Je crois qu'il y a un malentendu sur ce qu'on cherchait à vérifier.
MarcMAME a écrit:On a donc bien un dédoublement volontaire car obligatoire lors de l'utilisation de flux HD.
Je ne comprend pas pourquoi tu dis qu'il n'y a pas de pistes DD sur "Mad Max", ni de piste DTS sur "On peut toujours rêver" EN PLUS puisqu'elles sont bien là ?
MarcMAME a écrit:Si l'éditeur souhaite proposer une piste VO ou VF en Dolby TrueHD Atmos, il doit impérativement fournir également son équivalent en Dolby Digital AC-3.
Si l'éditeur souhaite proposer une piste VO ou VF en DTS-HD MA, il doit impérativement fournir également son équivalent en DTS Digital Surround.
Ce qu'on cherchait (et la façon dont tu l'écris va dans cette possibilité de compréhension) est une configuration sonore de ce type :
English / Dolby TrueHD Audio / 7.1 / 48 kHz / 5692 kbps / 24-bit (AC3 Embedded: 5.1-EX / 48 kHz / 384 kbps / DN -4dB)
English / Dolby Digital Audio / 5.1 / 48 kHz / 640 kbps / DN -4dB
Ou
French / DTS-HD Master Audio / 2.0 / 48 kHz / 908 kbps / 24-bit (DTS Core: 2.0 / 48 kHz / 768 kbps / 24-bit)
French / DTS Audio / 2.0 / 48 kHz / 448 kbps / 24-bit
On voit bien qu'il n'y a pas ce dédoublement là, parce qu'effectivement, le nécessaire est techniquement inclus ailleurs (dans les pistes lossless) - tu as raison là dessus. C'est de ça dont je parlais quand je disais "EN PLUS" (parce que certains disques contiennent bel et bien ce type de configuration dédoublée).
Dans le cas du DTS HD MA, c'est donc le Core qui fait office de piste DTS, tandis que pour une piste DTHD, elle masque en fait une piste DD qui servira de refuge le cas échéant.
Mais tout cela tient de la façon dont ont été pensées les pistes lossless, pas d'un dédoublement à l'authoring des pistes sons.
MarcMAME a écrit:On a donc bien une obligation de support de ces 3 formats audios non seulement pour les lecteurs mais également pour les disques.
Visiblement, la norme est à sens unique et l'obligation n'est que sur le décodage, c'est à dire uniquement au niveau de l'obligation pour les lecteurs de pouvoir décoder ces 3 formats. On peut supposer que les éditeurs / authoreurs ne font qu'ensuite se conformer à ce qui garantira la meilleure compatibilité, et que la façon dont les flux lossless sont pensés se chargent du reste.