et tant pis, je vais fatiguer vos yeux avec ce long message mais comme cela vous arriverez, peut-être, à suivre le lien de mes pensées décousues !
A la demande de mes professeurs ce devoir sur mes vacances hifi !
Je commence par le milieu, c’est à dire aujourd’hui, et on va fonctionner par flashback et flashup !
Un dernier petit essai du Farfadet avec ni Linn, ni Tannoy mais mes nouvelles enceintes qu’il va me falloir baptiser d’ailleurs. En plus, un l’ampli à base de tripath qui a été construit pour elles. Désolé Tourteau mais toujours pas convaincu par ce lutin, disons que je ne l’échangerais pas contre le préampli Linn ou le préamp DIY construit, toujours, pour ces nouvelles enceintes qui m’enchantent. Grave et aigu baissés grâce aux boutons idoines et pourtant médium en retrait avec comme un écho tout autour des voix, on va le dire : ce Farfadet est brouillon…
Ne t’en fais pas Tourteau, je pourrais te prêter mon ensemble Linn et si affinités on discutera, je pense qu’il doit se marier à merveille avec tes AN. En tout cas vu ce qu’il est capable de faire sur les Phy hp j’ose affirmer qu’il s’agit d’une des mes meilleures acquisitions (500 roros) L’ampli Linn Lk 2.80 et son préampli Linn LK 1 dopé par une alimentation Dirak est une très efficace machine à gain ! Encore maintenant, bien que l’ensemble d’amplification / préamplification DIY fonctionne mieux sur tout un tas de critères audiophiles, j’ai du mal à me décider tant la musicalité est au rendez-vous. Il est vrai que le Linn est moins transparent mais il a ce côté fluide qui le rend attachant et sert admirablement bien la musique. Pour bien que vous compreniez, les vieux enregistrements ou les moyens passent mieux avec le Linn, Nina Simone émeut plus qu’avec le système Tripath qui, lui, est plus impitoyable et renvoie les disques à leurs limites…
Mes enceintes, baptisons les donc, ce sont des Rophyra2, Ro pour Rondo dont elles prennent la forme, Phy pour Phy HP, les légendaires transducteurs larges bandes, Ra2 pour 2 fois Ra soit Ra pour le Tweeter à ruban Raven 2 qui s’occupe du haut et Ra, aussi, pour le caisson à base de Raptor 12, un HP de grave d’une rigidité surprenante, difficile de le faire bouger à la main. Donc j’ai des Rophyra2 et ce sont des enceintes DIH, Do It Himself, il les a faites lui-même le monsieur qui les a construit, monsieur qui n’est pas moi !
Que vous dire sur elles ? Je suis arrivé une fin d’après midi avec elles et ma fille, un branchement rapide,un poil fiévreux et la magie a fonctionnée tout de suite avec le Lk 2.80 et le préampli DIY qui a l’avantage d’avoir 2 sorties, une pour l’ampli et une autre pour l’ampli de basse, cette deuxième étant atténué pour s’accorder au mieux. Sans réglages et déjà je m’assois avec la certitude que mes 10 prochaines années, au moins, ont trouvé leur principale compagne musicale. Un bond par rapport à mes précédentes compagnes mais comme tout bond honnête, il n’est pas spectaculaire ou surlecultant, plutôt fait de beaucoup de petits détails qui rend l’écoute voluptueuse… Surtout mon cahier des charges est rempli, je voulais une meilleure écoute à bas niveau, je l’ai, je voulais une meilleure intelligibilité sur les messages complexes, je l’ai, je voulais une meilleure exploration du grave, je l’ai… D’ailleurs, avec ma surdité partielle, ce qui me surprend en premier et la compréhension des paroles que parfois j’avais du mal à bien déchiffrer…
6 heures plus tard, et oui c’est les vacances, je retrouve le Farfadet bien chaud et tout est chaud, je n’ai rien éteint. Dernier essai et cette impression brouillonne qui persiste… Je rebranche le préamp DIY et l’évidence de la perfectibilité du lutin est immédiate ! Désolé Tourteau mais définitivement pas emballé par ton futur Farfadet mais il est possible que les AN et le Trend soient heureux de ce partenaire ainsi que tes oreilles. Une petite suggestion quand même, l’alimentation de ce préampli est assez alimentation sommaire, un gros transfo de téléphone portable, peut-être une piste à explorer car, à priori, cet aspect est en général très travaillé dans les modèles assez HDG, il doit y avoir quelques raisons.
