Keron a écrit:Oui il me semble que le dernier revendeur que j'ai été voir se jouait de fausser les jeux en jouant différemment selon les claviers.
Mais quand j'ai mis ma fille au clavier, curieusement, cela se lissait .
Euh... moi j'ai que ma fille comme pianiste connue .
Pour le double échappement, tu ne m'a pas dit à partir de quel cycle on commence à l'apprendre en piano ?
Je vais tenter d'écouter le Gibet de Gaspard (quelle édition prendre ?).
Désolé, mais ton concept de sonorité malléable, je peine à le saisir. C'est vraiment étrange comme principe. Cela pourrait dire neutre ? Donc pas forcément joli au départ mais ce serait le jeu du pianiste que le rend beau à l'écoute ?
Désolé, mais c'est pas facile de tout saisir quand tu n'es pas musicien toi même et que tu ignores encore tout d'un piano
Le double échappement ne s'apprend pas : il est nécessaire dès que l'on atteint un niveau instrumental suffisament élevé pour travailler des oeuvres du XIXe siècle jusqu'à nos jours. Ta fille en est loin encore.
Sonorité malléable n'est pas étrange du tout comme principe : tu as des pianos dont le son est si direct, tellement fait qu'il est quasi impossible de le changer en jouant : tous les mauvais pianos sont comme ça. Quand on peu changer la couleur du son, nuancer son jeu, faire toute l'étendue des nuances qui vont du ppppp au fffff, alors le piano a une sonorité malléable en dynamique et en timbre, car on peu jouer "rond", "incisif", "sec" dans toutes les nuances.
Ce que tu dois retenir, c'est qu'un piano droit n'est qu'un piano d'étude dans lequel il ne faut en aucun cas mettre beaucoup de sous. Il permet le travail mécanique des doigts, mais ne permet pas un réel travail artistique dès que l'on atteint un certain niveau instrumental.