MLill a écrit:Imaginons une pièce noire de dimension infinies ...
Le blanc de l'écran va par exemple recevoir 1000 et le noir 4 (pour un projecteur de contraste ANSI 250:1).
Rajoutons les murs.
La lumière reflétée par l'écran est réfléchie par les murs le sol et le plafond, en gros uniformément. Environ 6.
Le blanc se retrouve à 1000+6 soit 1006 et le noir à 4+6 soit 10.
Le contraste n'est plus que de 1006/10 soit environ 101:1.
Ok, ok ! Forcément c'est logique... Et quel est l'apport d'un écran gris dans ce cas de figure ?
Je suis en train de me tater pour repeindre mon écran isorel soit en blanc mate, soit en gris mate, mais je ne sais pas quelle intensité de gris, ni si ce serait bénéfique pour mon Z1X... C'est pour cela que j'aurais besoin des chiffres que tu pourrais trouver dessus, notamment sa luminosité "réelle".
MLill a écrit:kazuya a écrit:Pour ce qui est de l'iris dynamique, en fait elle améliore le contraste on/off mais pas l'ansi !
Oui.
Et plus généralement pas le contraste intra-scène.
Dans les scènes sombres on a bien des noirs noirs mais auss des lumières ternes (par rapport aux projecteurs ayant le même contraste on/off sans iris dynamique).
Pour les lumières ternes des scènes sombres, je pense que c'est peut-etre plus réaliste (à condition que le contraste ANSI soit bon). En effet, par exemple, jamais une torche ou un éclairage quelconque dans la pénombre ne peut rivaliser avec la luminosité du soleil, donc d'une scène en plein jour. Pour le constater, il suffit d'allumer ses pleins phares avec le soleil, on ne les voit quasiment plus. Et les projos sans iris peuvent faire éclairer autant une lampe torche que le soleil de la scène précédente... Ce qui n'est pas possible avec l'iris dynamique, donc je dirais : logique !