Voilà bien là toute la difficulté d’une écoute critique, j’essaie d’être relativement sérieux et multiplie les associations tout en conservant les réserves initiales. Pourtant je sais aussi que ce Farfadet peut plaire ou ravir… Comment émettre un jugement clair qui ne soit lapidaire puisque nous touchons au domaine du goût. On pourrait synthétiser en disant simplement « je n’aime pas » tout en étant ouvert au fait qu’on puisse aimer… Il faut quand même relativiser un point, mes attentes sur ce préampli furent grandes donc la « déception » à la hauteur, 2.000 € le Farfadet à sa sortie, mais avec des attentes moindres j’aurais pu avoir un tout autre avis !
Mais revenons au début, au monde de la musique, au réel ou à la réalité que certains cherchent à travers les sons et les notes, là ou je ne vois que doute…
Mes Rophyra2 en place je redécouvre mes CDs ou Vyniles, me plonge dans une autre « interprétation » musicale de leur contenu et c’est déroutant. Ma foi on s’habitue bien vite et l’oreille se fait aux sons au point d’être un poil dérangée en face de nouvelles propositions. J’admire ceux qui d’un trait d’écoute juge et analyse, ils ont de l’expérience ou savent très précisément ce qu’ils attendent. Pour ma part je tourne autour des nouveautés à la fois émerveillé et surpris. S’il est indiscutable que mes nouvelles enceintes vont plus loin en tout, sont audiophilement meilleures car tous les sons sont mieux, le sont-elles musicalement ?
C’est la toute la question, tous mes repères changent et du coup la musique n’est plus complètement la même, plus celle que j’ai l’habitude d’entendre, un peu comme découvrir un corps aimé nouveau sous la main après une longue absence. Cela surprend et ne manque pas d’interroger ! Oui je découvre plein des petits sons, oui les basses ou percussions sont enfin complètement intelligibles mais du coup mon Monk, ma Cassandra ou ma Sarah changent, même Abbey avec Stan ne jouentplus exactement la même symphonie que celle qui ont chanté au long de ces 20 dernières années… Etrange ?
Une idée, je prends mon petit Dared à tube, le MP 15 et l’essaye sur les Rophyra2… Oui, les voix sont plus dans mes repères mais les 2*18 w ne suffisent pas pour ces voraces phys et je débranche en moins d’une journée. On s’habitue vite à ne plus descendre sans forcément s’habituer au changement. Le retour en arrière est un bon moyen de valider l’intérêt de la progression quand elle ne s’impose d’elle-même.
J’ai photographié un temps des femmes nues, pas facile car rien n’est moins beau qu’une femme nue (ou un homme je suppose). Il faut vraiment se concentrer sur la lumière pour l’habiller, anticiper sur les tirages pour trouver de l’inspiration en ces corps offerts alors qu’ils sont rêvés, enfin une manière de dire fantasmés !.
Peut-être ai-je atteint les rivages de la musique nue, cela surprend et nécessite un apprentissage pour s’éclairer. Je me dois donc apprendre cette interprétation de la musique afin que mes repères évoluent, se transcendent donc…
Un peu de vinyle car je suis quand même arrivé à mater cette cellule avec ces trop petits tétons pour les gaines officielles et mater aussi ce préampli phono Plinius ! Pour les tétons rien de plus simple, on enlève la platine pour la poser sur une table, on s’assoit avec une petite pince et on enlève les gaines plastiques qui protègent les 4 réceptacles femelles au niveau du bras. On pince doucement et on fait entrer les appendices mâles de la cellule. On continue jusqu’à obtenir un ajustement parfait des éléments emboîtants et ceux emboîtés. Le tour est joué avec la patience d’une mère maquerelle qui cherche les couplages les plus efficients !
