Tests HCFR Blu-ray & 4K Ultra HD par le loup celeste – 10/2019

Tests HCFR Blu-ray & 4K Ultra HD par le loup celeste – 10/2019

Brightburn – L’enfant du mal

Provenance : États-Unis // Support : 4K Ultra HD // Éditeur : Sony Pictures // Date de sortie : 20 août 2019

Résolution : 3840×2160 // Cadence : 24p // Format : 2.39 // Encodage : HEVC
Gamut : BT.2020 // Chrominance : YCbCr 4:2:0 // Profondeur de couleurs : 10 bit
Master intermédiaire : 2K // HDR : HDR10 // Luminance : De 0.005 à 4000 nits

Bande-son : Anglais Dolby Atmos (core Dolby TrueHD 7.1), Français (VFQ) DTS-HD MA 5.1
Sous-titres : Anglais, Français, Anglais pour malentendants

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Même s’il ne va jamais plus loin que son formidable concept (et si Superman avait choisi le côté obscur ?), la faute à un script fainéant (les ficelles sont prévisibles et les personnages à peine esquissés), Brightburn – L’enfant du mal est un film de super-vilain cruel et nihiliste où les scènes chocs abondent. En somme, une crise de la puberté jouissivement gore et diaboliquement insolite.

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(Condition de test : Écran OLED 2160p en mode de l’image Expert HDR)

Plus précises qu’en HD (les gros plans et les environnements) même si toujours légèrement adoucies, les images numériques (souvent nocturnes) de cette série B horrifique profitent surtout de la subtilité du WCG et de la puissance du HDR. Les couleurs sont mieux saturées avec des tons de chair plus nuancés et quelques primaires explosives (cf. les rouges vifs), les contrastes sont nettement améliorés avec des blancs plus purs et des noirs plus impressionnants encore, et les sources lumineuses (plus particulièrement la lumière du jour) s’exposent avec une brillance qui frappe la rétine.

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(Condition de test : Ampli HC 11.2 en mode d’écoute Dolby Atmos pour la VO et avec post-traitement Dolby Surround pour la VF)

Aussi silencieux (les passages dialogués) que bruyant (l’apparition des pouvoirs et les multiples tueries), ce mixage Dolby Atmos assure le spectacle. Pourvu d’une scène sonore enveloppante et d’une dynamique au taquet, il balaye les enceintes avec des ambiances atmosphériques immersives et des effets de violence douloureux parfaitement spatialisés, et secoue méchamment avec un canal LFE (aux fréquences parfois très basses) toujours prêt à en découdre. Malgré la perte du plan vertical (très actif lors du climax où l’ado de l’apocalypse fouette les airs avec sa super-vitesse), la VF n’en reste pas moins démoniaque.

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Matériel de test (Config. HP : 7.2.4)
Diffuseur vidéo : Sony KD-55AF9 Source : Oppo UDP-203 Audiocom Reference Amplification : Pioneer SC-LX901
Enceintes : Focal Electra CC1008 BE2, Electra 1028 BE2, Chorus B8V W, Chorus 706V, Sub 300P; Klipsch RP-140SA
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