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Musique enregistrée : BLURAY, CD & DVD musicaux, interprètes...

LES MEilleurs ENregistrements CLASSIQUES (Volume2)

Message » 13 Fév 2014 3:07

jbpfrance a écrit:Image

Voilà un CD qui ne peut laisser indifférent.

HERITAGE
Heritage - Sergei Rachmaninov
Works for Two Pianos
FONDAMENTA
2013

Sur 12 Steinway, n'en furent retenus que 2 parfaitement timbrés pour s'associer l'un à l'autre.

Techniquement, je trouve l'ensemble très clair, trop à mon goût. Mais la qualité "aigu/médium" n'est pas commune. Cà vaut l'écoute.
Cà ne ressemble à rien d'autre.

Disque dont la recherche est le "0" défaut. Y a tout de même un tabouret qui crisse de temps à autre (ou bien un des deux étouffoirs ?)

Lire les commentaires techniques sur RESMUSICA

http://www.resmusica.com/2013/12/06/her ... ux-pianos/


Merci à tous ceux qui ont rendu cette aventure possible dont particulièrement Absolue Creations qui a confectionné tous les câbles micros à la main... Le résultat est très précis. Le petit craquement que l'on entend en début de plage 1 n'est autre que le parquet de l'Arsenal de Metz qui travaille mais la prise était tellement incroyable que l'on a préféré le laisser...
L'Arsenal est une salle très claire, je suis d'accord avec toi mais c'est aussi l'une des seules qui pouvait accueillir un tel projet de par son cahier des charges... Au final, quel résultat ! Quelle dynamique ! (les "Larmes" de la 1ère Suite ou le Finale des Danses sont un véritable tour de force !)

On peut lire aussi ça : http://www.on-mag.fr/index.php/topaudio ... achmaninov
ou ça pour la qualité du son : http://www.on-mag.fr/index.php/topaudio ... achmaninov
fredicol
 
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Message » 13 Fév 2014 11:25

J'espère qu'ils vont garder les câbles pour une prochaine fois ! Une démonstration de plus que l'enregistrement a un poids énorme dans la qualité de la restitution. Le matériel de restitution optimise bien sûr encore.
Je me concentre beaucoup sur la qualité artistique désormais, mais la qualité de la prise de son me bloque souvent.
Ici, des enregistrements assez magnifiques combinant la qualité artistique (une référence de même que le Quatuor Tatrai) et technique:

Image

HAYDN
Quatuor Mosaïques
Naïve
Enr: 1989 (ou environ)
2013

Commentaires:
http://www.amazon.fr/Haydn-Quatuor-Mosa ... %C3%AFques
jbpfrance
 
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Message » 13 Fév 2014 13:02

jbpfrance a écrit:Fritz REINER
63 volumes
Complete Chicago Recordings
RCA (dont Living Stereo)

J'en ai écouté quelques-uns, et l'on retrouve le fameux son qui frôle les 4,70 .
La spatialisation plus le charme du médium nous emportent !
Il y en a un qui se plaint que çà n'a pas été réédité en SA-CD ! J'en fais partie :(
C'est vrai, dommage quand même. Quelques-uns l'étaient déjà. Et je ne m' en suis pas privé, j' ai raflé ce qu' il y a en Living SAcd et c' est :love:

http://www.amazon.fr/Fritz-Reiner-Compl ... iner+fritz


Hello jpbfrance :wink:

oui dommage, je ne prendrai pas en CD.
Barnabex
 
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Message » 22 Fév 2014 16:30

Image

Après quelques écoutes sur Qobuz (mais aussi sur Deezer où la durée d'écoute n'est pas limitée :wink: ), je me laisserai bien tenter par ces Noces de Figaro :wtf:
J'ai été emballé par le Requiem KV 626 de Teodor Currentzis et à l'écoute (en 320kbps) j'ai l'impression de retrouver la même patte.
Parmi vous, y a-t-il quelqu'un qui a écouté cet album en qualité CD ou Studio Master :wtf:

P.S. : Pour constater que tous les goûts sont dans la nature :roll: ... ci-après 2 critiques laissées sur Qobuz :

"Une horreur, il n'y a pas d'autre mot ! le sens de la respiration, le théâtre naturel, l'ambigüité sont des mots dépourvus de sens pour Currentzis que j'ai toujours entendu ultra mauvais et qui confirme ici sa nullité."