Pour le Plinius, une autre paire de manche, démonter tout, remonter tout, essayer beaucoup et trouver in fine une bonne conjonction pour éviter ce fâcheux bourdonnement ! Il faut relier la masse de la platine à la masse du préampli et ensuite trouver un fil pour relier la masse du Plinius à ce même préampli et la moitié du travail est fait ! L’autre moitié est de trouver la bonne valeur de charge avec les Jumpers, mauvaise valeur et un bourdonnement plus ou moins important se fait entendre, bonne valeur et silence total !
Je fais pas vous faire le coup du spécialiste en vinyle mais bon cette DL301 avec son transfo Au 300 sur le préampli Plinius et qui attaque un étage ligne d’un préampli quelconque, ben c’est le bonheur ! Tout marche bien, pas de souffle et si le disque est propre tout est agréable ou point ou ne se pose aucune question de savoir s’il s’agit d’un Cd ou d’une galette sauf quand il faut se lever. D’ailleurs j’ai un disque témoin, un disque Denon qui voulait démontrer la supériorité de l’enregistrement numérique et de son convertisseur N/A 16 bits avec une plage dynamique de 100 Db même en vinyle. Je sais pas ce qui a été démontré mais je sais que sur ce disque mon système analogique s’en tire à merveille, sans un souffle et avec de beaux zégus qui vrillent pas les oreilles ! Bref une cellule pour Fargo s’il s’offre un caisson !
Et pis j’ai la zik du film Kagemusha de Kurosawa, une horreur pour les cellules ! Bon c’est bien beau mais il faut que je me lève pour changer de face ! Ah c’est pas mal le cidi quand même !
Allez Ben Webster et Joe Zawinul, et oui le très beau sax qui fait pleurer le fargo (et moi…) ou quand le Mainstream s’acoquine avec un autrichien qui prétend savoir jouer du Jazz… et Weather Report, plus tard, cela vous dit ?
Mes oreilles s’habituent à cette nouvelle proposition. Je crois qu’il faut avoir une certaine humilité à l’écoute de nouveaux systèmes, ne pas juger trop vite, prendre le temps de s’immerger dans un autre univers et s’habituer au fait que les sons changent, progresser c’est surtout savoir remettre en question nos habitudes… J’écoute une musique plus nue, moins romantique mais si jubilatoire. J’entends la ligne de basse qui dissone ou la main gauche du pianiste que je croyais ferme devenir une pompe mais c’est ainsi, toute vérité n’est pas bonne à entendre !
Je crois que j’ai profité d’un formidable raccourci, des gens « sachants » qui se sont escrimés à concevoir un système complet (ampli et enceintes) dont je profite maintenant. Merci à M X, concepteur de cela et à bobo91 d’avoir osé s’en séparer… Lui et moi savons que les raisons de cette vente, au fond, ne sont pas que matérielles, je l’en remercie encore plus…
On reprend des essais avec les Rophyras2 seulement, sans caisson quoi, pour tester toutes les associations avec le bloc de puissance tripath, l’ampli Linn, le Préampli DIY et le préamp Linn. Suis allé jusqu’à Caen trouver des fiches bananes pour ces essais ! Je ne vais vous le faire cas par cas. Pour résumer l’ensemble Linn est plus « charnel » mais moins transparent et l’ensemble DIY, plus « fin », il marque énormément les différences entres les enregistrements, mais moins « sensuel »… Je pourrais vivre avec les 2 sans soucis sauf qu’après avoir goûté à l’ampli Tripath, je crois que je vais essayer de le pousser aussi loin que possible avec la source et le préampli en point d’interrogation. Je crois bien avoir touché les limites de mon Derek Dac, j’attends de faire cette alimentation (suis fainéant) avant que d’envisager des essais plus poussés à ce niveau… Je crois que je vais essayer un préamp à tubes aussi, il me semble qu’une certaine fluidité, sensualité, peut être apportée par ce genre de préamp à condition qu’il respecte la « transparence » de l’ensemble.
