques, et le Dr Paul McHugh, y notaient d’emblée que la communauté LGBT est affectée de manière disproportionnée par des problèmes de santé mentale par rapport à la population dans son ensemble et qu’ils sont opposés à la « discrimination » à l’égard des personnes et de la communauté LGBT. Mais les faits suivant sont établis, après étude de centaines d’articles scientifiques sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre, affirment-ils :
Les mythes de l’idéologie LGBT
• La croyance selon laquelle l’orientation sexuelle est innée, et constitue une caractéristique humaine fixée par la biologie – le fait que les hommes seraient « nés comme ça » – n’est validée par aucune preuve scientifique.
• La croyance selon laquelle l’identité de genre est une caractéristique humaine fixe et innée, indépendante du sexe biologique – de telle sorte qu’une personne pourrait être « un homme prisonnier d’un corps de femme » ou « une femme prisonnière un corps d’homme » – n’est validée par aucune preuve scientifique.
• Seule une minorité d’enfants qui expriment des pensées ou ont des comportements atypiques par rapport à leur genre continueront de le faire à l’adolescence ou à l’âge adulte. Il n’existe aucune preuve selon laquelle de tels enfants devraient être encouragés à devenir transgenres, sans même parler de leur faire subir des traitements hormonaux ou chirurgicaux.
• Les personnes non hétérosexuelles et transgenres présentent un taux de problèmes mentaux (anxiété, dépression, suicide) ainsi que les problèmes comportementaux et sociaux (toxicomanie, violences sur partenaires) plus élevés que celui de la population en général. La discrimination seule ne rend pas compte de la disparité en son ensemble.
La deuxième bombe décrite par l’article concerne les recherches de l’activiste lesbienne, le Dr Lisa Diamond, de l’American Psychological Association (APA), qui vient de reconnaître que l’orientation sexuelle est « fluide » et susceptible de changer. Ce faisant, elle a confirmé que l’idée selon laquelle « les homosexuels ne peuvent pas changer » est aujourd’hui une théorie dans l’impasse. La recherche, a-t-elle assuré lors d’une conférence à Cornell University, a aujourd’hui établi que « l’orientation sexuelle, y compris l’attraction, le comportement et l’identité perçue, est fluide à la fois pour les adolescents et pour les adultes des deux genres », résume REAL Women.
La riposte des militants du genre : contrer l’idéologie, c’est « discriminer »
Et pourtant, des lois de divers Etats des Etats-Unis ainsi que de l’Ontario interdisent la « thérapie réparatrice » qui cherche à venir en aide aux patients aux prises avec une attraction homosexuelle dont ils ne veulent pas. Ces lois sont fondées sur l’immutabilité de l’orientation sexuelle, dont la science vient pourtant de confirmer qu’il s’agit d’un mythe.
« La seule chose que la science nous dit réellement, c’est que nous naissons homme ou femme », observe l’article. Tout le reste n’est qu’inanité.
Il va de soi que les grands médias n’ont pas donné un grand retentissement à ces études. Mais la panique gagne les groupements LGBT. Le groupe homosexualiste Human Rights Campaign s’est fendue d’une attaque frontale contre New Atlantis, accusant les auteurs de l’étude, Mayer et McHugh, de faire de l’activisme anti-LGBTQ pour « marginaliser » les gens à travers des « déclarations trompeuses » et des « interprétations tendancieuses ».
Les mouvements LGBT ne se gênent pas, elles, pour marginaliser la majorité des personnes par des déclarations trompeuses et des interprétations tendancieuses à travers un activisme fort et bien introduit au sein de nos instances politiques et les médias qui favorisent leurs idées sous forme de propagande. Jusque dans les manuels scolaires pour tenter de tuer l'opposition dans l’œuf.
Après, vous en faites ce que voulez.