"C'est magnifique, j'ai écouté en streaming quelques pistes avant de sortir ma CB et de l'acheter ! Il est bientôt 4h du matin et je ne peux m'empêcher de continuer à écouter cet opéra que je connais tellement et que je redécouvre. Venez-y les yeux fermés mais les oreilles et le cœur grands ouverts :-) !"
dregnier
 
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Message » 23 Fév 2014 15:33

Pas étonnant qu'il divise, vu ses partis pris assez radicaux.
Certains conservateurs ne supportent pas les évolutions en matière d'interprétation.
HOLLIGER
 
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Message » 27 Fév 2014 16:02

Diapason lui a donné 3. Des reproches sur les voix essentiellement, plus que sur l'interprétation...3/5 pour la prise de son.
moeb
 
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Message » 27 Fév 2014 18:07

J'ai entendu d'autres sons de cloches, aussi bien pour l'interprétation que pour la prise de son. J'ai même lu que c'était la meilleure prise de son jamais entendue pour un opéra...
HOLLIGER
 
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Message » 27 Fév 2014 18:24

comme quoi, l'égout et les couts de l'heure....
:mdr:
toi tu la recommandes?
moeb
 
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Message » 27 Fév 2014 23:47

Pas écouté pour l'instant, donc difficile de m'avancer : mais le requiem m'a vraiment emballé, j'imagine que la prise de son doit bien être de la même veine.
HOLLIGER
 
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Message » 28 Fév 2014 17:16

Je viens de le commander en version BR et l'écoute en cloud en attendant de le recevoir, je ne suis pas un grand connaisseur mais ça me parle.....

Franck
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Message » 02 Mar 2014 13:18

Je ne connais pas la version Currentzis et je m'abstiendrai donc d'en écrire. Je signale que la version mythique de Erich Kleiber (le père de Carlos) est à présent disponible sur Qobuz en haute-définition (96/24). Il ne s'agit évidemment pas du format original. L'enregistrement date de premier temps de la stéréophonie et a été publié en vinyle. Il s'agit donc vraisemblablement de la transcription numérique en haut- définition de la matrice de l'enregistrement. La différence avec le CD est appréciable. L'osmose entre les voix et l'orchestre est plus tangible, ce dernier est plus présent et on perçoit mieux la remarquable direction musicale de Kleiber. C'est surtout l'orchestre qui est mieux détaillé principalement dans la partie la plus grave du spectre. J'ai d'ailleurs réduit le contre-grave de 4db car il demeure asses mal défini, même en haute-définition. Mais peu importe pour moi. Malgré les quelques défauts d'une prise de son qui remonte à plus de 50 ans , que l'on choisisse l'une ou l'autre des versions, l'enchantement est le même car c'est tellement beau de chant et d'allant que l'on oublie rapidement la vétusté de la réalisation sonore. Les chanteurs sont magnifiques. C'est un envoûtement dès que le rideau se lève sur la première scène où Figaro mesure la chambre que Suzanne et lui vont occuper après leur mariage à égale distance d'oreille entre la sonnette de la comtesse (ding ding)et celle du comte (dong dong) et où, à propos de dong-dong, Suzanne révèle à son fiancé que le Comte veut la séduire. Un véritable morceau d'anthologie entre Hilde Guden (Suzanne) et Cesare Siepi (Figaro). Nous avons là un témoignage inoubliable de ce que fut l'Opéra de Vienne immédiatement après la guerre. Le reste est à l'avenant. La scène célèbre du cabinet devant lequel le comte traîne sa femme pour lui faire avouer que c'est Cherubino qui se trouve à l'intérieur est un moment de musique unique où l’on est ému par le trouble de cette femme innocente (Lisa della Casa) que les circonstances menacent de jeter dans le pire déshonneur et où l’on sourit de la grandiloquence fanfaronne du comte (Alfred Poell ) qui tire son épée avec fracas pour tuer un fragile adolescent. Tout le génie de Mozart est merveilleusement traduit dans les quelques instants de musique qui suivent l’apparition de Suzanne sur le seuil de la porte du cabinet. Et tout est à l’avenant. Une distribution éclatante jusque dans les rôles secondaires (notamment Suzanne Danco en cherubino), un orchestre un peu au second plan mais qui est quand même l’Orchestre Philarmonique de Vienne et une baguette qui sait où va la main qui la tient.