Du boulot en perspective pour optimiser tout cela ! Mais le jeu en vaut vraiment la chandelle.
Ah les câbles, je crois bien que je vais me tourner vers du Supra en HP, avec une option pour de l’argent au niveau du Tweeter, et du Mogami ou du Stratos en modulation …
Hier nuit un tit tout du côté du Jazz Samba, Kenny Dohram, Sony Stitt, Ray Baretto, Stan Getz mais aussi l’incontournable Ray Barretto qui nous a fait soute une série de ballades enfantines aux percus en concert une fois ! C’est quelque chose de voir un monsieur jubiler avec « petit papa noel » joué sur ses peaux tendues et public ravi de reprendre ces airs. Bien sûr, Jobim et Elias sans oublier Duke Ellington ou Dizzy Gillepsie, Archie Shepp ou ce diable d’Horace Silver, presque tous ont fait un tour du côté de l’Amérique latine, centrale ou des Caraibes. Le Cuba d’avant la révolution a influencé le jazz avant le brésil et il faut dire que la Havane fut un passage presque obligé des grandes formations du continent, rien n’était trop beau pour satisfaire la riche clientèle américaine qui y venait s’encanailler…
Hier j’ai donc écouté beaucoup de vieux disques, vieux enregistrements, et pourtant là aussi j’ai beaucoup gagné avec ce nouveau système. Bien entendu un Three Blind Mice ou un Cassandra vous propulse dans des délices audiophiles qui permettent le contentement béat et un peu fat au vu de la qualité des détails entendus, mais mais… En premier il serait dommage qu’une progression qualitative vous éloigne de la musique d’avant la stéréo, du piano d’Art Tatum ou de la voix de Bessie Smith, bref que d’être obligé de vous satisfaire de productions actuelles au pedigree microphonique irréprochable. Comme le disait Haskil, un meilleur système c’est aussi un gain qualitatif avec les vieux enregistrements et c’est le cas. La « mauvaise musique » que je possède reste de la mauvaise musique c’est à dire des intentions « artistiques » moyennes mais la « bonne musique », à mon entendement bien sûr, est encore meilleure ! Bien sûr l’ambiance étouffée des enregistrements de Tatum reste étouffés mais son piano gagne en intelligibilité et je comprends mieux son extraordinaire sensibilité qui se lit à travers sa non moins extraordinaire maîtrise du piano. Je comprends encore mieux qu’il se sert de sa technique pour mieux cacher un cœur ouvert, cela s’appelle de la pudeur je crois. En remettant tout cela dans son contexte, l’époque, la couleur de sa peau, on comprend, aussi, qu’il fallait faire preuve de technique avant que de voir sa sensibilité reconnue, un peu le passage obligé par le statut de singe savant en quelque sorte, briller dans ce qui ne nous est pas réservé. J’ai des vinyles de ce monsieur des années 30 à la fin des années 60 et à travers des notes il est passionnant de lire l’histoire.
Et le classique ? pour tout vous avouer, ce ne fut pas le moment… Je croyais m’y mettre un peu ces vacances mais j’ai surtout revisité mes disques… Satie ou Arvo Part sont « faciles » pour moi, un univers tout de suite reconnu, d’ailleurs je recommande L’hyperborean d’Arild Andersen (disque ECM) à Dub, mais pour Rossini, Savall, la Callas et autres je ne m’y suis pas mis. Je pense qu’il me faudra réécouter mes disques, me les réapproprier, les « re-classer » dans le sens de classer à nouveau les émotions qu’ils me procurent, sans doute en découvrir certains et en mettre de côté d’autres, avant que de pouvoir naviguer vers d’autres univers.
