AbsoluteSound a écrit:Le phénomène qui se produit de manière général avec les enceintes Triangle est le suivant:
après multitudes d'écoutes de plusieurs enceintes de marques différentes,l'auditeur percoitde manière plus ou moins marqué,"
l'esthetique" sonore propre à chaque modèles.
Ainsi parmis ces esthetiques,nombreux qualificatifs peuvent les décrirent de manière synthétique pour simplifier les choses.
Par exemple uneécoute "chaleureuse","droite","moelleuse","transparente","fluide","aérée","confortable","vivante","agile","rafinée","mate" etc...
En ce qui concerne Triangle,je qualifierais cette esthetique sonore de "concrète,pétillante,vivante,réaliste,très détouré,sans artifice de complaisance..." et ce que certains percoivent et décrivent comme "agressif" ,je le décris comme en fait "non flateur dans le sens du certains poils de tout le monde"; ainsi l'aigu est très détaillé,varié,il monte haut comme il lefait dans laréalité de certains instrument qui "agressent" bel et bien les oreilles dans certains cas.
Donc libre à chacun d'aimer ou de ne pas aimer,simplement il est plus juste de décrire de manière objective "un son" au lieu de porter un jugement simpliste sans expliquer en détail pourquoicelà ne plait pas.
Pour ma part donc je pense que nous sommes ne majorité a préférer une enceinte "flateuse" ,confortable ,plutot qu'une enceinte "réaliste" ,car certes la réalité peut souvent etre fatiguante à la longue...
Une petite contribution ou pas ?
Triangle, effectivement toujours la même histoire.
Complètement d’accord avec Absolutesound sur le caractère de cette Marque:
Vivante, donc dynamique, mais aussi cortège de problèmes avec les électroniques ; très précise, idem, mais bien maitrisé (vous me répondrez comme avec tout type de matériel), elles ont un potentiel énorme par rapport à leur prix de vente.
Cependant avec divers modèles TZX, 202, 222, EX, Genèse (quand on aime……..) j’ai obtenu un son « live » quasiment impossible à réaliser avec d’autre marque. Pour résumer le sujet, associer du « Mou », c’est assez facile, Mais encore une fois les gouts et les couleurs etc.….
Faiblesses, elles existent aussi, les timbres pas toujours au top sur des instruments classiques complexes. D’ailleurs pour répondre au post, c’est la grande différence entre une gamme genèse et EX. Les moteurs HP sont quasiment deux fois plus puissants.
D’accord aussi avec Eric CDC, Comète, Altéa, Quartet, bref le médium en 16. La dispersion de l’énergie sonore est très différente avec le 13, sur certain modèle, on a un pincement sonore ou focalisation qui est parfois gênant, d’ou peut-être, les « bosses » ressenties par certains, mais ce n’est qu’une supposition.
Je continue, évitez tous les câbles en argent qui sur définissent ou détimbrent une partie du spectre.
Le bi-câblage amène souvent une amélioration notable dès qu’il y a deux ou trois boomer en parallèle. Au premier les ampères et effets selfiques, l’autre a la paix pour monter tranquillement.
Je confirme, Electronique froide et brillante à éviter (Atoll, Cambrige, Rotel…..).
J’ ai souvent associé cette marque à du KORA. Comète ou Altéa avec un 90. C’est super.
J’ai d’ailleurs en test en ce moment un Crescendo avec son DAC intégré prêté gentiment par Hifisystemes à Pau.
Je le compare à un Accuphase déjà ancien, serie 4, et un ERAA DL1. Petit contre rendu à suivre si vous le voulez bien ……
Comme dit précédemment, si avec les anciennes gammes un petit 90 fonctionnaient encore très bien sur de belles et grandes colonnes (202, 222,TZX), avec les changements important intervenus sur la gamme Genèse, c’est terminé. Celles-ci sont devenues très gourmandes.
Pour revenir aux questions posées, les moyens (budget) à mettre en œuvre pour une Antal, une quartet, ou Lyrr ne sont pas de même nature.
Avec l’Antal, un Kora 150 est une bonne association bien que je préfère l’équilibre d’une altéa.
En revanche, sur une Quartet, on n’en tire pas tout le potentiel. J’ai effectué des essais avec de bien meilleurs résultats, en associant un 90 à deux blocs numériques pour driver le grave. De plus Les Quartets s’expriment alors avec un gradient de dynamique qu’une Antal n’attiendra jamais. Remplacer, le pré du 90 par un Crescendo, on est alors au bon niveau. Mais on atteint toujours pas le plein potentiel de cette enceinte très performante. La Lyrr est encore plus difficile à mettre en œuvre, il lui faut surtout un grand espace autour pour vraiment marquer une différence avec la quartet.
Stop, j’ai la réponse !!!!!!!