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Message » 02 Mar 2014 17:12

Le daim a écrit:Je ne connais pas la version Currentzis et je m'abstiendrai donc d'en écrire. Je signale que la version mythique de Erich Kleiber (le père de Carlos) est à présent disponible sur Qobuz en haute-définition (96/24). Il ne s'agit évidemment pas du format original. L'enregistrement date de premier temps de la stéréophonie et a été publié en vinyle. Il s'agit donc vraisemblablement de la transcription numérique en haut- définition de la matrice de l'enregistrement. La différence avec le CD est appréciable. L'osmose entre les voix et l'orchestre est plus tangible, ce dernier est plus présent et on perçoit mieux la remarquable direction musicale de Kleiber. C'est surtout l'orchestre qui est mieux détaillé principalement dans la partie la plus grave du spectre. J'ai d'ailleurs réduit le contre-grave de 4db car il demeure asses mal défini, même en haute-définition. Mais peu importe pour moi. Malgré les quelques défauts d'une prise de son qui remonte à plus de 50 ans , que l'on choisisse l'une ou l'autre des versions, l'enchantement est le même car c'est tellement beau de chant et d'allant que l'on oublie rapidement la vétusté de la réalisation sonore. Les chanteurs sont magnifiques. C'est un envoûtement dès que le rideau se lève sur la première scène où Figaro mesure la chambre que Suzanne et lui vont occuper après leur mariage à égale distance d'oreille entre la sonnette de la comtesse (ding ding)et celle du comte (dong dong) et où, à propos de dong-dong, Suzanne révèle à son fiancé que le Comte veut la séduire. Un véritable morceau d'anthologie entre Hilde Guden (Suzanne) et Cesare Siepi (Figaro). Nous avons là un témoignage inoubliable de ce que fut l'Opéra de Vienne immédiatement après la guerre. Le reste est à l'avenant. La scène célèbre du cabinet devant lequel le comte traîne sa femme pour lui faire avouer que c'est Cherubino qui se trouve à l'intérieur est un moment de musique unique où l’on est ému par le trouble de cette femme innocente (Lisa della Casa) que les circonstances menacent de jeter dans le pire déshonneur et où l’on sourit de la grandiloquence fanfaronne du comte (Alfred Poell ) qui tire son épée avec fracas pour tuer un fragile adolescent. Tout le génie de Mozart est merveilleusement traduit dans les quelques instants de musique qui suivent l’apparition de Suzanne sur le seuil de la porte du cabinet. Et tout est à l’avenant. Une distribution éclatante jusque dans les rôles secondaires (notamment Suzanne Danco en cherubino), un orchestre un peu au second plan mais qui est quand même l’Orchestre Philarmonique de Vienne et une baguette qui sait où va la main qui la tient.


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Certes non : il doit s'agir d'une copie de la bande magnétique mère analogique en 24 bits et 96 Khz... mais pas de la matrice qui sert à fabriquer les galettes qui servent au pressage des microsillons.