2 ans, seulement 2 ans dans ma vie j’ai eu mes disques et mes livres avec moi, nous avons vécu dans la même pièce sous les toits de Paris. Tout le reste du temps j’ai eu des disques et des livres dans des cartons stockés ici ou là. Je crois que je n’ai jamais vraiment eu l’impression de m’installer quelque part pour le moment. Il va falloir que je le fasse ne serait-ce que pour apprendre à mes enfants ou aller nourrir la curiosité de ce monde qui, j’espère, les animera autant que moi…
Dans ce lieu, je pressens que le classique se fera sa place en même temps que Dante, Montaigne Shakespeare, Virgile, Voltaire seront relus.
Et pour conclure sur mes Rophyra2 et l’ensemble de mon système, il y a quand même des points d’optimisations ou quelques points de « moins bien » pour le dire autrement. La spatialisation et la fluidité. Par rapport à mes souvenirs d’écoute chez Bobo91, le son emplissait plus la pièce. Comme il m’a prêté l’ampli et le préampli sur lequel j’avais fait mes écoutes, les seuls points de différences sont la pièce et la source. Je vais commencer par la source, enfin construire cette alimentation pour le Derek Dac et offrir un bon support au drive PDS06 avant que d’interroger une pièce pas encore trouvée d’ailleurs. Pour la fluidité, déjà la source pourra apporter quelques réponses à cela mais dans mes souvenirs l’ensemble du système avait un côté un poil Janséniste, de la rigueur face à une vérité sans fard. Je vais sans doute prendre mon temps pour tester la partie préamplificatrice, peut-être du tube, pour offrir à l’ensemble mon interprétation. D’autant plus que ce préampli est minimaliste, 2 sources possibles avec un switch à l’arrière et, surtout, un réglage de volume pas assez progressif à mon goût. Comme tout cela a été construit pour fonctionner ensemble, la recherche ne sera pas simple, sans doute aller faire un tour du côté de Kora, Audio Research, Sonic Frontier, Modwright. Pas Théorème car il me faut 2 sorties…
Dernier point, les phys hp ne sont pas du tout filtrés et fonctionnent donc en large bande (d’ou le besoin d’un ampli musclé) et on peut donc les écouter sans tweeter et sans caisson. Dans ce cas, ma foi, tout est cohérent et on peut prendre son plaisir sans retenue tout en appréciant les plus du Raven et du caisson. Les ajouts sont subtils et s’il s’agit d’une 3 voies techniquement parlant, la philosophie de l’ensemble est plus d’épauler le Phy HP que de construire une véritable 3 voies. Il me semble que c’est la seule solution pour pouvoir exploiter un Phy HP avec un tweeter et un caisson, ne pas le filtrer mais intégrer un supplément d’aigu et de basse pour l’accompagner. D’ailleurs Fargo serait surpris d’entendre le caisson de basse tout seul, il se met en route sur 1 disque sur 3 et il est tellement faible qu’on s’étonne de son apport. On a l’impression que le Phy fait plus de basses à lui seul que l’énorme Raptor.
Pour le vinyle j’ai terminé, Denon DL 301 et transfo Au 300 + préampli phono Plinius. Si je devais m’équiper aujourd’hui, je prendrais une platine de DJ, Stanton 150, pour 500 € on a tout de moderne et de compétition, un bras avec VTA, un couple énorme, un préampli phono intégré ainsi qu’un convertisseur A/N qui permet de directement numériser ses vinyles. J’y mettrais une bonne cellule, comme la Denon et basta ! Pour ceux qui voudraient tenter l’aventure vinyle, en dehors des débats stériles de la qualité, il ne faut pas oublier que le principal avantage du CD et qu’il s’use beaucoup moins qu’un vinyle ! J’ai beaucoup de vieux disques noirs et ma foi, en dehors de la nostalgie personnelle, ils sont inécoutables car rayés et fatigués. Il est vrai qu’un bon 33 tours bien pressé et neuf vous offre un son plus que satisfaisant mais au prix d’une mise en place assez contraignante. Bref, si vous n’avez pas une collection importante de vinyles, je ne vois pas grand intérêt à s’équiper sauf à aimer ce fétichisme… Il y a quand même un peu de « masturbation intellectuelle » autour du disque noir …
Cdt
simplicité quand tu nous tiens 
Créé le 07 Juil 2023 20:55