Je vais écouter cette édition pour voir comment elle sonne.
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Message » 03 Mar 2014 18:32

haskil a écrit:
Le daim a écrit:Je ne connais pas la version Currentzis et je m'abstiendrai donc d'en écrire. Je signale que la version mythique de Erich Kleiber (le père de Carlos) est à présent disponible sur Qobuz en haute-définition (96/24). Il ne s'agit évidemment pas du format original. L'enregistrement date de premier temps de la stéréophonie et a été publié en vinyle. Il s'agit donc vraisemblablement de la transcription numérique en haut- définition de la matrice de l'enregistrement. La différence avec le CD est appréciable. L'osmose entre les voix et l'orchestre est plus tangible, ce dernier est plus présent et on perçoit mieux la remarquable direction musicale de Kleiber. C'est surtout l'orchestre qui est mieux détaillé principalement dans la partie la plus grave du spectre. J'ai d'ailleurs réduit le contre-grave de 4db car il demeure asses mal défini, même en haute-définition. Mais peu importe pour moi. Malgré les quelques défauts d'une prise de son qui remonte à plus de 50 ans , que l'on choisisse l'une ou l'autre des versions, l'enchantement est le même car c'est tellement beau de chant et d'allant que l'on oublie rapidement la vétusté de la réalisation sonore. Les chanteurs sont magnifiques. C'est un envoûtement dès que le rideau se lève sur la première scène où Figaro mesure la chambre que Suzanne et lui vont occuper après leur mariage à égale distance d'oreille entre la sonnette de la comtesse (ding ding)et celle du comte (dong dong) et où, à propos de dong-dong, Suzanne révèle à son fiancé que le Comte veut la séduire. Un véritable morceau d'anthologie entre Hilde Guden (Suzanne) et Cesare Siepi (Figaro). Nous avons là un témoignage inoubliable de ce que fut l'Opéra de Vienne immédiatement après la guerre. Le reste est à l'avenant. La scène célèbre du cabinet devant lequel le comte traîne sa femme pour lui faire avouer que c'est Cherubino qui se trouve à l'intérieur est un moment de musique unique où l’on est ému par le trouble de cette femme innocente (Lisa della Casa) que les circonstances menacent de jeter dans le pire déshonneur et où l’on sourit de la grandiloquence fanfaronne du comte (Alfred Poell ) qui tire son épée avec fracas pour tuer un fragile adolescent. Tout le génie de Mozart est merveilleusement traduit dans les quelques instants de musique qui suivent l’apparition de Suzanne sur le seuil de la porte du cabinet. Et tout est à l’avenant. Une distribution éclatante jusque dans les rôles secondaires (notamment Suzanne Danco en cherubino), un orchestre un peu au second plan mais qui est quand même l’Orchestre Philarmonique de Vienne et une baguette qui sait où va la main qui la tient.


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Certes non : il doit s'agir d'une copie de la bande magnétique mère analogique en 24 bits et 96 Khz... mais pas de la matrice qui sert à fabriquer les galettes qui servent au pressage des microsillons.

Je vais écouter cette édition pour voir comment elle sonne.


Merci de la précision. Je dois avouer que j'ai un peu oublié ce qu'était le vinyle et les étapes de sa fabrication. Ce que je voudrais souligner, c'est la qualité de cette merveilleuse interprétation, peu importe la version et la prise de son. Il n'y a probablement pas de meilleure introduction à l'œuvre pour ceux qui l'aborderaient. Cordialement Olivier

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Message » 04 Mar 2014 8:17

Salut le daim,

Tu peux aussi poster dans "coup de coeur classique" quand tu parles des interprétations. Içi c'est plutôt le royaume des prises de son ! :wink:

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Message » 05 Mar 2014 9:36

Un coup de coeur fort ancien alors et qui a jalonné ma vie de mélomane-audiophile, en vinyle d'abord (que je ne possède plus), en version CD ensuite (que je possède) et enfin en démat. haute-définition!(que j'ai téléchargé). Il me paraissait intéressant de faire savoir que ce monument de la musique enregistrée est désormais accessible dans un avatar plus moderne qui pourrait lui rendre un peu de sa jeunesse; chacun appréciera mais j'ai cru que cela valait la peine de signaler avec l'événement récent son très grand intérêt artistique pérenne. Cordialement Olivier

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